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    Priscilla
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    nadia okbi fabiani
    nadia okbi fabiani

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    D'une lenteur abyssale, montre Elvis comme un manipulateur et "Cilla" comme une victime. Peut-être la vérité mais sincèrement aucun intérêt.
    Jean-Louis Sanchez
    Jean-Louis Sanchez

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 janvier 2024
    Film sans le moindre intérêt et particulièrement caricatural pour Elvis Presley. Un travail paresseux et prétentieux. Le contraire du film Elvis. A éviter absolument
    Framas54
    Framas54

    16 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    N’y allez pas pour Elvis, incarné par un acteur trop grand et trop mince, taciturne, balbutiant, aux ordres de son père et du colonel..qui plus est mollasson dans l’étreinte. Simple déroulé de la vie de cette pauvre Priscilla qui s’ennuie à périr à Graceland, le film finit par plonger le spectateur en léthargie. Pas de cinéma ici, Mme Coppola ! Le réalisme n’est jamais une excuse pour masquer l’absence de trouvailles, de rebondissements.. elle aurait du demander à son papa..
    lecinéaddict
    lecinéaddict

    20 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    Une succession de petits-films. Le jeu de Jacob Elordi est vraiment pas terrible. L'histoire est peu intéressante et le dénouement s'effectue en moins de 3 minutes alors que le reste du film raconte globalement tout le temps la même chose. À cela, ajouter un usage démesuré du fondu noir et une différence de taille exagérée qui fait passer Priscilla Presley pour une naine. Seul point positif : l'actrice Cailee Spaeny, sans qui j'aurai pu descendre ma note bien en dessous.
    Theo
    Theo

    19 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2024
    "Priscilla", un film dramatique biographique de 2023 réalisé par Sofia Coppola, explore la vie complexe et souvent troublée de Priscilla Presley, interprétée avec nuance par Cailee Spaeny. Le film, basé sur les mémoires "Elvis and Me", se concentre sur la relation tumultueuse et fascinante entre Priscilla et Elvis Presley, joué par Jacob Elordi, en se plongeant dans les détails intimes et les défis de leur vie commune.

    spoiler: Le film commence en 1959 en Allemagne, où une jeune Priscilla Beaulieu rencontre Elvis Presley, alors une superstar en plein service militaire.
    La différence d'âge significative et le statut de célébrité d'Elvis posent d'emblée des enjeux dramatiques et émotionnels. Coppola navigue habilement à travers ces complexités, capturant l'innocence et la vulnérabilité de Priscilla face à l'énorme présence d'Elvis.

    La direction artistique du film est impeccable, reconstituant fidèlement les années 60 avec un souci du détail qui enrichit chaque scène. Cependant, le film peine parfois à équilibrer son esthétique soignée avec la profondeur émotionnelle nécessaire pour pleinement engager le spectateur dans l'histoire de Priscilla. Bien que visuellement attrayant, il manque parfois de l'intensité dramatique qui aurait donné plus de poids à l'histoire.

    La performance de Cailee Spaeny en tant que Priscilla est le point fort du film. Elle capture avec brio l'évolution de son personnage d'une adolescente naïve à une femme plus mûre et désillusionnée. Jacob Elordi, quant à lui, offre une interprétation convaincante d'Elvis, bien que sa performance soit par moments éclipsée par le scénario qui ne lui laisse pas assez d'espace pour explorer pleinement la complexité du personnage.

    L'absence de la musique d'Elvis Presley dans la bande originale est un choix audacieux qui met l'accent sur l'histoire personnelle plutôt que sur la carrière de la superstar. La musique originale du film, composée par Sons of Raphael, soutient bien le récit, bien que certains fans d'Elvis puissent regretter l'absence de ses chansons emblématiques.

    En termes de narration, "Priscilla" parvient à dépeindre les difficultés et les pressions subies par Priscilla en tant que jeune femme propulsée dans le monde tumultueux de la célébrité. Toutefois, le film aurait bénéficié d'un développement plus approfondi de certains aspects de sa vie, notamment son rôle de mère et ses projets professionnels après Elvis.

