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    Taxi Driver
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    Djo D
    Djo D

    62 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2018
    Encore un film vanté comme étant culte, et qui finit par me décevoir profondément. Le fait que beaucoup de gens le désignent comme étant "culte" n'y changera rien.
    Pour moi, c'est une fiction vraiment passable et à plusieurs moments carrément ennuyeux.
    Alors bien sur, on peut dire que c'est une profonde réflexion sur la solitude. Mais moi, je dirais juste qu'il nous parle de la solitude sans pour autant rendre cela intéressant, les dialogues sont biens souvent poussifs, et on attend... Un peu comme De Niro, trainant dans sa piaule à longueur de film, le regard vitreux, on attend...
    Enfin, il y a tout de même quelques choses à sauver: Jodie Foster est vraiment bien dans le rôle de la lolita malgré elle, et New York la nuit est sacrément bien croqué.

    Mais cela ne suffit en aucun cas à faire de ce film quelque chose de cohérent, juste quelque chose de moyen.
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2018
    J'aime lorsqu'un film nous donne un pitch peu aguicheur pour nous envoyer par la suite un développement des plus savoureux.

    Ce film est un chef-d'oeuvre car il sait se concentrer sur ce qu'il veut raconter , la vie d'un bon gars mais tellement paumé et blasé qu'il en vient à accepter le premier job venu pour tuer son surplus de temps.

    Tout dans ce film tourne autour du développement du personnage :
    A savoir montrer ses qualités et ses valeurs pour comprendre ce qui va lui pousser à entrer dans la folie, cette folie qui va finalement le conduire à entreprendre une action barbare mais pour "la bonne cause"
    Il montre ce qu'un homme peut faire lorsqu'il est seul : il est accompagné , entouré de tous( clients et "amis") mais pourtant il reste cantonné à cette implacable solitude .

    Le film parait lent mais prend juste son temps pour nous marquer et nous imprégner de sa dernière fraction, une fraction de violence puissante, pleine de sens et de libération spoiler: pour Iris
    .

    De Niro livre une prestation propre et sans bavure ni excès correspondant à merveille à ce qu'à voulu faire passer Scorsese à travers Travis .

    Un incontournable signé d'un maître du 7ème art .
    Ron Burgundy
    Ron Burgundy

    18 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2019
    Ah la la je suis forcé de reconnaître que ce film est un chef d’œuvre du cinéma, et bien pourtant je n’ai pas du tout réussi à rentrer dedans et à l’apprécier. Taxi drive nous montre l’aliénation que va subir un chauffeur de taxi en raison de sa solitude. Robert Deniro joue bien oui, mais ce qui me dérange c’est la phrase culte:  « Are you talking to me? » on en a fait des caisses pour cette réplique alors qu’en réalité elle est totalement oubliable dans le film surtout vu la manière dont elle est dite.
    babidi
    babidi

    5 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2018
    un film culte pour nombre d entre nous

    aussi le Mariage De Niro Scorcese a donner de grand films celui ci compris

    la prestation d acteur est digne d un grand quand a la réalisation elle est plus qu admirable

    les cadrage sur New York et les travelling de Scorsese reste bien évidement des references

    un film a voir
    Fabien S.
    Fabien S.

