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    Taxi Driver
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    1 129 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 septembre 2014
    Le duo DeNiro-Scorsese dépeint avec talent un New York violent, angoissant et oppressant. On peut ressentir le malaise de ce chauffeur de taxi face à ce monstre urbain. Ses obsessions grandissantes et sa paranoïa sonnent justes et on commence à être débecté par cette atmosphère malsaine. Alors pourquoi le film ne restera pas dans mes incontournables ? Parce qu'une atmosphère ne fait pas à elle seule un film et que le scénario manque un peu de piquant pour le mécréant que je suis.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 septembre 2014
    Film culte avec Robert DeNiro, c'est un des fims qu'il faut avoir vu. Et puis aussi pour probablement la réplique la plus culte du cinéma (très bien imitée par Jean Dujardin) : spoiler: "You talkin' to me? You talkin' to me? You talkin' to me? Then who the hell else are you talkin' to? You talkin' to me? Well I'm the only one here. Who the fuck do you think you're talking to?
    Ce film m'a énormément fait penser à Drive de Nicolas Winding Refn avec Ryan Gosling, je me suis même demandé si Drive n'était pas un remake (un peu éloigné) de Taxi Driver.En tout cas, je vous le conseille, c'est un bon film !
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    201 abonnés 1 903 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2014
    En trente-huit ans, ce film a peu vieilli, même s'il est daté, avec ses coiffures affro et ses pantalons pat d'Eph. L'atmosphère créée par des images magnifiques et une très belle bande est envoûtante et l'interprétation de De Niro époustouflante. Restent une noirceur et un pessimisme un peu déprimants accompagnés d'une idéologie ambigüe. Car on ne peut s'empêcher d'éprouver parfois de l'empathie pour le personnage de cet ancien marine déboussolé et moraliste qui va se lancer dans la self justice. On retrouve aussi une certaine fascination de Scorcese pour la violence, qui sera encore plus franche dans Gangs of New York. Taxi Driver demeure un classique des films de "l'après Vietnam", quand l'Amérique s'interrogeait et doutait de ses vertus universelles. Mais nous avons assisté depuis à un réarmement idéologique qui n'a pas épargné Hollywood...
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    394 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2015
    Mon expérience avec Taxi Driver a commencée dans une salle de cinéma de quartier il y a 15 ans, tout jeune lycéen ouvert à l'œuvre des Kubrick, Tarantino, von Trier et autres P.T. Anderson, j’étais encore loin de m’imaginer à ce moment là que j’allais m’attaquer à un mythe, un réalisateur qui allait me marquer à tout jamais, Martin Scorsese. À peine la vieille bobine commençait à dérouler ses doux crépitements que me voilà engagé sur les routes enfumées d’un New York crépusculaire couvert par le saxophone de Bernard Herrmann, c’est le genre d’instant où l’on sait déjà qu’il va inévitablement se passer quelque chose de grand …

    De retour aujourd’hui dans le taxi de Travis Bickle, avec un plaisir resté intact, cette introduction fonctionne toujours aussi bien, sans doute une des plus mémorables qu’il m’a été donné de voir, en quelques secondes le décor est planté en terme d’ambiance, littéralement plongé dans la cité de Marty, en ce qu’elle a de plus sombre, fantasmée et viscérale. Les néons et filtres de couleurs dansent sous nos yeux et la bande son joue déjà des dissonances, l’univers du film est ici presque résumé, et cette manière de nous immerger quasi subjectivement est déjà assez sublime. La nappe de fumée se dissipe pour y voir sortir un homme, ancien marine venu proposer ses services pour une compagnie de taxi, sans ambition le type vit de solitude entre son petit appartement, les projections de films porno et ses vadrouilles nocturnes, son unique souhait : "nettoyer les rues de la vermine", mais il ne reste qu’un spectateur impuissant, singulièrement docile et frileux. Ce n’est qu’en plein jour où la jungle laisse place aux attachés-cases qu’il va croiser le regard de Betsy, une jeune femme engagée dans la campagne politique d’un sénateur républicain, il tombe éperdument sous son charme et va franchir le pas pour l’aborder et ainsi sortir de son petit quotidien morose et fataliste, mais elle finie par le repousser, la continuité d’une lente descente aux enfers ...

