Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
41 critiques presse
Bande à part
par Benoit Basirico
Hier maniériste, usant d’effets de flous, de scintillements et de jeux de couleurs, la cinéaste se montre aujourd’hui plus en retenue dans sa forme tout en explorant toujours profondément la psychologie de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Florence Trédez
Sensible, dérangeant, magistral.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Ce drame brille par son portrait de femme si finement observé et écrit (...).
Les Echos
par Adrien Gombeaud
« Priscilla » marque pour Sofia Coppola un retour au sommet de son art et dans le labyrinthe de ses obsessions. Elle impose à son récit ce sentiment d'une lente chute où des parfums luxueux ne recouvrent pas l'odeur d'un monde en putréfaction.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Coppola atteint une forme d’ascèse stylistique presque clinique. Le dépouillement, le renoncement à l’éclat comme procédé de désobéissance au patriarcat, telle est donc la réponse que semble avoir aujourd’hui trouvée Sofia Coppola pour poursuivre le projet d’un cinéma à soi, à l’instar de son héroïne qui finira par littéralement tourner le dos à Graceland pour peut-être, enfin, vivre sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un beau biopic mélancolique.
Voici
par La Rédaction
(...) Priscilla n'aurait pu être qu'une figure tragique. Coppola filme au contraire sa poigne et sa résilience, en cela bien aidée par la prestation ahurissante de Calee Spaeny
20 Minutes
par Caroline Vié
Cailee Spaeny, dans le rôle-titre, n’a pas volé son prix d’interprétation à la Mostra de Venise. De gamine timide à femme épanouie, elle parcourt le chemin douloureux de son modèle, la vraie Priscilla Presley, qui a coproduit ce film dur et puissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
"Priscilla" réussi à captiver son audience avec ce récit passionnant d’une jeune fille tombée amoureuse d’un monument de la culture américaine [...].
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Partant de la malédiction qui condamne le couple à glisser sur son miroitement médiatique, Priscilla est avant tout un mélo très doux, un film chuchoté, faisant des confessions de la chambre conjugale le juste niveau sonore de cette histoire.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un biopic formidablement anglé.
Closer
par J.B.
Un portrait fascinant.
Culturopoing.com
par Arthur-Louis Cingualte
À mesure que le King s’encombre et se calcifie sur place, elle, se débarrasse et s’épanouit [...] Le dernier film mélancolique de Sofia Coppola, son meilleur depuis longtemps, c’est un peu comme la victoire de la pop sur le rock.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si la parenté de talent avec son père est acquise, tout comme son indépendance, on sent la patte de la réalisatrice comme jamais dans ce Priscilla passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Rarement l'inertie du cinéma de Sofia Coppola, parfois moquée mais toujours stimulante et même par endroits terrassante, n'aura aussi bien épousé le sujet d'un de ses films.
La critique complète est disponible sur le site GQ
LCI
par Delphine De Freitas
À la fois tendre et cruel, Priscilla interroge autant sur l’époque que sur la figure intouchable et quasi christique d’Elvis.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le prix de la meilleure interprétation féminine remis à l’actrice Cailee Spaeny, 25 ans, à la dernière Mostra de Venise, n’est que justice.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par M. Dl.
Variation sur l’adolescence, le film traite aussi de la société de consommation, des femmes au foyer, des époux, des années 1960, du rock’n’roll, de la drogue, et raconte, à travers l’illusion de la belle vie, la hantise de la solitude et de l’ennui. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Sofia Coppola filme cette histoire comme une variation autour d'Alice au pays des merveilles et livre au passage un autoportrait singulier et émouvant, sans doute le meilleur film de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Luc Chessel
Ces treize années avec Elvis sont un sujet en or pour Sofia Coppola, et lui offrent son meilleur film, qui n’oublie pas d’être paradoxal : le plus elliptique et le plus empathique, le plus fantomatique et le plus direct, le plus esthétisant et le plus critique à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette romance noire justifiait bien un film. Bonne nouvelle : il est excellent.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par E.B.
Un biopic réussi sur l’épouse du King du rock.
Paris Match
par Benjamin Locoge
POUR : Sofia Coppola signe un beau film sur l'épouse du King.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Priscilla constitue le parfait contrechamp du flamboyant Elvis de Baz Luhrmann, l’envers peu reluisant du décor glamour. Et par son parti pris de dépouillement qui nous plonge dans la tête de son héroïne et d’une descente aux enfers dont elle prend peu à peu conscience, Sofia Coppola ne martèle rien. Elle raconte l’emprise dans un magnifique geste de cinéaste et de sororité mêlés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Épousant la seule perspective de Priscilla, son féminisme est discret mais assuré... Comme l'art filmique de Sofia Coppola.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un regard intime, délicat, élégant sur la perte de l’innocence.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
La sécheresse coutumière du trait fort sarcastique de Sofia Coppola n'empêche pas la tendresse. Au contraire, elle rend sa satire plus nuancée et plus juste sur la mélancolie d'une jeunesse se sachant prisonnière de ses reflets.