    542 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2018
    Un chef d'oeuvre de Martin Scorsese. Robert DeNiro incarne un homme torturé , dense et complexe. La toute jeune Jodie Foster interprète une prostituée avec brio.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 janvier 2018
    Après un coup d’essai international (« Mean streets ») et la reconnaissance de ses paires (‘pères’) l’année suivante (« Alice n’est plus ici » fait partie de la sélection cannoise de 1975 et Ellen Burstyn de recevoir l’Oscar de la meilleure actrice pour le rôle d’Alice), « Taxi driver » marque pour le metteur en scène Martin Scorsese un tournant dans sa carrière. Palmé à seulement 34 ans, le réalisateur de « Bertha Boxcar » rentre dans la cour des grands. En 1976. Et Scorsese de m’en mettre plein la vue. Une belle claque visuelle pour commencer 2018.
    Synopsis : Travis, ancien marine rentrant du Vietnam, peine à se réinsérer dans la société. Il trouve un job de nuit, chauffeur de taxi. Mais la violence à laquelle il est confronté lui fait perdre la raison.
    Le scénario est béton et est maniée de main de maître. Logique, car il est tiré de la vie personnelle de Paul Schrader qui en est l’auteur. Auteur de cette virée en enfer dans un New York plus sombre que jamais. Les rues de « Mean streets » étaient déjà malfamées, dans « Taxi driver », elles empestent. C’est dire comment le scénario est brigué et permet de nous immerger totalement dans l’ambiance que Schrader nous décrit et les sentiments qu’il nous fait passer via sa plume légère mais néanmoins stylisée. Pour son deuxième script, le futur réalisateur de « La féline » nous prouve qu’il est un artisan à part entière : scénariste sur « Obsession », « American gigolo » puis occupant les deux postes (scénariste/metteur en scène) pour « Blue collar » (avec Richard Pryor), le thriller « Les amants éternels »… . De ces rues dépravées, de cette atmosphère complètement délétère et nocive, Paul nous envoie le signal que Travis est pris dans l’engrenage de la folie dès le début. Il nous fait traverser en même temps que le personnage principal cette jungle new yorkaise qui s’apparente à une autre forme de guerre, celle de son inconscience. Le rapport qu’a Travis face à cette ville est gâché à jamais. Rien que dans l’idée du scénario de « Taxi driver », Scorsese est arrivé à dépeindre le rapport de l’individu face au monde. Ce thème scorsesien, qui trouve ici son point d’orgue, est récurrent dans son œuvre : « A tombeau ouvert » pour autant que je m’en souvienne, et puis surtout « Les affranchis » et « Casino ». Ici, dans « Taxi driver », Travis devient cet être psychotique qui tourne à l’obsession. L’autodestruction du personnage est fatale et immuable (la scène finale en est d’autant cauchemardesque, pour ainsi dire).
    Autre point de l’ambiance de « Taxi driver » : la musique so jazzy. Elle colle merveilleusement à cette atmosphère totalement imprévisible et pourtant monotone. Limpide, jamais énervante, pas tout à fait mirobolante, elle nous accable et nous accroche à notre siège pour mieux suivre la descente aux enfers de Travis. Le compositeur ? Bernard Herrmann. Rien que ça. Qui l’eut cru ? Personne, bien évidemment. La musique, donc, au diapason, colle à merveille avec l’infamie new yorkaise décrite avec toute la médiocrité méticuleuse de Martin Scorsese.
    Troisième point pour parler de l’ambiance du film ? La photographie. En effet, « Taxi driver », de par ces qualités esthétiques est un film d’ambiance. Clairement. Donc, pour parler photographie, comment ne pas parler de ces couleurs pourrissantes, vétustes et totalement salies par le froid glacial new yorkais ? Voilà, la chose est faite. Surtout que, de nuit, la saleté est plus apparente que de jour. N’est-ce pas ? Le directeur photo, qui orchestre et magnifie New York en un ‘Bronx’ incroyable (!), n’est autre que Michael Chapman qui servira Marty pour les besoins de « Raging bull ». Merci Michael.
    Du point de vue direction d’acteurs, c’est tout simplement sublimissible. Ce n’est plus une leçon de cinéma à la Scorsese. On reste juste bouche bée devant tant de talent. Scorsese, vous démontrez ici toute l’envergure de votre cinéma. Merci !
    Dans la peau de Travis : Robert De Niro. Il ne l’incarne pas, il l’est (ce chauffeur de taxi rendu dingue par les tourments de son métier). C’est tout. Il n’y a rien à dire de plus. Ah si. Qu’il s’agit de LA méthode concernant l’apprivoisement du personnage par l’acteur. Méthode enseignée par Lee Strasberg à l’Actor’s studio et qui eut comme élèves Marlon Brando, Paul Newman, Dustin Hoffman et Al Pacino parmi d’autres (!!). Pour « Taxi driver », Robert De Niro remplace donc au pied-levé Harvey Keitel qui était au départ l’alter-ego de Scorsese devant la caméra. Le film marque clairement cette transition et impose le tandem ciné Scorsese/De Niro comme l’un des plus prometteurs de cette nouvelle génération. Super ! Entre-temps, De Niro a reçu des mains de l’académie américaine l’Oscar du meilleur second rôle dans « Le parrain, 2ème partie ». De plus, De Niro livre ici une composition magistrale et époustouflante. Une immense star est née !!!