    Ce personnage de Bickle est vraiment intéressant dans le sens où il est l’archétype de l’anti-héros, celui qui n’a rien pour lui mais qui reste profondément attachant, la guerre du Vietnam se termine à peine qu’il revient avec ses cicatrices, sur le fil du rasoir sa vie n’a plus de sens, plus de goût, il ne fait que constater le temps qui passe, les jours qui défilent les uns après les autres au cliquetis de son compteur. La solitude le ronge de l’intérieur, il attend le déclic où il pourra enfin prendre son destin en mains, il fini par se rendre à l’évidence que cette relation amoureuse et charnelle ne peut se réaliser compte tenu de leur divergence de statuts sociaux, Betsy ne reste qu’une parenthèse idéalisée ... Les pensées de Travis s’obscurcissent pour petit à petit libérer la bête qui sommeille en lui, "sans issue, abandonné de Dieu". Le premier élément déclencheur vient lors de cette séquence presque anodine où il escorte un mari trompé (interprété par Scorsese himself) voulant assassiner sa femme, c’est à cet instant précis où il se rend compte que sa justice ne viendra que par la fureur, de l’inexorabilité de la déperdition des sentiments et relations humaines. Il constitue son attirail militaire, silencieusement, prépare sa grande purge, au final cela reste une manière de laisser une trace de son existence, si il ne peut le faire dans la vie il le fera dans la mort.

    Scorsese traite le caractère de Bickle avec beaucoup de subtilité du premier au dernier acte, en plus du jeu exceptionnel de De Niro, tout en nuances, pour permettre à la mise en scène de constamment subsister dans une certaine fascination, entre cohérence narrative et artistique, la partition musicale sonne d’ailleurs toujours juste pour appuyer l’ambiguïté du personnage et de la tension progressive. En terme de réalisation il y a beaucoup de petites idées nichées ici et là pour faire parler le cadre, que ça soit par exemple les slow motions lorsqu’il déambule dans la rue au milieu de la foule en journée (sa vie privée tourne au ralenti) ou des compositions malignes (une en particulier m’a sauté aux yeux lorsque Travis et Betsy sortent du cinéma porno et que cette dernière lui dit que ce n’est pas une poule, et ce qui est amusant c’est que cette dernière est placée pile au milieu entre Bickle et une prostituée, comme littéralement prise en otage d’un traquenard malsain, ça renforce le malaise et on comprend en une image que leurs mondes sont opposés). Et évidemment comment ne pas citer cette improvisation restée dans toutes les mémoires du "You talkin' to me ?" de De Niro face à son miroir où selon l’anecdote le comédien, sous la pression d’un Scorsese désireux de boucler la scène au plus vite, a ressorti instinctivement une expression qu’il avait entendu dans le métro de la bouche d’un mendiant.

    Le dernier tiers du film tourne autour de la rencontre avec Iris, une très jeune prostituée (jouée par Jodie Foster du haut de ses 13 ans, déjà très mature dans son jeu) que Travis avait repéré dans les plus obscurs faubourgs new-yorkais, c’est l’autre élément déclencheur du récit car c’est celui qui lui donne une certaine responsabilité envers cette douceur innocente prisonnière de l’asservissement cupide des proxénètes, c’est en quelque sorte la goutte d’eau. Une relation brève mais particulière va s’installer entre eux, c’est ici où l’anti-héros va se muer en héros, toute la conversation dans le restaurant ressemble même au sermon d’un frère pour sa cadette, c’est assez troublant de constater l’implication morale d’un type qui n’en a jamais eu, il a enfin trouvé une raison à son existence, sauver une fleur des mauvaises herbes. Harvey Keitel campe le rôle de ce mac au masque séduisant prenant soin de cultiver sa belle petite plante, le "père" protecteur doué de cette méthode d’hypnose catatonique, la pire espèce car imprévisible, Scorsese arrive à retranscrire cette perversité incommodante, il en sort un moment de grâce où encore une fois le saxo de Herrmann résonne magnifiquement.

