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Votre avis sur Vice-Versa 2 ?
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Après avoir adoré le premier volet, j'attendais donc beaucoup de ce "Vice-Versa 2". Cette fois-ci, après l'enfance, le film allait se concentrer sur la période du début de l'adolescence. Une suite assez logique, qui semble reprendre la même évolution thématique que l'on avait pu voir chez "Toy Story" par exemple. Malgré tout, j'avais quelques réserves avant de voir le film, ayant peur d'une suite inutile. Finalement, même si je trouve que cette suite est moins intéressante que le premier, je pense que l'on peut encore passer un excellent moment face à ce projet ! La première chose qui saute aux yeux lorsque l'on regarde le film, c'est à quel point l'animation a encore beaucoup évoluer en bientôt 10 ans. Cela ne se ressent pas énormément dans le monde du cerveau, mais cela se voit beaucoup dans le monde réel, avec un travail assez remarquable sur la peau et les ombres. Malgré tout, la meilleure trouvaille visuelle reste toujours pourtant liée au monde du cerveau, avec cette idée des personnages en 2D. L'idée est plutôt bonne, notamment pour ce qui concerne le personnage d'un jeu vidéo, avec cette animation pixelisée qui rend particulièrement bien ! Pour le coup, l'univers est donc toujours aussi plaisant à suivre. Encore une fois, je trouve que le film a bien réussi à retranscrire les événements du monde réel, dans le cerveau de Riley. L'apport d'Anxiété fonctionne à merveille en ce sens, et cela amène à des thématiques qui sont parfaitement liées au monde de l'adolescence. Malgré tout, c'est peut-être là que le film s'avère un peu moins surprenant que le premier, car il retourne dans un schéma narratif proche du premier. Dans les faits, le message est très intéressant et il est même particulièrement important à transmettre à des jeunes ados. On voit bien que ce moment de la vie laisse apparaître de nouvelles émotions, que celles-ci sont décuplées par rapport à avant, et que notre personnalité change. J'aime donc beaucoup le propos final, qui cherche à dire qu'il ne faut pas se laisser submerger par celles-ci, et trouvait un équilibre. Mais globalement, on est encore sur une conclusion similaire au premier, avec ce concept de nuance. Je ne le reproche pas vraiment de manière très importante, car je comprends parfaitement cela, mais c'est vrai que l'émotion est donc moins importante que lors de la fin du premier. Malgré tout, cela n'empêche pas l'ensemble d'être réussi. Le tout reste très bien rythmé, c'est un film qui est très beau et plutôt drôle à certains moments. Par conséquent, même si la surprise est moins forte que lors de l'original, je vous conseille quand même de foncer voir cette suite. J'ai vraiment hâte de voir où cette licence pourra aller dans les années à venir ! Pour conclure, une suite de qualité.
Excellente suite du premier qui amène son lot de nouveauté par rapport au premier, mais aussi son lot d'impression de déjà vu. Riley a grandi, et à travers plein de situations banales, on se retrouve dans ce personnage sympathique. Amusant, touchant, coloré, innovant, Vice Versa 2 est pas mal du tout.
Cette suite est vraiment à la hauteur et réussi très bien la continuité.
Le développement des anciennes émotions est vraiment bien écrit et parfois même touchant. En revanche les nouvelles émotions hors mis embarras qui a une belle évolution, les 2 autres ne servent pas à grand chose. Hors mis anxiété. Le film regorge de bonne surprise et bonne idée. L'humour est au rdv et esthétiquement le film est réussi.
Une très bonne suite !
Le développement des anciennes émotions est vraiment bien écrit et parfois même touchant. En revanche les nouvelles émotions hors mis embarras qui a une belle évolution, les 2 autres ne servent pas à grand chose. Hors mis anxiété. Le film regorge de bonne surprise et bonne idée. L'humour est au rdv et esthétiquement le film est réussi.
Une très bonne suite !
Ce film analyse avec pertinence les émotions de nos ados, Riley a bien grandi et ressent de nouvelles choses. Le temps passe vite et Pixar fait preuve d'ingéniosité. A découvrir !
Je ne m'attendais pas à grand chose n'ayant guère apprécié le premier film, et bien que le film soit moins développé que certains pixar récents, cela n'en demeure pas moins un excellent moment assez émouvant sur la fin comme d'habitude.
Bon film, très bon film, aucun défaut, mais il n'a pas les mêmes émotions transmis du 1er réalisé par Peter Docter , les nouvelles émotions sont hilarantes, les personnages principaux sont les mêmes, et c'est ravissant de voir Riley changer un peu et sortir de sa zone de confort, le scénario passe largement, mais ce que j'aime dans ce film, c'est le changement de caractère de chaque émotions que ce soit Joie, Anxiété, ou même Embarras. Bref un super Pixar, que j'ai préféré au 1er.