    Aux côtés de Robert le driver, Jodie Foster, dans le rôle d’Iris. Charismatique, elle impose sa présence face à l’immense De Niro. 14 ans (!) et déjà une puissance d’interprétation fragile qui force le respect. Tous mes chapeaux !, Mademoiselle Foster. Scorsese lance ainsi véritablement sa carrière. Il lui avait donné un petit rôle dans « Alice n’est plus ici ». « Money monster », le dernier film de Jodie en tant que réalisatrice, a été sélectionné hors-compétition par l’édition 2016 du Festival de Cannes. Bingo Madame Foster.
    Avec également Harvey Keitel dans un mini-rôle, collaborant avec le réalisateur pour la quatrième fois, et Martin Scorsese qui livre une scène démentielle et ensorcelante, pour une courte apparition néanmoins très appréciable. A vous de le retrouver amis spectateurs ! Nous pouvons également noter la présence d’Albert Brooks (ainsi lancé par Scorsese, il tournera pour Winding Refn dans « Drive » pour incarner le méchant), du regretté Peter Boyle (« F.I.S.T. », « Outland », « A l’ombre de la haine ») et de Cybill Sheperd (engagée par Bogdanovich dans « La dernière séance » pour un premier rôle, elle jouera par la suite aux côtés d’un certain Bruce Willis dans la série « Clair de lune »). Concernant le casting, improvisation est donc le maître mot du réalisateur. Méga-cool Marty !
    Quoi de neuf au niveau mise en scène ? Pas grand-chose si ce n’est un apport considérable de la part du réalisateur de tourner à hauteur d’homme, et plus particulièrement des visages pour ancrer à sa manière New York dans tous les esprits. Un film donc lent mais qui s’appuie sur la technicité de ces opérateurs (photographique, musical et scénaristique). Ainsi, le plus authentiquement possible, Scorsese imprègne et pousse sa culture du cinéma à faire de « Taxi driver » le film-fleuve d’une époque. L’écriture filmique qu’il en ressort nous permet de comprendre la voix-off de De Niro nous immergeant toujours un peu plus dans la décadence new yorkaise et sa folie autodestructrice. Nous sommes ainsi en présence d’une narration scorsesienne construite, qui est mise en avant et qui présente le point d’orgue de la mise en scène du gamin de Little Italy. Pas étonnant qu’une scène culte avec De Niro (« you’re talkin to me ? ») sorte du lot. De plus, le rouge est encore prépondérant dans sa pellicule. Le générique de début (rouge), tout comme le final présente un metteur en scène d’un genre nouveau. Quoi de neuf donc ? Une innovation. Et pas n’importe laquelle. Ce qui préfigurait dans « Mean streets » est ici porté à son apogée. Travellings, gros plans, champs, contre-champs, plongées sont d’autant plus spectaculaires que le film avance. La violence scorsesienne a atteint son apogée. « Taxi driver » est filmé à hauteur humaine mais de manière totalement viscérale et bestiale. Un antagonisme qui conforte Scorsese comme un metteur en scène moderne.
    Pourquoi je n’ai pas totalement accroché au cinquième long-métrage du réalisateur ? J’ai trouvé son accroche filmique trop terre-à-terre et son rythme un peu lent. De fait, je n’ai pas convenablement reçu son écriture filmique qui m’a paru languissante. En revanche, votre narration orchestrée par Saul Bass sur « Les affranchis » m’a totalement envoûté dès que la voix française de Ray Liotta nous explique qu’il a toujours voulu être gangster. Incroyable, non ? Pourtant, c’est bien « Taxi driver » qui a fait que « Les affranchis » puisse exister.
    Pour conclure ma critique élogieuse qui n’en finit pas, « Taxi driver », qui sorti en 1976 en France et aux Etats-Unis pour un budget de tournage dérisoire, drame psychologique insoutenable porté par un De Niro exceptionnel est un classique instantané du cinéma. Maître Scorsese signe son premier chef d’œuvre.
    Spectateurs, dingues pour un jour, De Niro pour toujours !
    Accord parental souhaitable.
    PS : il s’agit de la dernière composition de Bernard Herrmann pour le cinéma : « Taxi driver » lui est dédié. Parmi ses compositions les plus marquantes, on peut relever « Citizen kane » », « Le jour où la terre s’arrêta » de Robert Wise, « L’homme qui en savait trop », « Sueurs froides », « Le septième voyage de Sinbad », « Psychose », « Les nerfs à vif » de Jack Lee Thompson et « Fahrenheit 451 » parmi tant d’autres. Un Grand qui a ainsi inspiré des plus jeunes : John Williams et Danny Elfman en tête. Merci maître Herrmann !
    Min S
    Min S