    spoiler: Puis arrive ce final où Bickle passe enfin à l’acte, ce jeu de dupe se retourne contre le personnage de Keitel, la violence explose à l’écran avec une froideur incroyable, la fusillade est diablement bien mise en scène dans le sens où c’est très brut et donc sanglant, la bande son s’interrompt pour nous offrir une séquence d’une pure intensité. Malgré les petits détails qui font que Scorsese entretien le doute sur la survie de Travis (cicatrice dans le cou filmée en évidence ou les lettres des parents d’Iris qui relèvent du fait divers), sa mort est clairement suggérée par la travelling aérien qui nous fait sortir de la scène du crime, comme une âme flottant au plafond. D’autre part lorsqu’il reprend son taxi les rues sont étrangement vides, là où grouillait toute cette "racaille" qu’il voulait exterminer, il vit là son idéal, et l’onirisme est plus que volontaire avec ce plan du rétroviseur, la mise en scène ressemble à une romance classique, et la distorsion sonore pré-générique retentit comme son dernier souffle, dans ce vertige Travis soulage et cristallise sa conscience et son orgueil.


    Taxi Driver mérite amplement sa réputation de chef d’œuvre du cinéma américain, pour seulement son cinquième long métrage Martin Scorsese frappe très fort avec ce film puissant, socialement aiguisé et fascinant, Robert De Niro gagnera grâce à ce rôle une reconnaissance internationale qui lancera la carrière qu’on connait, deux figures hollywoodiennes qui font irrémédiablement parties de mon livre d'or. Et comme à la sortie de cette petite salle obscure cherbourgeoise d’un temps révolu le sentiment reste le même, celui d’avoir reçu une bonne et belle claque, celle qui fait aimer le septième art.
    NiERONiMO
    NiERONiMO