Télé 2 semaines
par Mathilde Aubry
Ce choix narratif, précis et implacable, permet de faire le portrait féministe d'une épouse tentant d'exister au côté d'une superstar, mais aussi d'un King toxique.
Télé Loisirs
par M.L
L'interprétation de Cailee Spaeny est spectaculaire.
Télérama
par Marie Sauvion
La cinéaste signe le portrait éblouissant d’une captive marchant vers sa liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Sofia Coppola, reine incontestée du female gaze, raconte la grande Histoire par la prisme du féminin sacré. Elle réussit à mythifier la figure de Priscilla Presley et l’ériger en icône intemporelle. On touche ici au sublime.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le charme de l'image fait oublier les questions laissées en suspens.
L'Obs
par Nicolas Schaller
A 52 ans, Sofia Coppola filme mieux l’attente romantique de la midinette émoustillée que l’ennui de la femme au foyer bafouée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Dans le rôle de Priscilla, la petite taille de Cailee Spaeny contraste avec celle de son partenaire, Jacob Elordi qui en Elvis Presley lui prête une innocence et une fragilité touchante (...). Son interprétation placide et sans émotion apparente rend cependant son personnage si opaque qu’il est difficile d’en comprendre le cheminement intérieur, nous laissant un peu sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Sofia Coppola construit depuis ses débuts une œuvre qui n’en finit pas de nous surprendre dans la répétition.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Sofia Coppola brosse un portrait sensible mais sans aspérité de l’épouse d’Elvis Presley qui convola adolescente avant de rejoindre la prison dorée de Graceland.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
D’un point de vue formel, on est bien dans un film de Sofia Coppola, avec une ambiance vaporeuse qui souligne l’ennui de l’épouse souvent laissée seule à Graceland. Sur le fond, le film laisse une impression mitigée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Sofia Coppola filme Priscilla dans une cage dorée, pour un film élégant mais un peu dénué de surprises.
Télé 7 Jours
par J.B.
Si Calee Spaeny l'incarne avec une grâce et une justesse infinie, le portrait n'est qu'une esquisse (...).
Critikat.com
par Marin Gérard
On ne trouve plus trace ici de l'évanescence, du vague à l'âme, ni même de la certaine candeur formelle qui faisaient le sel des premiers films de Sofia Coppola. C’est plutôt la fadeur qui semble désormais caractériser son style.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Paris Match
par Fabrice Leclerc
CONTRE : Comme trop souvent avec Sofia Coppola, les questions posées affleurent mais restent sans réponses.
Bande à part
Hier maniériste, usant d’effets de flous, de scintillements et de jeux de couleurs, la cinéaste se montre aujourd’hui plus en retenue dans sa forme tout en explorant toujours profondément la psychologie de son héroïne.
Elle
Sensible, dérangeant, magistral.
Le Journal du Dimanche
Ce drame brille par son portrait de femme si finement observé et écrit (...).
Les Echos
« Priscilla » marque pour Sofia Coppola un retour au sommet de son art et dans le labyrinthe de ses obsessions. Elle impose à son récit ce sentiment d'une lente chute où des parfums luxueux ne recouvrent pas l'odeur d'un monde en putréfaction.
Les Inrockuptibles
Coppola atteint une forme d’ascèse stylistique presque clinique. Le dépouillement, le renoncement à l’éclat comme procédé de désobéissance au patriarcat, telle est donc la réponse que semble avoir aujourd’hui trouvée Sofia Coppola pour poursuivre le projet d’un cinéma à soi, à l’instar de son héroïne qui finira par littéralement tourner le dos à Graceland pour peut-être, enfin, vivre sa vie.
Ouest France
Un beau biopic mélancolique.
Voici
(...) Priscilla n'aurait pu être qu'une figure tragique. Coppola filme au contraire sa poigne et sa résilience, en cela bien aidée par la prestation ahurissante de Calee Spaeny
20 Minutes
Cailee Spaeny, dans le rôle-titre, n’a pas volé son prix d’interprétation à la Mostra de Venise. De gamine timide à femme épanouie, elle parcourt le chemin douloureux de son modèle, la vraie Priscilla Presley, qui a coproduit ce film dur et puissant.
CNews
"Priscilla" réussi à captiver son audience avec ce récit passionnant d’une jeune fille tombée amoureuse d’un monument de la culture américaine [...].
Cahiers du Cinéma
Partant de la malédiction qui condamne le couple à glisser sur son miroitement médiatique, Priscilla est avant tout un mélo très doux, un film chuchoté, faisant des confessions de la chambre conjugale le juste niveau sonore de cette histoire.
CinemaTeaser
Un biopic formidablement anglé.
Closer
Un portrait fascinant.
Culturopoing.com
À mesure que le King s’encombre et se calcifie sur place, elle, se débarrasse et s’épanouit [...] Le dernier film mélancolique de Sofia Coppola, son meilleur depuis longtemps, c’est un peu comme la victoire de la pop sur le rock.
Franceinfo Culture
Si la parenté de talent avec son père est acquise, tout comme son indépendance, on sent la patte de la réalisatrice comme jamais dans ce Priscilla passionnant.