Une très bonne suite.
Le film aborde les nouvelles émotions
avec l'arrivée de la puberté.
Moins touchant que le premier
mais vrai et intéressant
dans sa description de cette phase de transition.
Le film aborde les nouvelles émotions
avec l'arrivée de la puberté.
Moins touchant que le premier
mais vrai et intéressant
dans sa description de cette phase de transition.
Vice-Versa 2 : Bienvenue dans l'adolescence, préparez les mouchoirs et les crises
Ah Vice-Versa 2, ou comment Pixar nous ressort le cerveau de Riley, désormais ado, avec toute la subtilité d’un camion-benne. On était tellement en manque qu’on n’a même pas vu venir le fait que c’est en gros le même plat réchauffé. Mais t’inquiète, ça reste savoureux, surtout si t'as aimé l'original. On retrouve Joie, Colère et toute la bande, et c’est comme retrouver des potes après 10 ans : ça fait chaud au cœur, même si t’as pas grand-chose de nouveau à leur dire.
Riley est devenue une ado, donc évidemment, faut du drama. C’est là que Pixar nous balance des nouvelles émotions qui déboulent sans prévenir comme des colocataires relous : Anxiété, Embarras, Ennui et Envie. Autant te dire que ça fout un sacré bordel dans le quartier général. Joie et sa clique ne savent plus où donner de la tête, et ça part en freestyle comme jamais. Si t’as déjà survécu à l’adolescence, tu vas vite reconnaître le bordel.
La recette reste la même : les émotions se foutent sur la gueule pendant que Riley gère mal sa vie. Sauf qu’au lieu de se perdre dans les limbes comme dans le premier, nos anciennes émotions sont en mode chômage technique. Pendant ce temps, les nouvelles émotions prennent le contrôle, et devine quoi ? Elles font n’importe quoi, forcément. Rien de révolutionnaire, mais ça fonctionne encore, parce que qui n'aime pas voir Joie essayer de sauver les meubles pendant qu'Anxiété flippe sa race ?
Riley, c’est un peu la meuf que tu vois dans tous les collèges : en mode crise existentielle pour un oui ou pour un non. Un petit chamboulement dans sa vie, et bim, c’est la cata dans son cerveau. Ce qui est marrant, c’est que tout revient toujours à la normale à la fin, parce que c’est Disney, faut pas déconner. Mais bon, on est là pour ça, non ? Voir les personnages galérer, mais finir avec un sourire de bienveillance à la fin. Allez, un petit câlin et on repart.
Soyons honnêtes, Vice-Versa 2 est avant tout un film pour te rappeler à quel point t’avais kiffé le premier. On retrouve tous les éléments qui ont fait le succès de l’original, mais avec un peu moins de magie et plus de redite. Le truc, c’est que ça marche. On ne s’ennuie pas, mais c’est clairement plus de l’ordre des retrouvailles que d’une nouvelle aventure. On aurait pu espérer plus, mais en même temps, on ne va pas trop se plaindre.
Vice-Versa 2, c’est comme une pizza réchauffée au micro-ondes : t’aurais préféré du frais, mais c’est toujours aussi bon, surtout quand t'as la dalle. Pixar fait du recyclage de luxe, mais vu la qualité du premier, on ne leur en veut pas trop. Si t’as pas vu le premier, fonce le mater, parce que c’est la base. Mais si t'es là pour retrouver la bande d’émotions qui a marqué ton enfance ou celle de tes gosses, tu vas quand même passer un bon moment.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Ah Vice-Versa 2, ou comment Pixar nous ressort le cerveau de Riley, désormais ado, avec toute la subtilité d’un camion-benne. On était tellement en manque qu’on n’a même pas vu venir le fait que c’est en gros le même plat réchauffé. Mais t’inquiète, ça reste savoureux, surtout si t'as aimé l'original. On retrouve Joie, Colère et toute la bande, et c’est comme retrouver des potes après 10 ans : ça fait chaud au cœur, même si t’as pas grand-chose de nouveau à leur dire.
Riley est devenue une ado, donc évidemment, faut du drama. C’est là que Pixar nous balance des nouvelles émotions qui déboulent sans prévenir comme des colocataires relous : Anxiété, Embarras, Ennui et Envie. Autant te dire que ça fout un sacré bordel dans le quartier général. Joie et sa clique ne savent plus où donner de la tête, et ça part en freestyle comme jamais. Si t’as déjà survécu à l’adolescence, tu vas vite reconnaître le bordel.
