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    Dream Scenario
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    3,3
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    174 critiques spectateurs

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    Ariane5
    Ariane5

    8 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Une idée originale mais si peu dans tout le film dont les scènes se répètent, se répètent.... Même la fin est creuse.
    B13.
    B13.

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Lourd et sans constance. une histoire qui n'accroche pas .un déroulé médiocre on s'ennuie beaucoup.esperer enfin un revirement avant la fin du film .il n'y en aura pas .Nicolas Cage vient se perdre dans ce film.. une scène où deux pour sourire
    Rien de plus
    Xacha07
    Xacha07

    7 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2023
    J'ai trouvé ce film intéressant sur le plan du scénario . En revanche , la fin patine un peu vers la fin. Le réalisateur semble avoir du mal à trouver une fin adequate . Peut-être aurait il pu s'arrêter sur l'idée de la publicité ? Il a voulu faire une ellipse avec la scène inaugurale.
    Emanuel D.
    Emanuel D.

    3 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2024
    génial ! un OVNI ! Film-hommage dédié à la carrière de N. Cage, ce film au scénario libre et indépendant oscille avec humour et frénésie entre du Lynch et du Gondry, du Cronenberg et du Carpenter..on pense à Spotless Mind, Sailor et Lula, Twin Peaks, Halloween,EXistenZ, etc...le film WTF de l'année....(peut-être 10mn en trop mais bon...)
    Chris M.
    Chris M.

    3 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2024
    La bande-annonce donnait une image plus dynamique et loufoque du film dont le thème des univers oniriques aurait pu être mieux exploité.
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2024
    C'est le genre de film un peu barré sur son concept de base que j'aime découvrir de temps à autre. Et quand c'est bien fait, le postulat absurde sert de support à une satire de la société, ce qu'on retrouve bien ici. On en aurait peut-être attendu un peu plus dans la dernière partie, mais ça reste intéressant.
    Pierre L.
    Pierre L.

    35 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2023
    J attendais beaucoup d’après la l bande annonce et la présentation.ok c était enfin un nouveau type de rôle pour Nicolas Cage.et le thème de l histoire promettait.mais le traitement du scénario laisse à désirer notamment sur la partie finale. J ai eu l impression d’une fin bâclée,inachevée. Déçu car il y avait mieux à faire . Clairement ça devait être bien en roman de fiction.
    cédric l.
    cédric l.

    10 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2024
    Un excellent film sur l'étrangeté de la Condition Humaine. Un film qui parle surtout des préjugés que les Hommes ont sur les Femmes et inversement. Dans ce Long-Métrage on y retrouve ces surprenantes notions de "Popularité", "d'Immoralité", de "Capacité" et de "Vengeance", etc... Un autre très bon rôle pour la "MovieStar" Nicolas Cage, qui y tient le Rôle Principal, pour lequel il a très judicieusement reçu une Nomination aux Golden Globes, en tant que Meilleur Acteur dans une Comédie.
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2024
    Quelques mois seulement après son très réussi «Sick of Myself», le réalisateur norvégien Kristoffer Borgli nous revient avec cette satire fantastique, d'abord fascinante puis plus obscure, et nous dépeignant le portrait assez juste d'une société du spectacle perpétuel.

    Le talentueux Nicolas Cage y incarne Paul Matthews, un professeur (avec doctorat) en mal de reconnaissance qui n'aime pas attirer l'attention, et qui va soudain devenir la "personne la plus intéressante du monde" en se retrouvant, sans aucune raison, dans les rêves de très nombreuses personnes.
    D'abord adulé, les choses vont basculer quand il va se mettre à agresser et tuer dans ces mêmes rêves, se muant en sorte de Freddy Krueger, et mis petit-à-petit au ban de la société alors qu'il n'a rien fait dans la réalité.