    40 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juillet 2014
    Cité par beaucoup comme étant l’un des meilleurs films de tous les temps, Taxi Driver fut ainsi le premier grand succès critique de l’incontournable Martin Scorcese ; sur un scénario de Paul Schrader, ce long-métrage nous conte l’errance de Travis Bickle, ancien marine devenu chauffeur de taxi dans le New-York crasseux des années 70. Naturellement, j’attendais beaucoup de la part de ce chef d’œuvre intemporel, aussi la déception n’en fut que plus vive : non pas que celui-ci soit surestimé ou même mauvais, mais on tient là un drame psychologique (la qualification est des plus adapté) hautement particulier, et ayant pour le coup mal vieilli. Il convient cependant de lui reconnaître de sacrées qualités, à commencer par une ambiance intimiste sombre comme pas deux, dressant un portrait pessimiste de la société d’époque (NY étant notamment gangrenée par le crime) ; un sentiment de malaise prédomine également, tant il gagne peu à peu en puissance au gré de la descente aux enfers de Travis, un anti-héros marqué par la guerre du Vietnam. C’est donc à travers le regard torturé de ce dernier que l’intrigue, pour le coup désincarnée, s’attache à nous immerger au sein d’une atmosphère atypique, entre zeste de romance désespérée, mise en scène réaliste et grands airs de polar noir ; le tout, sous couvert d’une excellente BO alternant sonorités jazzy et partitions plus inquiétantes. Il y a aussi une prestation impressionnante de Robert De Niro, de quoi compenser le comportement parfois inexplicable de Travis Bickle, à l’image d’un scénario pauvre en réelles péripéties ; la première partie du long-métrage est d’ailleurs molle, pas pour autant ennuyeuse car intéressante, et laisse finalement la place à une seconde s’annonçant plus mouvementée. Toutefois si Taxi Driver fait mine de gagner en rythme, le dénouement tient plus du pétard mouillé dans la mesure où l’on s’attendait à mieux ; c’est d’autant plus vrai que la trame accordée au personnage de Iris relançait à elle seule l’intérêt du long-métrage, et il était alors à espérer que le final soit aussi renversant que promis. Au bout du compte il y a quoi être satisfait de la mise en scène viscérale de Scorcese, parfaite mise en valeur d’une séquence pour le moins brutale, mais celle-ci n’est pas aussi somptueuse que je l’avais supposé, tandis qu’il s’en suit un épilogue pour le moins étonnant : celui-ci soulève d’ultimes interrogations quant au message du long-métrage, et de la violence lui étant intimement liée… à chacun son avis sur la question. Pour le reste, le chef d’œuvre annoncé à clairement pris un coup de vieux, et risque d’en surprendre plus d’un, fort de son ambiance et personnage principal si dérangeants ; néanmoins l’illustre interprétation de Robert De Niro, et la réalisation intimiste parfaite de Scorcese, sont autant d’éléments justifiants à eux seuls le visionnage de cette œuvre ô combien unique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juillet 2014
    La musique de jazz dans les oreilles , un robert de niro conduisant un taxi le tout avec une pulsion de haine envers l' humanité . Oui c' est bien le film taxi driver . Taxi driver , film culte sorti en 1976 ( La même année est sorti un autre film culte , je parle bien sur de rocky ) Réaliser par martin scorsese ( Réalisateur culte ) Taxi driver nous raconte l' histoire de travis bickle , insomniaque et qui pour passer ses nuits . Conduit un taxi et regarde au cinéma du porno . A force de cottoyer les rue , travis voit de plus en plus de monde qu' il déteste et en a marre donc il va se rebeller le papy niro qui a l' époque était encore jeune et n' avait pas les cheveux gris . Véritable chef d' oeuvre , le film traite sur un sujet malheuresement vrai , c' est a dire la criminalité dans le monde . Et oui que ce soit prostituer , dealer , tueur . Tout ça n' est qu' un problème qui ne fait qu' un . Et travis bickle veut mettre une grosse punchline dans la gueule de tout le monde et dois agir comme un solitaire . Il veut une rédemption mais pas que spoiler: Il veut même tuer un président
    ça révèle son gros problème mental lié a la guerre de vietman . Pour lui tout le monde le dégoute , il n' a d' affection pour personnes a part pour betsy spoiler: mais bon vu qu' elle l' aime pas
    travis se sent rejeter de tous , il se sent rejeter de la société et justement il n' en a marre de tout et vu qu' il n' a plus rien a perdre , il va faire sa propre justice . Dans le film , il est présenter sous une forme de psychopathe , mais pourtant il a une part d' humaniter en lui . Un peu comme tony montana ( Mais ne faisons pas de comparaison entre al pacino et robert de niro par ce que sinon les fans risque de s' en mettre plein la gueule , car a l' époque c' était . Al pacino ou robert de niro ? Et aujourd' hui c' est . Léonardo dicaprio ou brad pritt ? Plein de comparaisons avec beaucoup d' acteurs du talent , ça s' est sur ) Mais bon ce que je dis c' est hors sujet . Comme je le disais , il y a une part d' humanité en travis bickle ce qui le rend non effrayant mais plutôt attachant et charismatique . Et ça c' est bien . Le film présente aussi le stéréotype des américain ( attention je ne dis pas que tous les americain sont comme ça , je ne veux pas de problème moi ^^ ) C' est le racisme , le sexisme et j' en pase et des meilleurs , car oui plusieurs personnages sont stéréotyper comme par exemple : le patron de l' épicerie qui est raciste ou encore wizard qui est complétement sexiste et macho . A chaque scène il parle des femmes comme un objet de plaire , il en parle vulgairement . Niveau musique , c' est excellent le jazz qui vous colle aux oreilles le tout sur un plan de vue sur le taxi . C' est juste E.X.C.E.L.L.E.N.T . Après les acteur , très convainquant de niro est parfait et jodie foster est incroyable et il y a aussi harvey keitel qui est un grand acteur , toujours aussi charismatique . Parlons du scénario , c' est très bon le tout sur un thème vrai mais desfois c' est beaucoup trop simplet . Bref taxi driver est une oeuvre monumentale du cinéma et doit être vu au moins 100 fois dans sa vie . Je vous le conseille vraiment ! Une claque !
    Pierre Olivier D
    Pierre Olivier D