    Globalement, "Priscilla" est une œuvre visuellement captivante et bien interprétée qui offre un regard intime sur la vie de Priscilla Presley. Bien que le film brille dans sa représentation de l'époque et dans la performance de ses acteurs principaux, il aurait pu bénéficier d'un traitement plus approfondi de certains aspects de l'histoire pour un impact émotionnel plus fort.
    Michel Moatti
    Michel Moatti

    20 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2024
    Feuilleter une vieille collection de Vogue États-Unis ou ça, c'est la même chose. la déco est léchée comme un timbre poste, les comédiens font tout pour être ressemblant mais le film manque totalement de chair.
    Faute à un scénario inexistant qui repose sur la désillusion d'une adolescente pour un crooner de papier glacé.
    Tout ça pour ça.
    Mieux vaut revoir American Graffitis de Spielberg qui sait insuffler de la vie dans ses films.
    ELISABETH WELLAND
    ELISABETH WELLAND

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 janvier 2024
    un film très long, trop long...
    on s'ennuie du début à la fin ou plutôt l'absence de fin du film.
    une énorme déception.
    Alolfer
    Alolfer

    137 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 octobre 2024
    2024 est une année qui commence bien ! Le nouveau long métrage de Sofia Coppola est une réussite ! Que cela soit la prestation de Cailee Spaeny en Priscilla et de Jacob Elordi en Elvis ; Que cela soit l'histoire, que cela soit la mise en scène ou la photographie, le film "Priscilla" possède toutes les qualités qu'on demande pour un bon film !

    La relation entre Priscilla et Elvis est à la fois belle et toxique, notamment bien aidé par le duo Spaeny/Elordi. Visuellement, le film est magnifique, et tout cela apporte une touche de tendresse.

    Très bon film !
    Michel C.
    Michel C.

    280 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    Biopic assez décevant – désolé – mais pouvait-on s’attendre à mieux ? Ce n’est pas le personnage d’Elvis, à travers Jacob Elordi, qui peut défendre le mieux cette production qui s’attache aux 10 années partagées avec Priscilla Presley, depuis l’Allemagne jusqu’à la naissance de sa fille. En effet, le scénario démarre sur une rencontre fortuite, elle avait 14 ans, collégienne, en décalage notoire par rapport à la vie de Rockeur avec son groupe, et sans doute ses premiers dérapages. Mais je dois dire que le casting de Cailee Spaeny est judicieux. Elle réussit à incarner une collégienne, timide, dans les premières images, jusqu’à sa transformation en jeune maman, finalement dégoutée du comportement d’Elvis, et pas seulement pour ses conquêtes faciles, mais épuisée par les décalages de vie, la drogue, l' impulsivité permanente d' Elvis. Cette jeune femme est tout simplement délicieuse, avec un maquillage efficace, et s’accommode d’une mise en scène douce et sucrée, à l’utilisation d’une épaisse moquette, d’un décor reconstituant « Graceland », la splendide demeure style colonial de Memphis, des années 60, transformée depuis, avec de très belles couleurs ( et quelques autos splendides également ). Le décalage est notamment accentué à l’image ne serait-ce que par l’écart des tailles respectives d’Elvis et de Priscilla…40 cm dans ce biopic doublant la réalité de 20 cm, et si on ajoute bien entendu l’écart d’âge - surtout au début – qui implique des réactions de bon sens : « Que font ils ensemble » ? Je ne retiendrai que l’interprétation de Cailee Spaeny, remarquable, alliant charme et harmonie, relevant à elle-seule, un biopic plutôt mièvre et ennuyeux.... !!**
    nicole Wacrenier
    nicole Wacrenier

