Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Mad Movies
par Gilles Esposito
Une étonnante descente aux enfers, portée par une narration retorse et par le portrait d'une héroïne d’exception, dont l"insolence se situe au-delà de toute morale.
20 Minutes
par Caroline Vié
Mia Goth et le réalisateur Ti West se retrouvent pour la troisième fois avec le flippant et sexy MaXXXine qui dose parfaitement les ingrédients d’un succès sulfureux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
S’il embrasse en un étrange équilibre de cynisme et de romantisme toute une contre-histoire sinistre de Hollywood et de ses starlettes aux destins broyés (on songe notamment au magnifique The Canyons de Schrader), MaXXXine n’en demeure pas moins irradié d’une malice et d’une légèreté vénéneuses et jubilatoires.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Avec l’excellent troisième opus de sa trilogie X, Ti West convoque la "satanic panic" des 80’s et un véritable serial killer pour mieux servir d’épouvantail aux rêves hollywoodiens de Mia Goth. Le tout dans un jeu jubilatoire de références.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Avec ses trois derniers films, Ti West fait voyager son thème d’une époque à une autre, d’un décor à l’autre, dans une variation de notes et d’ambiances, sans jamais rompre avec l’horreur et la beauté. Maxxxine joue avec l’outrance des années 80 pour clore avec jubilation cette trilogie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Maxxxine est bien moins un hommage aux années 1980 que le récit d’un star-system monstrueux. Ainsi qu’une conclusion parfaite à une trilogie parmi les plus fascinantes vues dans le genre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un thriller un tantinet dérangeant, comme quand le cinéma fantastique est au meilleur de sa forme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Alain Schlockoff
Le spectateur perd ses repères habituels, une fois de plus grâce à Ti West, et se laisse embarquer avec plaisir et crainte dans ce récit insensé évoquant le Briande Palma de la grande époque.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La suite d’une nouvelle franchise d’horreur pas comme les autres, avec une héroïne sulfureuse nommée Maxine (et Pearl), actrice porno puis starlette de cinéma gore dans les années 1980. En filigrane, l’irrésistible ascension de l’interprète britannique du rôle, Mia Goth.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
MAXXXINE est l’occasion pour West de conclure le jeu de miroir passionnant entre son actrice et son rôle, jeu entamé dans Pearl où la comédienne semblait tout donner, presque « trop donner » jusqu’à ce final glaçant où elle tentait de maintenir un douloureux sourire jusqu’à la fin du générique.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On retrouve la même générosité, la même audace et la même férocité dans ce récit initiatique revigorant et déviant, qui équilibre humour noir et gore dans une photographie vintage. Héritière de Bette Davis, Mia Goth est singulière et fabuleuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
Moins sanglant que X, même si truffé de quelques scènes bien gore, plus animé que Pearl, MaXXXine clôt en beauté une trilogie aussi singulière que féministe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par David Mikanowski
Les trois films de la saga X sont très différents les uns des autres, mais une certitude demeure : Ti West a signé l'une des meilleures trilogies horrifiques du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Ti West boucle le destin de son anti-héroïne avec cette inclassable fable morale, hommage généreux à l’Hollywood des eighties.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Mia Goth est le cœur battant de cette trilogie, sa fascinante incarnation, à la fois extrêmement singulière et changeante. Particulièrement dans MaXXXine, elle injecte sa substance, se confond avec sa matière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Cédric Page
Volontairement outrancier dans ses scènes violentes, ce film, qui tient au fond plus du thriller que de l'horreur pure, est également très fin dans le portrait qu'il livre d'une jeune femme tiraillée, écartelée entre des pulsions contraires.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Maxxxine est bourré de clins d'œil aux plus grands films et séries d'horreur, Psychose, Massacre à la tronçonneuse, Bates Motel…
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Ti West conclut avec brio sa trilogie d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par S.O.
Après X et Pearl, ce dernier volet, visible indépendamment des deux autres, est le plus ambitieux et le plus réussi de cette trilogie consacrée aux ravages du puritanisme par le réalisateur Ti West. Drôle et gore à souhait.
Télé Loisirs
par S.O.
Après X et Pearl, ce dernier volet, visible indépendamment des deux autres, est le plus ambitieux et le plus réussi de cette trilogie consacrée aux ravages du puritanisme par le réalisateur Ti West. Drôle et gore à souhait.
Voici
par D.B.