    Co-produit par Ari Aster, un film assez intéressant de par son concept farfelu et comptant quelques idées bien trouvées (la reconstitution, assez gênante, d'un fantasme ; le principe des placements de produits dans les rêves), mais qui s'avère un peu trop sage au vu du véritable potentiel qu'il aurait pu nous offrir, et qui finit par se perdre dans son dernier tiers, trop confus et trop convenu finalement.
    Un peu plus de folie et de lâcher-prise auraient été la bienvenue, d'autant plus avec Cage en tête d'affiche. 6,5/10.
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Une parabole satirique plutôt subtile de la cancel culture, même si le film vaut plus pour son scénario que sa mise en scène somme toute anodine. Et quel plaisir de retrouver Nicolas Cage dans un bon rôle !
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Kristopher Borgli, à la réalisation comme au scénario, nous propose un film inclassable qui parvient à nous faire rire, à nous angoisser et à nous faire réfléchir, tout cela en même temps. « Dream Scenario » nous plonge dans la réalité étrange d’un homme un peu falot, sans aspérité et que même, sous certains aspects on pourrait qualifier de looser. Du jour au lendemain, le voilà qui se met à apparaitre dans les rêves de tout à chacun spoiler: (sauf dans ceux de son épouse, curieusement).
    En partant de ce postulat très original, Kristopher Borgli aurait pu proposer un film grand spectacle, une pure comédie loufoque ou un thriller. Il choisit de ne pas choisir et de proposer un peu tout cela en même temps. Le film alterne entre les scènes de réalité et les scènes de rêve sans que parfois, il soit aisé de distinguer de prime abord. Il n’abuse pas du procédé (parfois on comprend immédiatement qu’on est dans un rêve) mais quand il en use, c’est à bon escient. A part ces quelques scènes de rêves hautes en couleur (catastrophe, érotique, cauchemars…), le film est bien filmé et bien mis en image, mais rien de follement original. C’est comme si la réalisation, en magnifiant les scènes de rêves puis en filmant la réalité de façon très conventionnelle, voulait marquer fortement la frontière entre la situation normale d’un type normal et la situation anormale dans laquelle il se retrouve plongé. On peut grossièrement découper le film en trois parties. La première flirte avec la comédie, Paul Matthews découvre son étrange célébrité, essaie de surfer un peu dessus pour enfin faire publier son livre universitaire (un livre érudit sur les fourmis qui n’a aucune chance de voir le jour !), il s’amuse des récits de rêves qu’on lui fait et accepte des interviews. spoiler: Mais la situation ne met pas longtemps à devenir tragique. Le film bascule lors d’une scène (très) malsaine où il se laisse embarquer dans un rendez-vous avec une « rêveuse » qui veut reproduire son rêve. C’est comme si, on agissant ainsi, il avait fait basculer le phénomène en mêlant rêve et réalité.
    spoiler: Lorsqu’il se met à devenir horriblement violent dans les cauchemars,
    le film quitte le domaine de la comédie absurde pour venir dénoncer, avec une certaine pertinence, spoiler: les excès de la « cancel culture ». Paul est ostracisé de plus en plus fortement, avec de plus en plus d’excès et d’injustice alors que, contrairement à tous ceux qui se disent victimes de la « cancel culture », lui n’a absolument rien fait de mal. En montrant un homme rejeté alors même qu’il est parfaitement innocent de tout, le scénario joue sur du velours : les élèves de l’Université font la loi et sa direction l’abandonne, les passants se sentent offensés par sa seule présence et il doit partir, les gens se sentent menacés par lui et leur ressenti compte davantage que la réalité. Même si le curseur est parfois poussé loin (la scène de la thérapie collective à l’Université), la démonstration est assez convaincante et surtout totalement édifiante. Dénoncer la « cancel culture », on peut le faire bêtement comme un boomer lambda « De nos jours, on ne peut plus rien dire, gna, gna, gna… » ou le faire ainsi, par l’absurde assumé.
    La troisième partie du film dénonce pour le coup autre chose : le cynisme de la société de consommation. Le phénomène, aussi incompréhensible qu’il soit, spoiler: fait saliver les publicitaires et escrocs de tout genre qui se mettent à imaginer du placement de produit dans les rêves de consommateurs, c’est « Inception » qu’on assassine !
    Ce qui avait débuté comme une comédie absurde se termine en tragédie intime, celle d’un homme lambda écrasé par une célébrité venue de nulle part spoiler: et qui aura fracassé sa vie
    . Nicolas Cage incarne un Paul Matthews souvent pathétique, parfois ridicule mais qui finit par susciter une vraie empathie. Nicolas Cage, qui aura parfois fait des choix discutable dans sa carrière d’acteur, prouve dans « Dream Scenario » ce dont il est capable. Le film repose presque totalement sur ses épaules, et il tient la route dans tous les registres du jeu. Le film de Kristopher Borgli, très intriguant sur le papier, commence comme une comédie absurde pour nous embarquer, presque par surprise, vers des rives plus arides, plus acide et plus noires qu’on ne l’avait imaginé. C’est un film original, bien mené, qui suscite une vraie réflexion de fond sur la toxicité de la célébrité et l’absurdité du monde.
    Fabien D
    Fabien D

    183 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2023
    Dream scenario est un projet assez curieux tant il semble appartenir à une autre époque. De par ses thèmes comme de par son esthétique, le film rappelle les films cultes de Spike Jonze et Charlie Kaufman. On songe forcément à Dans la peau de John Malkovitch, à Adaptation ou encore à Eternal Sunshine of the spootless mind, des films mêlant l'absurde à la mélancolie mais aussi traversé de grands moments d'angoisse existentielle. Filmé de manière froide, parfois kubrickienne lors de scènes de rêves particulièrement anxiogène, dream scenario est le récit d'un homme en quête de reconnaissance qui sera célèbré avant d'être sacrifié sur l'autel de la cancel culture. Nicolas Cage est particulièrement bon dans le rôle de cet homme trop banal appelé malgré lui à devenir une star. Si on pourra regretter une fin satirique un peu convenu et une certaine retenue alors qu'on était en droit de s'attendre à davantage de folie, dream scenario est un film assez décalé et empreint d'une mélancolie parfois touchante. Mais on était en droit de s'attendre à plus que ce petit film indé ultra référencé au point de manquer un peu d'identité.
    JUJUBE20
    JUJUBE20

