Derniers Avis : MaXXXine - Page 6

Série Z médiocre et prévisible. L'histoire est incompréhensible par moments (bon, je n'ai pas vu le précédent...). Seul point positif: la bande-son

Mia est exceptionnel dans ce film, qui reste le moins bon de la trilogie, mais reste très sympa pour son ambiance, sa bande son années 80. Le coté serial killer est trop survolé. Espérons revoir Mia très vite dans d'autres films !

J’avais adoré « Pearl », j’ai trouvé « X » sympathique ; « MaXXXine » n’échappe à une note générale plus basse que grâce à sa photographie et à Mia Goth.

Le génie de « Pearl » semble donc n’avoir été obtenu que grâce au premier confinement et à l’empreinte laissée par celui-ci (c’est en effet durant cette étrange période que Ti West a écrit le scénario du « prequel »).
C’était dérangeant, inventif, magnifique, oppressant, jouissif. Pearl était la Joker du confinement, coincée dans un enfer aux allures du magicien d’Oz.

Que dire de ce dernier « volet » sinon qu’il n’a rien de bien positif sinon son héritage (et les nombreux hommages qu’il fait aux années 80) ?

Pas de scénario, pas de film.

Pas déméritant, le nouveau Ti West pèche cependant par un excès de références, qui font écran à un scénario dont la fin révèle son effarant manque d'épaisseur. Tout ça pour ça, soupîre-t'on.

A part l'une des scènes du début avec la performance d'actrice de Maxine lors d'un casting pour un long métrage d'horreur, peu de séquences m'ont convaincue. On s'attend quasiment au dénouement sur le sérial killer qui sévit à Hollywood presque au commencement du film. La réussite de ce thriller qui se veut d'épouvante tient dans le traitement de la pellicule, les décors et les costumes très années 80. Cet été offre peu de nouveautés, alors à voir par curiosité !

Je n’ai pas vu Pearl donc pour moi Maxxxine n’est que la deuxième partie d’une duologie initiée par Ti West. Notre icône du X ayant fait ses preuves dans son domaine décide d’élargir son horizon d’actrice pour devenir LA star de la cité des Anges. Mais comme partout le patriarcat et la morale puritaine règnent. L’atmosphère des années 80 est particulièrement bien rendue et Maxxxine, idéalement incarnée par Mia Goth est certainement l’une des héroïnes les plus attachantes et « badass » qu’on ait vu depuis longtemps dans le cinéma de genre. Et puis si comme moi vous avez loué des VHS de films d’horreur dans les années 80, ne quittez pas la séance trop vite, sa dernière image aura pour vous le goût de la meilleure des madeleines de Proust.

j'ai beaucoup aimé le côté vintage style années 60 et surtout pas de temps mort. Une distribution à la hauteur de l'histoire

J'ai bien aimé ce film, dans le style des films du genre des années 80, comme la période à laquelle se déroule l'histoire d'ailleurs. Bonne ambiance et bonne musique, un bon moment sans être inoubliable.

Très vite, la dimension presque parodique prend le pas sur l’aspect purement thriller, au point que l’on n’a jamais vraiment peur pour l’héroïne du film. Ici, on est plus dans l’esprit d’un "Scream", plutôt que dans un pur film d’horreur. On regarde tout ça, la plupart du temps, le sourire aux lèvres, et avant tout pour apprécier le talent du réalisateur, sa mise en scène soignée, son sens du cadre et de la lumière, et sa capacité à recréer le Hollywood des années 70/80 avec brio, à montrer l’envers du décor, notamment dans une très jolie scène de poursuite à travers des décors de films, entre Maxine et un détective privé (Kevin Bacon) engagé par le tueur.

MaXXXine nous fait donc revisiter Hollywood à sa manière, avec ici là, pas mal de clins d’œil au cinéma US de série B des années 60 à 80, mais avec aussi (comme dans beaucoup de films actuels) un message féministe, incarné par le personnage joué par Elizabeth Debicki, mais aussi avec notre héroïne, pas simplement montrée comme un objets sexuel soumise au plaisir des hommes, mais comme un être capable de se défendre face aux mâles pervers, à l’image de cette scène du début du film dans laquelle Maxine, coincée dans une rue sombre et promise à la mort atroce, va prendre le dessus sur son agresseur, d’une manière assez jouissive.

En tout cas, un film qui m’a donné envie d’aller jeter un œil aux deux précédents volets.

On espère aussi revoir Ti West très vite, en espérant qu’il ne se cantonne pas indéfiniment dans ce genre de film, car ce mec à vraiment un talent pour viser plus haut !

https://www.hop-blog.fr/maxxxine-ti-west-signe-un-film-habile-outrancier-et-jubilatoire/

Ti West revient pour un troisième film avec Mia Goth en vedette, qui est vraiment une actrice incroyable. Dans ce volet, truffé de référence, on suit Maxine dans sa volonté de devenir une Star d'Holywood. Le film prend à contre pied les slashers habituels en faisant du personnage "femme blonde" une vrai héros et non une "cruche". Film très intéressant avec beaucoup d'ironie. On passe un moment sympa.

Mélangeant industrie cinématographique des années 80 et film de serial killer , Maxxxine grâce beaucoup en sont actrice ( Mia Goth ) qui jouant à la fois sa naissance dans l'industrie , tout en devant liquider sont "elle" existentielle " , prend des allures de film non pas poseur mais plutôt subtil quand à la loi hollywoodienne pour être et devenir dans le monde des actrices ( la productrice génial ).

Comment dire ? affligeant, d'une rare médiocrité pour ne pas dire nullité. L'histoire est connue d'avance et n'a aucune mais alors aucune originalité. Une perte de temps, fuyez ce navet.

Je n'ai pas vu les films précédents, mais je n'ai pas été emballé par Maxxxine voir même déçue. Une idée de scénario originale dans le Hollywood des années 80, avec une première scène et une BO de ZZTOP prometteuse.... puis plus grand chose derrière, le sombre passé de Maxxxine à peine effleuré. Dommage le personnage aurait mérité plus de "chair" et de profondeur;

Ti West conclut sa trilogie Maxine avec son héroïne éponyme (Goth qui continue d'exceller dans ses tendances sociopathes) en quête de célébrité au cinéma à Hollywood vers 1985, où elle est choisie pour jouer dans un film d'horreur alors que les homicides de Night Stalker battent leur plein. Face à ses démons du passé, sans compter un détective crasseux (Bacon s'en donne à cœur joie avec son Jake Gittes intérieur), les tendances violentes sont en pleine floraison. Bien qu'il ne soit pas le plus fort du trio, il a ses moments de joie pulpeuse

Film sans intérêt et ennuyeux du début à la fin. À éviter.
De plus, j’al trouvé le rôle Kevin bacon pas très convaincant.