Un thriller très prenant et ultra-malin, fort de la présence une nouvelle fois captivante de la comédienne Mia Goth.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Mia Goth aimante la caméra, porte le film, lui fournit son carburant, son énergie punk. Sans elle, la trilogie de West aurait eu un clap de fin de série B non inspirée.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le premier degré jubilatoire du flippant X cède la place à un thriller en trompe-l’œil dont le fétichisme autoréflexif tourne à vide. À l’esprit malade de Pearl succède une héroïne iconisée mais dévitalisée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
S'il faut apprécier MaXXXine, c'est pour sa cinématographie, son esthétique et son ambiance, qui sont sa substance incomparable. West sait mettre en scène. Et créer un climat.
Le Monde
par Ma. Mt
La bonne idée de Ti West, c’est de convoquer cet âge d’or de vidéoclub par son empreinte visuelle : éclairages baroques, monochromes saturés, fétichisme des matières (le tueur aux mains gantées), usage délicieusement daté du "split screen" ("écran divisé"), jusqu’au "hard FM" de rigueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Si MaXXXine a moins d'allant que les précédents épisodes, ce projet porté par l'actrice Mia Goth reste ce que l'on a découvert de plus séduisant dans le genre sanglant ces derniers temps.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
Dernier volet de la trilogie débutée avec X, le film de Ti West raconte la reconversion en starlette de son héroïne, mais se perd dans l’excès de références et fétichisme cinéphiles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Maxine émeut et passionne, en grande partie parce qu’elle ne cherche jamais à dissimuler la lueur dingo dans son regard. Il était question à un moment que Ti West conclut avec ce film une trilogie, mais on a franchement du mal à imaginer qu’il abandonne en chemin une héroïne aussi démente.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Après X et Pearl, le réalisateur continue son exploration horrifico-cinéphile et honore les pères pour mieux trucider le patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un film d’horreur référentiel au scénario malin, doté d’indiscutables qualités de mise en scène, et qui confirme le statut de "petit maître" du genre pour Ti West.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Grignon
Comme dans Pearl, seule Mia Goth parvient à donner au film la liberté à laquelle il aspire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par E.S.
Ti West n'est pas Friedkin. Il n'est pas Tarantino non plus. Le final autour de la piscine fait pâle figure comparé à celui de Once Upon a Time… in Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Mad Movies
Une étonnante descente aux enfers, portée par une narration retorse et par le portrait d'une héroïne d’exception, dont l"insolence se situe au-delà de toute morale.
20 Minutes
Mia Goth et le réalisateur Ti West se retrouvent pour la troisième fois avec le flippant et sexy MaXXXine qui dose parfaitement les ingrédients d’un succès sulfureux.
Cahiers du Cinéma
S’il embrasse en un étrange équilibre de cynisme et de romantisme toute une contre-histoire sinistre de Hollywood et de ses starlettes aux destins broyés (on songe notamment au magnifique The Canyons de Schrader), MaXXXine n’en demeure pas moins irradié d’une malice et d’une légèreté vénéneuses et jubilatoires.
CinemaTeaser
Avec l’excellent troisième opus de sa trilogie X, Ti West convoque la "satanic panic" des 80’s et un véritable serial killer pour mieux servir d’épouvantail aux rêves hollywoodiens de Mia Goth. Le tout dans un jeu jubilatoire de références.
Culturopoing.com
Avec ses trois derniers films, Ti West fait voyager son thème d’une époque à une autre, d’un décor à l’autre, dans une variation de notes et d’ambiances, sans jamais rompre avec l’horreur et la beauté. Maxxxine joue avec l’outrance des années 80 pour clore avec jubilation cette trilogie.
Ecran Large
Maxxxine est bien moins un hommage aux années 1980 que le récit d’un star-system monstrueux. Ainsi qu’une conclusion parfaite à une trilogie parmi les plus fascinantes vues dans le genre.
Franceinfo Culture
Un thriller un tantinet dérangeant, comme quand le cinéma fantastique est au meilleur de sa forme.
L'Ecran Fantastique
Le spectateur perd ses repères habituels, une fois de plus grâce à Ti West, et se laisse embarquer avec plaisir et crainte dans ce récit insensé évoquant le Briande Palma de la grande époque.
L'Humanité
La suite d’une nouvelle franchise d’horreur pas comme les autres, avec une héroïne sulfureuse nommée Maxine (et Pearl), actrice porno puis starlette de cinéma gore dans les années 1980. En filigrane, l’irrésistible ascension de l’interprète britannique du rôle, Mia Goth.
La Septième Obsession
MAXXXINE est l’occasion pour West de conclure le jeu de miroir passionnant entre son actrice et son rôle, jeu entamé dans Pearl où la comédienne semblait tout donner, presque « trop donner » jusqu’à ce final glaçant où elle tentait de maintenir un douloureux sourire jusqu’à la fin du générique.
