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    I Saw The TV Glow
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    1,7
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    30 critiques spectateurs

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    eldarkstone
    eldarkstone

    206 abonnés 2 043 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 juin 2024
    Si sur le papier ça semblait à un pur Ovni, c'est en fait un pur navet. Chiant à mourir, sans réelle ligne de conduite, avec très peu de moyens et des acteurs qui n'y croient pas du tout. à éviter.
    Berserker  1899
    Berserker 1899

    33 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juin 2024
    Une purge monumentale d'un ennui du début a la fin, pour des ados a la limite en mal de petite peur et encore, ç'est le fin fond des abysses du zéro ce film.
    FaRem
    FaRem

    8 355 abonnés 9 328 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2024
    À certains égards, "I Saw the TV Glow" m'a fait penser à cette série sur les creepypastas avec l'histoire d'une émission de télé qui capte totalement l'attention d'enfants. Les histoires évoquent des choses totalement différentes, mais on retrouve cette obsession croissante pour la série et ce lien psychique qui se crée avec elle et entre ceux qui la regardent. On suit Owen, sur plusieurs années, alors que cette découverte télévisuelle libère quelque chose de refoulé en lui. Le début d'un voyage vers l'inconnu à travers l'adolescence et ses chamboulements. J'aurais aimé entrer davantage dans l'histoire, par contre la cinématographie, le style très lynchéen et l'ambiance sont très appréciables. C'est clairement ce dernier point qui m'a fait accrocher et tenir jusqu'au bout. "I Saw the TV Glow" est très souvent déroutant, mais son atmosphère à la fois onirique, anxiogène, cauchemardesque et hypnotique le rend intéressant à suivre.
    RedArrow
    RedArrow

    1 631 abonnés 1 525 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2024
    Avez-vous déjà eu une série préférée lors de votre adolescence ?
    De celle qui, à un jeune âge, vous a si fasciné, si emporté dans son imaginaire en phase avec l'être que vous étiez alors, que vous auriez donné n'importe quoi pour traverser l'écran afin de devenir un de ses personnages et intégrer son univers ? On sait que vous voyez très bien du genre de série dont on parle et on pourrait également vous en citer quelques-unes nous ayant fait le même effet.

    Séparés par quelques classes, Maddy et Owen, eux, vont se retrouver réunis par une obsession commune pour "The Pink Opaque", une série fantastique ado aux trop nombreux points communs avec "Buffy The Vampire Slayer" pour être fortuits (on pourra même reconnaître un de ses visages marquants le temps d'un caméo durant le film) mais à l'imagerie horrifique bien plus malsaine et glauque que tout ce que les aventures de la célèbre tueuse de vampires ont pu engendrer.
    Dans leur réalité de collégiens puis de lycéens bridés par les aléas malheureux de leurs existences respectives, où l'obscurité d'un environnement adulte sans espoir paraît toujours chercher à dévorer les dernières lueurs vives de l'enfance, les écrans qui vont diffuser "The Pink Opaque" vont devenir des halos de lumières où ces deux personnages vont littéralement projeter tous leurs secrets et aspirations les plus intimes de la recherche de soi périlleuse que peut représenter cette période charnière... Au risque de choisir sciemment de perdre pied avec un monde réel ne cessant de leur mettre de force des muselières pour faire taire leurs voix discordantes.

    Là où Mr Melancholy, le vilain du show à tête lunaire, personnifie en une seule entité à combattre tout ce qui peut s'emparer de ces deux êtres pour les emporter à jamais dans la noirceur de notre réalité, là où ses sbires aux faciès difformes à abattre chaque semaine épousent les traits de personnes de leur entourage qui ne les comprennent pas (ou plus), là où leurs (quêtes d') identités sexuelles peuvent enfin s'exprimer librement, là où le fantastique devient une facile baguette magique pour régler tous les problèmes synonymes d'étaux perpétuels sur leur quotidien... Là où tout simplement Maddy et Owen se retrouvent en transe le temps d'un épisode/échappatoire hebdomadaire à une vie dans laquelle rien ne semble aller dans le sens d'un plausible épanouissement commun, ils sont enfin eux-mêmes, devant une fiction seul refuge de tous leurs désirs et rêves d'avenir.
    Quand, de plus en plus malheureuse, Maddy va encore pousser plus loin cette perte de repères à la fois dans cette série et la réalité, Owen, lui, va plus ou moins inconsciemment hésiter. Le début d'un jeu de séparations/retrouvailles sur le long-terme qui va pousser Owen à s'interroger toujours plus loin sur son rapport à "The Pink Opaque" et les choix existentiels que Maddy lui pousse à faire par son intermédiaire...

