Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un chef-d’œuvre éblouissant, d’une maîtrise parfaite tant dans la mise en scène que le travail sur la photographie, stupéfiant de beauté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sans doute interdit en Iran comme la plupart des excellents films qui nous arrivent de Téhéran, "The Wastetown" est un poème visuel douloureux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Dans un noir et blanc somptueux, Bahrami déploie la toile d’un drame sans recours. D’une intensité rare et d’une âpreté absolue, ce film exigeant, au désespoir radical, n’est pas sans évoquer, tant sur la forme que sur le fond, le néoréalisme d’un Rossellini.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Un conte épuré d’une beauté formelle épatante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
C’est une machinerie diaboliquement maîtrisée que "The Wastetown". [...] Mais, pour un récit sur la passion, la vengeance, la maternité, la misère de la condition féminine, il manque peut-être un peu de chair et d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
La maîtrise du rythme, qu’on dirait calqué sur une musique intérieure, provoque l’envoûtement. Comme un largo cinématographique, ample et majestueux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Filmage en noir et blanc, dialogues parcimonieux, décadrages et panoramiques en mode répétitif sur le vide de la casse, personnages prostrés, action comme ensablée sont ici mis au service d’un récit féministe baignant dans une macération formelle et mentale qui finit par quelque peu crisper.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Sarah Deslandes
Avec son deuxième long métrage (le premier, Panah, datant de 2017, n’est pas sorti en France), Ahmad Bahrami dresse un huis clos à ciel ouvert, dont aucune issue ne semble possible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
The Wastetown a beau accompagner solennellement la vengeance de Bemani (Baran Kosari) contre les hommes qui tentent de profiter d’elle, il donne à cet empowerment féminin des airs de fin du monde, avec une casse automobile en guise de décor funeste.
aVoir-aLire.com
Un chef-d’œuvre éblouissant, d’une maîtrise parfaite tant dans la mise en scène que le travail sur la photographie, stupéfiant de beauté.
Franceinfo Culture
Sans doute interdit en Iran comme la plupart des excellents films qui nous arrivent de Téhéran, "The Wastetown" est un poème visuel douloureux.
Les Fiches du Cinéma
Dans un noir et blanc somptueux, Bahrami déploie la toile d’un drame sans recours. D’une intensité rare et d’une âpreté absolue, ce film exigeant, au désespoir radical, n’est pas sans évoquer, tant sur la forme que sur le fond, le néoréalisme d’un Rossellini.
Télérama
Un conte épuré d’une beauté formelle épatante.
Culturopoing.com
C’est une machinerie diaboliquement maîtrisée que "The Wastetown". [...] Mais, pour un récit sur la passion, la vengeance, la maternité, la misère de la condition féminine, il manque peut-être un peu de chair et d’humanité.
L'Obs
La maîtrise du rythme, qu’on dirait calqué sur une musique intérieure, provoque l’envoûtement. Comme un largo cinématographique, ample et majestueux.
Le Monde
Filmage en noir et blanc, dialogues parcimonieux, décadrages et panoramiques en mode répétitif sur le vide de la casse, personnages prostrés, action comme ensablée sont ici mis au service d’un récit féministe baignant dans une macération formelle et mentale qui finit par quelque peu crisper.
Première
Avec son deuxième long métrage (le premier, Panah, datant de 2017, n’est pas sorti en France), Ahmad Bahrami dresse un huis clos à ciel ouvert, dont aucune issue ne semble possible.
Cahiers du Cinéma
The Wastetown a beau accompagner solennellement la vengeance de Bemani (Baran Kosari) contre les hommes qui tentent de profiter d’elle, il donne à cet empowerment féminin des airs de fin du monde, avec une casse automobile en guise de décor funeste.