La recette reste la même : les émotions se foutent sur la gueule pendant que Riley gère mal sa vie. Sauf qu’au lieu de se perdre dans les limbes comme dans le premier, nos anciennes émotions sont en mode chômage technique. Pendant ce temps, les nouvelles émotions prennent le contrôle, et devine quoi ? Elles font n’importe quoi, forcément. Rien de révolutionnaire, mais ça fonctionne encore, parce que qui n'aime pas voir Joie essayer de sauver les meubles pendant qu'Anxiété flippe sa race ?
Riley, c’est un peu la meuf que tu vois dans tous les collèges : en mode crise existentielle pour un oui ou pour un non. Un petit chamboulement dans sa vie, et bim, c’est la cata dans son cerveau. Ce qui est marrant, c’est que tout revient toujours à la normale à la fin, parce que c’est Disney, faut pas déconner. Mais bon, on est là pour ça, non ? Voir les personnages galérer, mais finir avec un sourire de bienveillance à la fin. Allez, un petit câlin et on repart.
Soyons honnêtes, Vice-Versa 2 est avant tout un film pour te rappeler à quel point t’avais kiffé le premier. On retrouve tous les éléments qui ont fait le succès de l’original, mais avec un peu moins de magie et plus de redite. Le truc, c’est que ça marche. On ne s’ennuie pas, mais c’est clairement plus de l’ordre des retrouvailles que d’une nouvelle aventure. On aurait pu espérer plus, mais en même temps, on ne va pas trop se plaindre.
Vice-Versa 2, c’est comme une pizza réchauffée au micro-ondes : t’aurais préféré du frais, mais c’est toujours aussi bon, surtout quand t'as la dalle. Pixar fait du recyclage de luxe, mais vu la qualité du premier, on ne leur en veut pas trop. Si t’as pas vu le premier, fonce le mater, parce que c’est la base. Mais si t'es là pour retrouver la bande d’émotions qui a marqué ton enfance ou celle de tes gosses, tu vas quand même passer un bon moment.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
un "bon Pixar", dans la tendance de ce que les studios Pixar sortent ces dernières années. l'histoire est vraiment intéressante (pas toujours facile à comprendre pour les enfants mais très agréable pour le public ado et adulte)
Le très talentueux Pete Docter à deserté la réalisation et pourtant cette suite s'avère encore meilleur que le premier, et c'est rare que je dise ça !
C'est même plus la peine de parler de l'animation qui fait depuis longtemps la réputation de Pixar, ici on a même de l'animation de cartoon et de jeu vidéo pour une certaine raison mais je veux pas spoiler.
Le compositeur Michael Giacchino est lui aussi parti (pourquoi ?) mais sa remplaçante a conservé, pour notre plus grand bonheur, le thème musical oroginal et l'a même magnifié à mes yeux (et à mes oreilles).
Pixar sans émotion ce n'est plus pixar et ici les larmes peuvent facilement couler à la fin, mais c'est surtout l'humour qui prend le pas et qu'est ce que je me suis marré !!
Le plus génial est cette reconstitution fidèle de la puberté au niveau de ce qui se passe dans la tête et l'esprit, les nouvelles émotions, les idées, les secrets, la fosse du sarcasme, les croyances, l'estime de soi... quel enrichissement de l'univers, en plus d'être réaliste et poétique !! Toutes ces nouvelles idées créatives participent, avec l'aide d'une narration fluide et d'une grande amélioration de l'exploitation du concept de "Vice Versa", à une meilleur compréhension de ce passage de la vie mouvementé qu'est la puberté, avec toutes ces émotions contradictoires qui se mélangent et cette soudaine recherche d'identité... malheureusement pour ce qui est de l'extérieur et des comportements de Riley en réaction à ces émotions, on est beaucoup trop dans le cliché et l'exagération...
De plus colère et tristesse qui deviennent parfois joyeux sont pour moi une facilité scenaristique doublée d'une incohérence. Pour finir, je suppose que ça dépend des gens mais la nostalgie ça n'arrive pas si tard ? Personnellement à l'adolescence je suis déjà nostalgique de l'enfance...
Et j'aurais bien voulu en savoir plus sur le secret noir de Riley !
Mais ces quelques imperfections du scénario ne réduisent en rien l'émerveillement et que très peu le plaisir du visionnage.
Le premier mais en encore mieux, décidément Pixar ne flop jamais.
C'est même plus la peine de parler de l'animation qui fait depuis longtemps la réputation de Pixar, ici on a même de l'animation de cartoon et de jeu vidéo pour une certaine raison mais je veux pas spoiler.