    Eh bien... Dans le genre expérience artistique hypnotisante sur le pouvoir d'une œuvre parvenant à flouter les frontières du réel et de l'imaginaire de l'esprit de spectateurs prêts à tout pour échapper à un monde qui ne cesse de les décevoir, le deuxième long-métrage de Jane Schoenbrun (et d'ailleurs deuxième opus d'une "Screen Trilogy" annoncée après "We're All Going to the World's Fair"), "I Saw the TV Glow" fait fort.
    Très fort !

    Non seulement en ayant eu l'idée idoine de s'implanter à la fin des années 90 pour cibler la lucarne des nombreuses séries offertes aux adolescents en guise de moyens d'évasion à leur quotidien morose (ce fut un véritable âge d'or des networks US à cette époque) et de l'amplifier au point d'en faire ici un véritable outil de catharsis à leurs "moi" brimés, incompris et étouffés par une normalité cloisonnée par les stéréotypes sociaux, mais aussi d'en faire, par le visuel, un objet de fascination à part entière vis-à-vis du spectateur que nous sommes nous-mêmes, transcendés par une direction artistique et une mise en scène sublimes de bout en bout.
    Dans l'envoûtement total que représentent ces plans opposant toujours ces sursauts colorés de naïveté enfantine au déferlement d'une mélancolie aux teintes crépusculaires, la "Glow" imaginée comme émanant de ces "TV" vient s'interposer pour composer de véritables toiles de maîtres surréalistes où les corps sont transfigurés par les jaillissements d'une âme trouvant une porte de sortie dans l'expression de sa complétude, sans aucune limite imposée par la rationalité du regard d'autrui.

    Peut-être que le discours devient un poil redondant dans le dernier tiers du film à force d'être explicité lors des diverses phases d'une ultime rencontre décisive mais il n'en demeure pas moins saisissant car emmené par une atmosphère à l'intensité si folle que les émotions enfouies ou révélées de son duo principal (formidable dynamique de personnages actif/passif élevée par Justice Smith et Brigette Lundy-Paine) sont utilisées comme le principal carburant pictural des cadres dans lesquelles ils évoluent.
    Et puis, il y a cette fin. Déchirante, terrible, inattendue par sa direction ou son exécution et qui nous laisse au moins autant d'irrémédiables séquelles émotionnelles que ce qui est en train de se jouer pour son protagoniste principal.

    "I Saw the TV Glow" et il y avait un sacré bon film, unique en son genre, qui était en train d'y être diffusé. À un point que l'on va se ruer découvrir le premier film de la réalisatrice.
    Bob H
    Bob H

    13 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2024
    un film vraiment étrange pas vraiment accrocher au délire. malgré une ambiance vintage et plutôt une bonne musique. je suis resté perplexe devant cet ovni non identifier.
    Blegh182
    Blegh182

    25 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2024
    Surréaliste oui mais surtout bien chiant. les acteurs sont à la limite du supportable et ne nous font ressentir presque si ce n'est aucune empathie
    Fiers R.
    Fiers R.

    90 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2024
    Il y a des œuvres qui fonctionnent vraiment sur l’affect, la personnalité, l’humeur, le caractère ou encore l’envie d’évasion du spectateur. Atmosphérique, éthérée ou en apesanteur, elles dépendent clairement de l’envie ou de la capacité de ceux qui les visionnent à se laisser aller. Mystérieuse, sibyllines ou symboliques, elles lui demandent aussi d’accepter les zones d’ombres et de ne pas tout comprendre. Le genre de longs-métrages généralement clivant qui va en laisser certains sur le bas-côté comme en rendre d’autres complètement hypnotisés. Elles sont assez rares - et la plupart du temps réussies si elles ne sont pas commandées par un égo artistique démesuré et/ou prétentieux - mais elles ne sont pas faites pour tout le monde et c’est aussi ce qui fait leur préciosité. Car dans ce genre de voyage singulier, on compte autant sur le film en lui-même que les capacités spécifiques d’appréciation de chaque spectateur, ce qui trie forcément l’audimat potentiellement apte à les apprécier. Dans la même veine que les sublimes chef-d’œuvres que sont « Donnie Darko » ou « Mulholland Drive » et à moindre mesure et un peu plus récemment « Under the Silver Lake », « I saw the TV glow » est donc un nouvel avatar de ce type de cinéma plutôt risqué et peu commun. Il est de la même trempe que les œuvres majeures citées précédemment sauf qu’avec celui-ci on n’a pas vraiment accroché malgré les qualités évidentes de sa proposition, notamment en ce qui concerne l’univers et l’aspect esthétique mais aussi sur ce qu’il peut faire ressentir.