    11 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    Ce qui me frappe dans " Priscilla" c'est sous la douceur de la forme, la force muette des images. Sofia Coppola sait voir la passivité étrange et alanguie des adolescentes. Elle attrape l'image, l'apparence et ce qui en elle, ne va pas. Ce qu'elle accentue. Ce qui me frappe, c'est le déséquilibre permanent de Priscilla et de son couple. Elle est si petite. Elvis est immense. L'acteur australien, Jacob Elodi est très beau, à jamais longiligne, à la différence d'Elvis. Priscilla est incarnée par une actrice étonnante, Cailee Spaeny, joliment et naturellement adolescente qui devient une femme plutôt caricaturale, excessive et triste. Sofia Coppola ne centre pas son film sur le chanteur adulé mais sur son épouse esseulée. Et l'apparence est essentielle. Priscilla est toute petite et bien que ronde, paraît frêle. Elle tombe amoureuse de l'idole et peu à peu se métamorphose. Sa chevelure châtain, légère et folle devient, à la demande du Prince, noire de nuit et elle gonfle, gonfle. Casque énorme, semblable aux perruques du Grand siècle. Ses robes gonflent, gonflent selon la mode des années 50-60. Sofia Coppola n'est pas grandiloquente, elle montre et grossit les détails de la féminité : vernis à ongles, faux cils, rouge à lèvres, miroirs, bigoudis et brosse à cheveux. Priscilla se soumet, silencieuse. Juste OK....OK...Un choix de robes et de couleurs devant Elvis et sa bande d' inséparables amis-hommes, se terminera par une sentence semblable à "Seul le bleu te va".
    Elvis Presley n'est pas montré véritablement dans sa déchéance physique, dans son obésité. Il est une sorte d'adolescent prolongé, recherchant dans les amphétamines et la poupée qu'il a épousée stimulation et protection. Compagne de jeux obéissante, doux oreiller, épouse et mère mais jamais objet de désir. Impuissance ? Homosexualité refoulée ? Sofia Coppola ne dit rien. Que le désarroi d'une jeune femme dans la prison dorée de Graceland et les atours mortifères de princesse au bois dormant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 518 abonnés 3 534 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2024
    Lorsque Priscilla Beaulieu rencontre Elvis Presley en 1959, sur une base américaine en Allemagne où le chanteur effectue son service militaire, il est déjà une star adulée alors qu’elle n’est encore qu’une collégienne de quatorze ans. Leur flirt s’interrompt avec le retour d’Elvis aux Etats-Unis quelques mois plus tard ; mais en 1962 Priscilla est invitée à Graceland et arrachera à ses parents l’accord pour s’y installer l’année suivante.
    Si Priscilla jouit à Graceland d’un statut de princesse, elle étouffe vite auprès d’Elvis qui ne lui laisse aucune liberté et la gave de barbituriques. Après leur mariage et la naissance de Lisa, leur fille unique, Priscilla décide de quitter Graceland en 1972 après neuf ans de vie commune.

    C’est peu dire que la sortie de "Priscilla" était impatiemment attendue. Le film, depuis sa projection à Venise, où son actrice principale, la révélation Cailee Spaeny, avait obtenu la Coupe Volpi de la meilleure interprétation féminine, était précédé d’une rumeur enthousiaste. La renommée de sa réalisatrice y était pour beaucoup. Depuis vingt-cinq ans, Sofia Coppola a réussi à se faire un prénom. Son dernier film est très cohérent avec le reste de sa filmographie : comme "Virgin Suicides", "Lost in Translation" ou "Marie-Antoinette", "Priscilla" raconte l’adolescence, le luxe, la solitude et l’ennui.

    Certes "Priscilla" séduira la ou le fashionista qui se terre en chacun.e d’entre nous : Sofia Coppola a le don – ou le défaut ? – de filmer certaines de ses scènes comme des pubs de produits de marque qui subliment les bijoux, les sacs à main, les chaussures, les ensembles…

    Mais "Priscilla" se heurte à un écueil redoutable : raconter paresseusement une histoire jouée d’avance, sans enjeu ni suspense. On sait que Priscilla est une oie blanche, trop jeune et trop timide pour se marier qui, passé l’émerveillement ressenti devant tout ce luxe désormais accessible (ah ! ces petits pieds aux ongles vernis qui s’enfoncent dans cette moquette rose si profonde !), va s’ennuyer ferme dans une prison dorée. On sait aussi qu’Elvis est un grand dadais immature, étouffé par son père et son impresario, écrasé par sa soudaine célébrité, qui n’imagine pas que sa femme puisse revendiquer la moindre liberté. Le film évoque sans y insister et avec beaucoup de doigté – sans que je sache si cette dimension a déjà été révélé dans les (nombreuses) biographies du "King" – son homosexualité refoulée.