Le compositeur Michael Giacchino est lui aussi parti (pourquoi ?) mais sa remplaçante a conservé, pour notre plus grand bonheur, le thème musical oroginal et l'a même magnifié à mes yeux (et à mes oreilles).
Pixar sans émotion ce n'est plus pixar et ici les larmes peuvent facilement couler à la fin, mais c'est surtout l'humour qui prend le pas et qu'est ce que je me suis marré !!
Le plus génial est cette reconstitution fidèle de la puberté au niveau de ce qui se passe dans la tête et l'esprit, les nouvelles émotions, les idées, les secrets, la fosse du sarcasme, les croyances, l'estime de soi... quel enrichissement de l'univers, en plus d'être réaliste et poétique !! Toutes ces nouvelles idées créatives participent, avec l'aide d'une narration fluide et d'une grande amélioration de l'exploitation du concept de "Vice Versa", à une meilleur compréhension de ce passage de la vie mouvementé qu'est la puberté, avec toutes ces émotions contradictoires qui se mélangent et cette soudaine recherche d'identité... malheureusement pour ce qui est de l'extérieur et des comportements de Riley en réaction à ces émotions, on est beaucoup trop dans le cliché et l'exagération...
De plus colère et tristesse qui deviennent parfois joyeux sont pour moi une facilité scenaristique doublée d'une incohérence. Pour finir, je suppose que ça dépend des gens mais la nostalgie ça n'arrive pas si tard ? Personnellement à l'adolescence je suis déjà nostalgique de l'enfance...
Et j'aurais bien voulu en savoir plus sur le secret noir de Riley !
Mais ces quelques imperfections du scénario ne réduisent en rien l'émerveillement et que très peu le plaisir du visionnage.
Le premier mais en encore mieux, décidément Pixar ne flop jamais.
super bien mené, aussi bien fichu que le 1er, avec toujours de très bonnes idées et de bons dialogues (la banane style Dora, le chamboulement des emotions qui forme la panique, le personnage de la flemme) on passe un excellent moment
Le film parle de la puberté et des nouvelles émotions (Anxiété, Envie, Embarras et Ennui) qui débarquent dans la tête de Riley. C'est une histoire tellement touchante et drôle. L'histoire est très bien écrite et les quatre nouveaux personnages sont bien mis en avant, mais un peu trop rapidement, ce qui empêche de vraiment s'attacher aux émotions. Cependant, c'est une réussite pour Pixar !
J'avais moyennement adhéré au 1er volet le trouvant trop cérébral. Ici j'ai beaucoup aimé. Les sentiments de l'adolescence sont parfaitement analysés et la guerre entre les émotions représentent bien le branle-bas qui s'opère chez un enfant qui entre en puberté. Les jeunes spectateurs ne comprendront pas tout mais je pense qu'ils apprécieront néanmoins. J'ai passé un excellent moment.
La magie des pixars !…
Encore une fois, c’est vraiment génial, c’est très intelligent, il y a des réflexions très profondes derrière.
Encore un pixar qui touche, et les spectateurs ont même applaudi à la fin, c’est rare, peut être un peu stupide, mais à la fois ça montre à quel point les gens peuvent être touché par le scénario, les images et le fond du film !
On ne peut pas s’empêcher de verser une petite larme…
Le temps passe très vite, rien de redondant, juste parfait !
Encore une fois, c’est vraiment génial, c’est très intelligent, il y a des réflexions très profondes derrière.
Encore un pixar qui touche, et les spectateurs ont même applaudi à la fin, c’est rare, peut être un peu stupide, mais à la fois ça montre à quel point les gens peuvent être touché par le scénario, les images et le fond du film !
On ne peut pas s’empêcher de verser une petite larme…
Le temps passe très vite, rien de redondant, juste parfait !
Vice versa 2 ne réserve évidemment pas l'effet de surprise du premier mais, en se décalant vers l'adolescence, il interroge des problématiques qui parleront plus directement aux adultes. Finie la dichotomie entre joie et tristesse de l'enfance, désormais, il faut apprendre à gérer l'anxiété et l'embarras. Certes on parcourt à nouveau les mêmes paysages mentaux mais pour trouver d'autres phénomènes psychiques à illustrer. C'est donc un bon complément au premier volet et on peut à nouveau saluer la capacité des équipes de Pixar à trouver des équivalents imaginaires aux mécanismes abstraits de notre psyché. Ça parle beaucoup beaucoup, donc le voir en VF est sans doute plus agréable qu'une VO saturée de sous-titres.
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