    11 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2014
    Travis, ancien soldat revenu du Vietnam, retrouve la vie civile au volant de son taxi, insomniaque et solitaire, il arpente les rues de New york lugubre ou tous les dépravés, marginaux, toxicos noctambules déambulent.
    En bon patriote américain, il est persuadé que les politiques qu'il admire, seront aptes à nettoyer les rues de cette jungle urbaine.
    Un film noir, imprégné par le saxo jazzy de Bernard Hermann et en fond, une réflexion sur la perdition, la déliquescence d'une société, qu'un type tourmenté ne supporte plus.
    Cette voix- off qui accentue cette névrose, dernière étape avant la folie.
    Thibault F.
    Thibault F.

    51 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juin 2014
    J'ai eu beaucoup de mal avec Taxi Driver de Martin Scorsese notamment car si tous les ingrédients d'un bon film sont réunis, il y a un élément qui bloque considérablement la mécanique de cette oeuvre, l'ennui. Il y a finalement que peu de choses à se mettre sous la dent en regardant cette oeuvre car, si les péripéties de Travis joué par Robert de Niro nous permet d'entrevoir un certains nombres de points clés qui permettent l'évolution psychologique du personnage, la trame principale est beaucoup trop mince pour permettre au film d'évolué et c'est franchement dommage puisque Martin Scorsese nous pond une oeuvre intéressante, intelligente avec de nombreux plans sympathiques, les acteurs (De Niro, Foster) sont fantastiques et l'atmosphère envoûtante. Pourtant, l'ennui est à son paroxysme, c'est mou et lent pour finalement nous transmettre un faible message. Néanmoins, je vous conseille de le visionner pour vous faire votre propre opinion; chez moi, cela n'est pas passé...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juin 2014
    Un film d'une intensité inégalable. Lorsque De Niro se regarde, seul face à sa glace et avec toutes ses armes, le spectateur est envahi par une impression de malaise, et il lui faut de longues minutes avant de comprendre qu'il résulte de son formidable jeu d'acteur...
    Un film extraordinairement joué, avec une histoire surprenante, autant que la fin.
    Le millésime du cinéma, idéal pour celui ou celle qui apprécie d'être tendu devant son écran.
    x-worley
    x-worley

    144 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2014
    Un grand film, fort et éprouvant, avec un casting au top et une interprétation hallucinante de De NIRO.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 juin 2014
    Voila selon moi LE film de Robert DeNiro ! Du grand art!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 juin 2014
    Film qui me laisse sur ma faim au vu des attentes, le jeu de De Niro est évidemment parfait, ce qui sauve les meubles.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mai 2014
    Un film incontournable , un des films le plus noir et le plus psychologique de Scorsese et surtout un de ses plus grands succès ! Les débuts de De Niro et Jodie Foster qui jouent comme des bêtes ! Rien qu'une seule chose à dire : "You talkin' to me ?"
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Travis Bickle est-il un loser absolu ou un rebelle magnifique ? Est-il victime de lui-même ou de son milieu de vie ? La complexité et la profondeur de ce personnage rendent ce film passionnant, dans lequel De Niro joue avec une force et une conviction étourdissantes.
    Roub E.
    Roub E.

    939 abonnés 4 977 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2014
    Descente aux enfers urbaine, film sur la solitude et le sentiment d inutilité qu elle entraîne, Film sur le rejet également. Taxi Driver est un film fascinant dans tous les sens du terme. Superbement mis en scène par Scorsese ( la scène finale est devenue tellement mythique) et sublimé par la prestation incroyable de vérité d un De Niro, un rôle qui a inspiré énormément d acteurs.
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