    Le film aurait pu emprunter d’autres voies plus audacieuses. Il aurait pu tourner au thriller en évoquant les tentatives ratées de Priscilla de s’enfuir, voire au porno trash en, décrivant une jeune femme avilie par les délires sexuels de son seigneur et maître. Mais "Priscilla" est bien trop sage. On s’y ennuie ferme et on accueille avec soulagement la séparation du couple, longtemps attendue et trop longtemps différée.
    Chatcaliban
    Chatcaliban

    37 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2024
    C'est très décevant. Si la photo est belle, le film déroule une longue tranche de vie d'un couple hors norme mais tout ça est sans grand intérêt. L'action est quasi nulle et il ne se passe rien. On laisse du temps au film au début pour se demander quand il va nous raconter qquechose et puis rien ne vient. Je déconseille.
    Onir
    Onir

    85 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    J'ai aimé ce film pour le fond plus que pour la forme.
    Le déroulé est assez lent, mais la psychologie des personnages est bien travaillée, pas grossière à la manière US ... Ici on est dans le détail.
    Les décors des années 60, bien sympathiques, l'esthétique est travaillée.

    Il ressort bien l'objetisation de l'adolescente par cet homme, l'influençabilité et la dépendance totale de l'adolescente, elle apparaît totalement effacée et insipide, sans capacité d'affirmation de soi et en même temps c'est relativement normal, elle est en pleine construction 🤷🏻‍♀️
    C'est vraiment son petit objet.

    Ce film exprime bien une des nombreuses facettes de la notion de relation d'emprise, ici on est clairement dedans, pouvoir total d'un homme adulte sur une adolescente et déséquilibre, même s'il n'est pas question de violences sexuelles ou physiques, c'est trés intéressant justement pour cela.
    Le déséquilibre dans la relation est total, de part la différence d'âge, la personnalité de cette adolescente, la façon dont il ne se préoccupe pas du tout de ses besoins à elle, et évidemment le statut de cet homme.

    Je trouve que ce film décrit bien la complexité de ce type de situation, surtout qu'on est dans une époque où la dépendance des femmes aux hommes, étaient encore plus marquée.
    Kat's eyes
    Kat's eyes

    33 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 janvier 2024
    En voulant se démarquer de l'Elvis de Baz Luhrmann, Sophia Coppola livre un biopic bien fade. Visuellement très léché, le film ressemble à un long et soporifique roman-photo sur papier glacé. Si la jeune actrice dans le rôle principal est assez convaincante, Jacob Elordi campe un Elvis soupe au lait et capricieux, sans aucun charisme, très loin de la flamboyante prestation d'Austin Butler, à qui il est impossible de ne pas le comparer. Le scénario présente un Colonel omniprésent mais invisible et aucune chanson du King au générique ! Quant au prétendu empowerment de l'héroïne, il est bien timide. Tout ça pour ça, il y a de quoi être un peu déçu.
    brunocinoche
    brunocinoche

    98 abonnés 1 108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2024
    Comme souvent Sofia Coppola s'intéresse à un personnage féminin en décalage sur son époque ou son entourage. C'est dire si le personnage de Priscilla Presley ne pouvait que l'intéresser.
    Comme Marie Antoinette dans sa cage dorée à Versailles, voici la jeune Priscilla enfermée dans sa cage dorée à Graceland. Mais, très vite, son film plus fait de chuchotements que de cris (pourquoi pas) se révèle lisse et sans surprise.
    Si le film échappe à l'ennui total, c'est grâce à sa comédienne, remarquable dans la peau de l'héroïne, tout aussi crédible en l'incarnant en timide adolescente qu'en jeune trentenaire en voie d'émancipation.
    Une nouvelle fois, Sofia Coppola passe à côté de son sujet, une nouvelle fois seuls ses 2 premiers longs métrages (+ de 20 ans maintenant !) m'auront pleinement convaincus.
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