    « I saw the TV glow » traite de l’adolescence et du passage à l’âge adulte comme beaucoup de films avant lui mais avec un aspect bien plus onirique qu’à l’accoutumée ce qui le rapproche donc beaucoup du « Donnie Darko » de Richard Kelly. Même dans les teintes de son univers (du violet ici contre du bleu pour le film avec le lapin géant) il y a des similitudes. Ce qui ajoute à son étrangeté tout en lui donnant un certain charme encore plus singulier, c’est son côté vintage. En effet, le film se déroule au milieu des années 90 et au début des années 2000 puisqu’on y parle d’une époque où le Net n’existait pas et où certains jeunes se réfugiaient dans les univers de leurs séries télé préférés. Cela change donc de leur addiction aux réseaux sociaux et à Internet pour s’évader comme dans la majorité de films contemporains sur le sujet. La série en question, qui permet ici à deux adolescents mal dans leur peau et leur foyer pour différentes raisons de se trouver un refuge imaginaire, est symptomatique de cette période. Et « I saw the TV glow » de plonger en plein dans la frontière entre la fiction de cette série kitsch et trash et la réalité morose de leur quotidien. En l’occurrence, ladite série, « The Pink Opaque », est un mélange entre « Buffy contre les vampires », une aventure de Jules Verne ou encore « Charmed et se présente comme une caricature de ce type de programme en plus cheap. On ressent ici beaucoup la mélancolie et le spleen adolescent, mais cet univers désincarné et sombre nous fout le cafard. Certaines scènes étranges parviennent à nous émerveiller le temps d’un instant mais on a du mal à rentrer totalement dans les délires visuels et abstraits de la cinéaste. Il ne manque pas grand-chose pour qu’on adhère mais le film a du mal à nous happer complètement. Peut-être une question d’humeur, de moment ou de tempérament...

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    Simon B
    Simon B

    24 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Vraiment très moyen. J'ai attendu que ça démarre jusqu'au bout... Une grosse impression d'avoir perdu mon temps.
    Le Rabzz
    Le Rabzz

    20 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juin 2024
    C’est mou, c’est lent, pas de rythme, un film pour ado, même le concept je l’ai pas compris, je passe totalement mon chemin.
    Lokao O
    Lokao O

    4 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 juin 2024
    Je cherche encore l’horreur dans ce mauvais film dommage les jeunes acteurs vus ailleurs pouvaient promettent mieux
    Baptiste D
    Baptiste D

    27 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 août 2024
    Ennuyeux et sans aucun intérêt. Aucun semblant d’horreur ou d’épouvante. Difficile de catégoriser d’ailleurs le genre de ce film. Les acteurs ne sauvent rien. 1h40 de perdu ; ma note 0,5/5
    Alolfer
    Alolfer

    116 abonnés 1 068 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2024
    Probablement inspiré par David Lynch, "I saw the TV Glow" est un film indépendant de A24 où l'originalité pèse durant 1h40. Que cela soit par sa mise en scène, ses décors, sa direction artistique, sa photographie, et bien evidemment son scénario, ce film est une expérience. Angoissant, hypnotisant... mais surtout brillant par sa créativité ! une bonne surprise
    Farid MaLake
    Farid MaLake

    13 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juin 2024
    Ce film est étrange dans le bon sens, une petite pépite, une belle réalisation, un bon jeu des acteurs malgré leurs jeunes âges.
    Kamil Marque
    Kamil Marque

    18 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 juillet 2024
    Je n’ai malheureusement pas eu assez de moquette chez moi pour comprendre la vision artistique de la réalisatrice. À part ça, l'ambiance est étrange et il ne se passe absolument rien. Je me demande encore ce que j'ai vu et quel était le but de ce film. Si vous êtes courageux, tentez votre chance.
    Scofield
    Scofield

    11 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 août 2024
    Je n'ai rien compris à ce film et j'avoue que j'ai regardé en accéléré par la suite, car le danger (pour moi), c'était de mourir d'ennui. Est-ce que c'est cérébral, et je ne suis pas à même de suivre et de comprendre, peut-être. Je ne sais même pas dans quel genre ce film peut être classé.
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