    56 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 janvier 2018
    Excellent film 1976 avec De Niro et Foster très en forme !!
    L’histoire est parfaite et encore d’actualité, un vrai film culte américain !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 janvier 2018
    Un chef d’œuvre grandiose et culte classé comme étant l’un des plus grands films de tous les temps avec des acteurs excellents notamment Robert De Niro et Harvey Keitel, des répliques et des moments cultes, des musiques excellentes, une mise en scène grandiose, une histoire passionnante et original, des plans séquences magnifiques et une réalisation nerveuse du maître Martin Scorsese.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 août 2018
    Scorcese a le génie de nous montrer une autre facette de New York, sombre et obscure, capable de rendre fou le moins averti des êtres humains, le plus fragile, revenant de la guerre du Vietnam : Robert de Niro qui deviendra chauffeur de Taxi la nuit et qui nous fera voyager dans sa folie à travers de multiples rencontres. Même si la réalisation a vieilli, même si on s'ennuie pas mal, on prendra plaisir à découvrir la scène incontournable de "you talking to me ?". Je regrette des passages explicitement homophobes et racistes... Aujourd'hui ça ne passe pas ! Je l'ai vu, je ne le regarderai pas une seconde fois !
    gerald_w-a
    gerald_w-a

    10 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2017
    Pourquoi certains disent-ils que ce film est un repère dans l'histoire du cinéma ? Après l'avoir visionné, je ne vois qu'une réponse : c'est par l'ambiance qu'il nous donne à voir, à entendre, à sentir que ce film marque les esprits. Nous, pauvres papillons diurnes, sommes fascinés par la nuit, qui nous tourmente depuis l'enfance. La bande son et Scorsese nous la font parfaitement ressentir. Car quoi d'autre ? De Niro n'est pas très expressif, le rythme est tranquille. Mais l'ambiance ! C'est la grande réussite de ce film.
     Kurosawa
    Kurosawa

