AlloCiné
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Votre avis sur Vice-Versa 2 ?
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Bon on recommence mais à présent l'adolescence arrive...tout au moins en partie. C'est sympa, plein d'imagination, très américain, propret et lisse. Est-ce-que le GROS secret nous prépare un volume 3 ?
Visuellement excellent, avec quelques bonnes idées en variant les techniques, ce film est un vent de fraîcheur, même s'il n'a plus l'originalité et la surprise du premier épisode avec lui.
J'avais un très bon souvenir du premier et c’est sensiblement la même chose ici. L’univers ne bouge pas vraiment et le séquençage non plus. On retrouve le même type de péripéties, mais transposées à la puberté. C’est amusant, mais ça ne va pas beaucoup plus loin. Ce deuxième film souffre sûrement trop de ses similitudes avec le premier.
Il serait malhonnête de prétendre trouver un grand intérêt dans la majorité des suites produites par les studios Disney, mais Vice-Versa suscite en moi une bienveillance particulière. Fort d’une animation somptueuse et de multiples niveaux de lecture, le film semble à première vue une réussite incontestable. Pourtant, si on poursuit notre réflexion, il se trouve une fois de plus enfermé dans un cadre trop balisé, manquant de prise de risque et de véritables surprises.
La galerie de personnages est traitée avec soin, mais le film n’explore pas pleinement leur complexité, échouant ainsi à capturer avec profondeur l’adolescence. Les métaphores sur la maturité, bien qu’intéressantes, n’échappent pas aux conventions, et la structure narrative, presque identique à celle du premier opus, renforce cette impression de déjà-vu.
La quête identitaire de Riley reste centrale, mais la notion selon laquelle la gestion des émotions serait la source de tous les problèmes me semble discutable. Pourtant, malgré ces réserves, le film parvient à offrir un moment immersif empreint de tendresse.
La galerie de personnages est traitée avec soin, mais le film n’explore pas pleinement leur complexité, échouant ainsi à capturer avec profondeur l’adolescence. Les métaphores sur la maturité, bien qu’intéressantes, n’échappent pas aux conventions, et la structure narrative, presque identique à celle du premier opus, renforce cette impression de déjà-vu.
La quête identitaire de Riley reste centrale, mais la notion selon laquelle la gestion des émotions serait la source de tous les problèmes me semble discutable. Pourtant, malgré ces réserves, le film parvient à offrir un moment immersif empreint de tendresse.
Magnifique description du bouleversement émotionnel que représente l'adolescence ! Ce n'est pas pour les enfants...
Déception , j"avais adoré le premier pourtant et c'est certainement pour cela que la version 2 qui recycle totalement le 1er est décevante. Rien de novateur, même pas les premiers émois amoureux de l'adolescence, et la même conclusion que toutes les émotions sont nécessaires à notre équilibre.
Agréablement surpris quand même, j'ai préféré celui ci au premier. Je le trouve disons plus "réaliste" que le premier ce qui lui donne une certaine tension. Après comme je me l'attendait la structure est exactement le même que dans le premier au niveau du voyage de joie et compagnie, ce qui est assez décevant pour le coup. Les nouvelles émotions sont sympa, mais peu exploitée, toutes l'attention est mise sur l'anxiété (à raison vu le scénario certes mais bon). La morale au finale est également similaire au premier. j'ai envie de dire qu'on à un espèce du remake du premier dans un sens, qui marche mieux sur certains point, et un peu moins sur d'autre. La fin est également un peu expédié, mais on ressort quand même satisfait du visionnage, c'est pas une suite en trop.
J’ai passé un bon moment au cinéma en famille en allant voir ce film. Comme souvent dans les suites j’ai préféré le premier. Ici on est moins surpris. Les nouvelles émotions proposées ne correspondent pas forcément à ce que j’aurai choisi. Après c’est agréable à regarder même si c’est un peu long et qu’il manque une vraie intrigue d’adolescent. C’est en effet assez simple au final.
C'est un bon film. Mais honnêtement, je suis déçue. L'engouement que vice versa deux à susciter est tel que je m'attendais à beaucoup pour au final une déception. Il y a des points positifs : on retrouve bien l'esprit de Vice Versa, le thème de la puberté est amené de manière intéressante. Néanmoins, je pense avoir trouvé le problème : le temps du film. Il y a beaucoup trop de choses abordées et donc pas assez de temps pour tout traiter, ce qui donne cet aspect inabouti à beaucoup de moments. Le traitement des émotions est malheureusement assez fade : Embarras est mis sur la touche, j'ai trouvé qu'Envie n'exprimait pas vraiment l'envie, et parlons d'Ennui qui a été glorifié par les fans alors qu'il parle une seconde et demie et reste tout le film sur le canapé. Sinon, c'était tout de même sympathique, de joli plan et un thème qui parle à beaucoup. Je recommande si vous avez du temps.
J’avais toute suite accroché au premier volet de Vice Versa qui se démarquait par son concept très original
Même si on a moins cette aspect magique de la découverte de l’univers du film, je trouve que cette fois ci les émotions (principales du moins) ont été mieux travaillée et permettent de toucher un public plus large que les enfants seulement.