GQ
Rarement l'inertie du cinéma de Sofia Coppola, parfois moquée mais toujours stimulante et même par endroits terrassante, n'aura aussi bien épousé le sujet d'un de ses films.
LCI
À la fois tendre et cruel, Priscilla interroge autant sur l’époque que sur la figure intouchable et quasi christique d’Elvis.
La Voix du Nord
Le prix de la meilleure interprétation féminine remis à l’actrice Cailee Spaeny, 25 ans, à la dernière Mostra de Venise, n’est que justice.
Le Monde
Variation sur l’adolescence, le film traite aussi de la société de consommation, des femmes au foyer, des époux, des années 1960, du rock’n’roll, de la drogue, et raconte, à travers l’illusion de la belle vie, la hantise de la solitude et de l’ennui. A ne pas manquer.
Le Point
Sofia Coppola filme cette histoire comme une variation autour d'Alice au pays des merveilles et livre au passage un autoportrait singulier et émouvant, sans doute le meilleur film de sa carrière.
Libération
Ces treize années avec Elvis sont un sujet en or pour Sofia Coppola, et lui offrent son meilleur film, qui n’oublie pas d’être paradoxal : le plus elliptique et le plus empathique, le plus fantomatique et le plus direct, le plus esthétisant et le plus critique à la fois.
Marianne
Cette romance noire justifiait bien un film. Bonne nouvelle : il est excellent.
Marie Claire
Un biopic réussi sur l’épouse du King du rock.
Paris Match
POUR : Sofia Coppola signe un beau film sur l'épouse du King.
Première
Priscilla constitue le parfait contrechamp du flamboyant Elvis de Baz Luhrmann, l’envers peu reluisant du décor glamour. Et par son parti pris de dépouillement qui nous plonge dans la tête de son héroïne et d’une descente aux enfers dont elle prend peu à peu conscience, Sofia Coppola ne martèle rien. Elle raconte l’emprise dans un magnifique geste de cinéaste et de sororité mêlés.
Rolling Stone
Épousant la seule perspective de Priscilla, son féminisme est discret mais assuré... Comme l'art filmique de Sofia Coppola.
Sud Ouest
Un regard intime, délicat, élégant sur la perte de l’innocence.
Transfuge
La sécheresse coutumière du trait fort sarcastique de Sofia Coppola n'empêche pas la tendresse. Au contraire, elle rend sa satire plus nuancée et plus juste sur la mélancolie d'une jeunesse se sachant prisonnière de ses reflets.
Télé 2 semaines
Ce choix narratif, précis et implacable, permet de faire le portrait féministe d'une épouse tentant d'exister au côté d'une superstar, mais aussi d'un King toxique.
Télé Loisirs
L'interprétation de Cailee Spaeny est spectaculaire.
Télérama
La cinéaste signe le portrait éblouissant d’une captive marchant vers sa liberté.
aVoir-aLire.com
Sofia Coppola, reine incontestée du female gaze, raconte la grande Histoire par la prisme du féminin sacré. Elle réussit à mythifier la figure de Priscilla Presley et l’ériger en icône intemporelle. On touche ici au sublime.
Femme Actuelle
Le charme de l'image fait oublier les questions laissées en suspens.
L'Obs
A 52 ans, Sofia Coppola filme mieux l’attente romantique de la midinette émoustillée que l’ennui de la femme au foyer bafouée.
La Croix
Dans le rôle de Priscilla, la petite taille de Cailee Spaeny contraste avec celle de son partenaire, Jacob Elordi qui en Elvis Presley lui prête une innocence et une fragilité touchante (...). Son interprétation placide et sans émotion apparente rend cependant son personnage si opaque qu’il est difficile d’en comprendre le cheminement intérieur, nous laissant un peu sur notre faim.
La Septième Obsession
Sofia Coppola construit depuis ses débuts une œuvre qui n’en finit pas de nous surprendre dans la répétition.
Le Figaro
Sofia Coppola brosse un portrait sensible mais sans aspérité de l’épouse d’Elvis Presley qui convola adolescente avant de rejoindre la prison dorée de Graceland.
Le Parisien
D’un point de vue formel, on est bien dans un film de Sofia Coppola, avec une ambiance vaporeuse qui souligne l’ennui de l’épouse souvent laissée seule à Graceland. Sur le fond, le film laisse une impression mitigée.
Les Fiches du Cinéma
Sofia Coppola filme Priscilla dans une cage dorée, pour un film élégant mais un peu dénué de surprises.
Télé 7 Jours
Si Calee Spaeny l'incarne avec une grâce et une justesse infinie, le portrait n'est qu'une esquisse (...).
Critikat.com
On ne trouve plus trace ici de l'évanescence, du vague à l'âme, ni même de la certaine candeur formelle qui faisaient le sel des premiers films de Sofia Coppola. C’est plutôt la fadeur qui semble désormais caractériser son style.
Paris Match
CONTRE : Comme trop souvent avec Sofia Coppola, les questions posées affleurent mais restent sans réponses.