    578 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2017
    "Taxi Driver" est-il nihiliste ? Sur cette question, le film est très ambigu. Il va sans dire que son personnage principal – Travis Bickle – possède une vision pessimiste du monde, jusqu'à souhaiter que toute cette merde qui l'entoure soit nettoyée. Travis ne voit donc autour de lui que prostituées, junkies, agresseurs et autres politiciens véreux : son désenchantement est total, jusque dans sa relation impossible avec la superbe Betsy (Cybill Shepherd), qu'il emmène au cinéma au cours d'une séduction normale. Sauf qu'il s'agit du mauvais cinéma, puisque Travis propose à la jeune femme d'aller voir un film porno, sous prétexte qu'il ne connaît pas d'autres films. Le personnage fait donc la confusion entre ses propres frustrations sexuelles et le désir sincère qu'il a pour une femme, qu'il décrit comme étant "la plus belle du monde". Cette erreur monumentale suffit-elle à affirmer la folie de Travis ? Ou plutôt, entre le Travis de la première demi-heure, charmeur et légèrement déphasé, et celui de la tuerie finale, quelle différence y a-t-il ? D'emblée, le personnage veut se faire justice lui-même, débarrasser New York d'une corruption insoutenable, comprenant très vite que les hommes politiques ayant le même discours que lui ne s'en tiennent, eux, qu'aux mots. Ainsi, le dernier mouvement du film est la réponse du citoyen poussé à bout, qui expulse hors de lui son vécu du Viêt Nam – même si l'on ne saura rien de ce qu'il s'y est produit – et sa désillusion présente. Le déferlement de violence est en un sens légitimé, surtout si l'on prend en compte que Scorsese lui-même fait une apparition, en mari psychopathe qui annonce très calmement au chauffeur de taxi qu'il est prêt à tuer sa femme; mais on ne peut également ignorer la distance du cinéaste avec Travis dans la mesure où il s'agit d'une figure solitaire, qui s'enferme dans un délire inquiétant, comme lors de cette scène culte où De Niro s'essaye à une improvisation face à un miroir qui débouche sur le fameux "You talkin' to me ?". L’ambiguïté autour du nihilisme du film rejoint donc celle autour de la distance de Scorsese vis-à-vis de son personnage, une division permanente qui se retrouve aussi dans la tonalité globale du film, à la fois très sèche dans ses silences ou ses meurtres, et planante avec le thème magistral de Bernard Hermann au saxophone, souvent accouplé à la voix-off fragmentée de De Niro. Mélange de réalisme cru et de rêverie romantico-macabre, "Taxi Driver" avance selon une logique d'association de scènes – une façon de représenter l'esprit torturé de Travis et la complexité de sa descente aux enfers – concilie brutalité et sensualité dans une esthétique novatrice et demeure, peut-être, le plus grand film de Martin Scorsese.
    Arès
    Arès

    2 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 janvier 2018
    Désintérêt total du propos. J'ai eu des mots de tête à cause de cette musique ultra niaise, qu'on retrouve l'auteur et qu'on le pende pardi ! Sûrement le plus mauvais film de Scorsese, la vieillesse du film n'aide pas a rattraper l'ennuie du récit et le vide profond qu'on ressent après l'avoir vu. spoiler: PS: on survie pas à une balle dans le cou
    selenie
    selenie

    6 184 abonnés 6 168 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2017
    LE film qui plaça définitivement le réalisateur Martin Scorcese au Panthéon du 7ème Art après 5 premiers films. Ce film s'avère être aussi un des premiers films traitant des syndrômes post-traumatiques de la guerre du Viêtnam, relié au fait que New-York est en 1976 doté d'un taux de criminalité parmi les plus élevés du monde "Taxi Driver" est une descente aux enfers qui est d'abord due à l'aliénation d'un homme par la solitude et sa marginalité. Par contre le film pêche malheureusement par son final qui laisse perplexe. En tous cas "Taxi driver" signe la consécration pour Scorcese, De Niro, Keitel et Foster...
    Site : Selenie
    Kev T
    Kev T

    39 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2019
    Un film qui ne vieilli pas hormis sur les effets spéciaux. De Niro est bon, spoiler: surtout la scène devant le miroir. La descente au enfer, la psychose qui accompagne le personnage est vraiment bien amené. Une plongée dans l'univers sombre de la paranoïa (Erotomanie à certains instants). Vraiment convaincant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    New-York la nuit, les réflexions intérieures de Travis Bickle, chauffeur de taxi, vétéran du Vietnam, que l'observation d'une société décadente à ses yeux, peu à peu rend fou. Après une déception sentimentale, il se met en tête de venir en aide à une jeune prostituée...
    Vision d'une ville en perpétuel mouvement, d'une société perdue que la guerre pourtant lointaine à fracassé, comment un taré devient un héros en s'attaquant à pire que lui... Mise en scène nerveuse, prestation hallucinée, Scorsese et De Niro à leurs tops. Chef-d'œuvre.
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