Le Journal du Dimanche
On retrouve la même générosité, la même audace et la même férocité dans ce récit initiatique revigorant et déviant, qui équilibre humour noir et gore dans une photographie vintage. Héritière de Bette Davis, Mia Goth est singulière et fabuleuse.
Le Parisien
Moins sanglant que X, même si truffé de quelques scènes bien gore, plus animé que Pearl, MaXXXine clôt en beauté une trilogie aussi singulière que féministe.
Le Point
Les trois films de la saga X sont très différents les uns des autres, mais une certitude demeure : Ti West a signé l'une des meilleures trilogies horrifiques du cinéma américain.
Les Fiches du Cinéma
Ti West boucle le destin de son anti-héroïne avec cette inclassable fable morale, hommage généreux à l’Hollywood des eighties.
Les Inrockuptibles
Mia Goth est le cœur battant de cette trilogie, sa fascinante incarnation, à la fois extrêmement singulière et changeante. Particulièrement dans MaXXXine, elle injecte sa substance, se confond avec sa matière.
Ouest France
Volontairement outrancier dans ses scènes violentes, ce film, qui tient au fond plus du thriller que de l'horreur pure, est également très fin dans le portrait qu'il livre d'une jeune femme tiraillée, écartelée entre des pulsions contraires.
Public
Maxxxine est bourré de clins d'œil aux plus grands films et séries d'horreur, Psychose, Massacre à la tronçonneuse, Bates Motel…
Sud Ouest
Ti West conclut avec brio sa trilogie d’horreur.
Télé 2 semaines
Après X et Pearl, ce dernier volet, visible indépendamment des deux autres, est le plus ambitieux et le plus réussi de cette trilogie consacrée aux ravages du puritanisme par le réalisateur Ti West. Drôle et gore à souhait.
Télé Loisirs
Après X et Pearl, ce dernier volet, visible indépendamment des deux autres, est le plus ambitieux et le plus réussi de cette trilogie consacrée aux ravages du puritanisme par le réalisateur Ti West. Drôle et gore à souhait.
Voici
Un thriller très prenant et ultra-malin, fort de la présence une nouvelle fois captivante de la comédienne Mia Goth.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mia Goth aimante la caméra, porte le film, lui fournit son carburant, son énergie punk. Sans elle, la trilogie de West aurait eu un clap de fin de série B non inspirée.
L'Obs
Le premier degré jubilatoire du flippant X cède la place à un thriller en trompe-l’œil dont le fétichisme autoréflexif tourne à vide. À l’esprit malade de Pearl succède une héroïne iconisée mais dévitalisée.
Le Dauphiné Libéré
S'il faut apprécier MaXXXine, c'est pour sa cinématographie, son esthétique et son ambiance, qui sont sa substance incomparable. West sait mettre en scène. Et créer un climat.
Le Monde
La bonne idée de Ti West, c’est de convoquer cet âge d’or de vidéoclub par son empreinte visuelle : éclairages baroques, monochromes saturés, fétichisme des matières (le tueur aux mains gantées), usage délicieusement daté du "split screen" ("écran divisé"), jusqu’au "hard FM" de rigueur.
Les Echos
Si MaXXXine a moins d'allant que les précédents épisodes, ce projet porté par l'actrice Mia Goth reste ce que l'on a découvert de plus séduisant dans le genre sanglant ces derniers temps.
Libération
Dernier volet de la trilogie débutée avec X, le film de Ti West raconte la reconversion en starlette de son héroïne, mais se perd dans l’excès de références et fétichisme cinéphiles.
Première
Maxine émeut et passionne, en grande partie parce qu’elle ne cherche jamais à dissimuler la lueur dingo dans son regard. Il était question à un moment que Ti West conclut avec ce film une trilogie, mais on a franchement du mal à imaginer qu’il abandonne en chemin une héroïne aussi démente.
Télérama
Après X et Pearl, le réalisateur continue son exploration horrifico-cinéphile et honore les pères pour mieux trucider le patriarcat.
aVoir-aLire.com
Un film d’horreur référentiel au scénario malin, doté d’indiscutables qualités de mise en scène, et qui confirme le statut de "petit maître" du genre pour Ti West.
Critikat.com
Comme dans Pearl, seule Mia Goth parvient à donner au film la liberté à laquelle il aspire.
Le Figaro
Ti West n'est pas Friedkin. Il n'est pas Tarantino non plus. Le final autour de la piscine fait pâle figure comparé à celui de Once Upon a Time… in Hollywood.