    30 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Dream scenario est plutôt une bonne surprise, même s'il appartient à la catégorie des films fabriqués, avec talent certes, donc des "films malins". Un comédien qui réussit enfin un come back exploitant ses incroyables capacités (Nicholas Cage hyper crédible), un scénario léché qui ne laisse jamais une situation s'installer car les bascules s'opèrent rapidement, une idée de départ conceptuelle et géniale, une réalisation lisse, sans faute de goût, sans s'imposer, mais en évitant les trucs trop faciles, alternant onirisme et réalisme, une image faussement sépia, passe-partout, neutre qui contraste avec l'invraisemblance de l'histoire. Cela se regarde sans déplaisir, mais n'a pas la prétention de faire oeuvre. Ce film ne restera pas dans l'histoire du cinéma, mais se déguste avec un bonheur enfantin et rétrograde, car il donne l'impression d'être intelligent, avec les dénonciations bienvenues des dérives en cours sur les campus américains. C'est un film pour adolescents ou jeunes adultes : à 16, 18 ou encore 20 ans, j'aurais adoré. La salle rit beaucoup : c'est bien vu, c'est drôle, c'est enlevé... mais c'est vite enlevé de la mémoire aussi.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2023
    Belle réussite que Dream Scenario. Un concept mindfuck plutôt bien exploité, emmené par un Nicolas Cage au sommet de sa forme, pour un rendu énigmatique et passionnant, qui lorgne parfois vers Black Mirror. Peut-être même l’un des meilleurs films de l’année.

    https://cultea.fr/dream-scenario-nicolas-cage-au-top-de-sa-forme-critique.html
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Attention, petit manuel du film A24 pour les Nuls... Un scénario étrange (un homme se retrouve dans les rêves de tout le monde, d'abord de façon anodine puis devenant le croque-mitaine qui effraie tous les jeunes... Oui, Freddy quoi), un visuel au filtre terne et aux plans qui durent, aux dialogues copieux, des scènes d'hallu qui déboulent de partout et s'arrêtent aussi sec, un héros qui a peur de tout le monde (Beau is Affraid, le retour... Ah tiens, Ari Aster est le producteur, coïncidence ? Ça m'étonnerait), et une fin tellement ouverte qu'elle ne conclut rien. Nicolas Cage semble se faire plaisir de nouveau (en même temps : sur quel projet, aussi moisi soit-il, ne prend-il pas son pied ?), et on ne boude pas l'ouverture intrigante du film, qui malheureusement s'effondre très vite avec la balourdise éléphantine de la critique sociétale amorcée par Borgli (on avait déjà remarqué sa finesse de bulldozer dans son précédent Sick of Myself, mais on avait passé l'éponge du fait de l'originalité de son propos). Ici, on va faire une exception à notre aversion pour cette expression ridicule, et la dire juste une fois : "OK boomer." Borgli regarde les jeunes (il doit le prononcer "d'jeuns" dans sa tête) comme des accrocs aux réseaux sociaux, incapables de faire la différence entre réalité (les cours de la fac) et la fiction (leurs rêves du prof qui les malmène), prêts à se jeter dans n'importe quel show de téléréalité débilitant (on n'a pas compris ce que cette émission "Les Anges versus Les Rêves" fichait au milieu de la fin), et porter un bracelet qui clignote pour les protéger de la folie (oui... Borgli voit les "d'jeuns" comme ça...). On s'étonne de ne pas voir une seule personne âgée affligée par les cauchemars, ni même la terreur que cela pourrait provoquer chez une personne schizo, non, on cible uniquement une partie de la population sans trop d'explications (le principe de l'effet Mandela justement évoqué au début du film, c'est qu'il touche absolument tout le monde, sans distinction d'âge, de genre, de nationalité, ou de catégorie sociale...). La balourdise du film va même jusqu'à citer explicitement Freddy Krueger (des fois qu'on soit trop bête pour comprendre la réf'... On doit être trop "d'jeuns") en faisant porter un gant à griffes à Nicolas Cage à qui on demande de parodier Freddy lors d'un shooting photos... On peut comprendre ceux qui aimeront le côté décalé de l’œuvre (même si la bande-annonce vendait un délire bien plus conséquent : ils ont simplement mis tous les rêves les plus fous dans la bande-annonce, histoire de laisser penser que le reste est du même niveau d'inspiration, et surprise : non.), le jeu de Cage (comme d'habitude : il s'amuse, lui, au moins), l'illusion que ce film est original (avant de capter qu'il est une lointaine resucée de Beau is Affraid croisé avec Freddy Krueger), et une critique de la société qui devrait plaire aux cancres du fond du cours d'analyse filmique. On aurait adoré que pareil scénario tombe dans les mains (moins griffues) de quelqu'un de plus fin, à bon entendeur... On peut rêver.
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