Cependant le film souffre de quelques lacunes, les nouvelles émotions sont peu utiles, à part anxiété qui sert d’élément perturbateur et le scénario qui est beaucoup moins développé m’a donné l’impression de tourner en rond.
Là où, dans le premier opus, on pouvait s’identifier à Riley, une enfant grandissante qui vient de quitter sa ville natale et ses amis pour un autre état, ici c’est plus compliqué puisque l’action se passe sur trois jours uniquement, lors d’un stage de hockey, assez banal et pas du tout une étape importante comme peut l’être un déménagement.
Et puis, est ce que ça parle vraiment de l’adolescence ? Non, ni de quitter l’enfance. En fait j’ai plutôt eu l’impression d’assister a un sketch bonus d’une heure et demi plutôt qu’un vrai film.
Sinon j’ai adoré les graphismes, surtout en comparaison avec les films d’animations les plus récents dont les graphismes m’ont déçue comme « Le Chat Potté » ou « Wish ».
Dans l’ensemble le film reste très agréable et divertissant et je ne regrette absolument pas d’être allée le voir.
Même si on a moins cette aspect magique de la découverte de l’univers du film, je trouve que cette fois ci les émotions (principales du moins) ont été mieux travaillée et permettent de toucher un public plus large que les enfants seulement.
Cependant le film souffre de quelques lacunes, les nouvelles émotions sont peu utiles, à part anxiété qui sert d’élément perturbateur et le scénario qui est beaucoup moins développé m’a donné l’impression de tourner en rond.
Là où, dans le premier opus, on pouvait s’identifier à Riley, une enfant grandissante qui vient de quitter sa ville natale et ses amis pour un autre état, ici c’est plus compliqué puisque l’action se passe sur trois jours uniquement, lors d’un stage de hockey, assez banal et pas du tout une étape importante comme peut l’être un déménagement.
Et puis, est ce que ça parle vraiment de l’adolescence ? Non, ni de quitter l’enfance. En fait j’ai plutôt eu l’impression d’assister a un sketch bonus d’une heure et demi plutôt qu’un vrai film.
Sinon j’ai adoré les graphismes, surtout en comparaison avec les films d’animations les plus récents dont les graphismes m’ont déçue comme « Le Chat Potté » ou « Wish ».
Dans l’ensemble le film reste très agréable et divertissant et je ne regrette absolument pas d’être allée le voir.
Et ça recommence !
Lorsqu'une recette fonctionne terriblement bien, cela n'incite pas forcément à la revoir mais plutôt à l'enrichir. Alors pour ce second opus, on reprend exactement les mêmes ingrédients, et on en ajoute quand même quelques-uns, en ne sachant pas si cela rendra le mets plus savoureux mais en se disant qu'au moins on aura servi autre chose. En l'occurrence, une poignée de personnages supplémentaires, liés à la croissance de la petite fille devenue adolescente et traversant donc de nouveaux états d'âme accompagnés de nouvelles humeurs et des sautes qui vont avec. C'est plutôt réussi, même si l'on pourra débattre sur le fait de n'intégrer que maintenant ces émotions qui, franchement, existent dès le stade de l'enfance ; mais il fallait bien une valeur ajoutée dans cet épisode qui, à part cela, ressemble beaucoup au premier dans sa construction narrative, avec notamment le voyage en dehors du poste de contrôle, qui promet encore quelques mésaventures et autres péripéties.
Pas de tristesse et encore moins de la colère, ni même de la surprise, bonne ou mauvaise, qui pourrait nous donner de l'inquiétude ou de l'anxiété : seulement de la joie et de l'enthousiasme, c'est déjà ça.
Non mais vraiment, pour un dessin animé, que d'émotions, je te jure !
Lorsqu'une recette fonctionne terriblement bien, cela n'incite pas forcément à la revoir mais plutôt à l'enrichir. Alors pour ce second opus, on reprend exactement les mêmes ingrédients, et on en ajoute quand même quelques-uns, en ne sachant pas si cela rendra le mets plus savoureux mais en se disant qu'au moins on aura servi autre chose. En l'occurrence, une poignée de personnages supplémentaires, liés à la croissance de la petite fille devenue adolescente et traversant donc de nouveaux états d'âme accompagnés de nouvelles humeurs et des sautes qui vont avec. C'est plutôt réussi, même si l'on pourra débattre sur le fait de n'intégrer que maintenant ces émotions qui, franchement, existent dès le stade de l'enfance ; mais il fallait bien une valeur ajoutée dans cet épisode qui, à part cela, ressemble beaucoup au premier dans sa construction narrative, avec notamment le voyage en dehors du poste de contrôle, qui promet encore quelques mésaventures et autres péripéties.
Pas de tristesse et encore moins de la colère, ni même de la surprise, bonne ou mauvaise, qui pourrait nous donner de l'inquiétude ou de l'anxiété : seulement de la joie et de l'enthousiasme, c'est déjà ça.
Non mais vraiment, pour un dessin animé, que d'émotions, je te jure !
Vice-versa 2 poursuit le voyage mental avec de nouveaux personnages-émotions, ce qui permet d'exprimer de nouveaux évènements comme la puberté. J'aime la façon dont la narration accorde beaucoup de temps aux nouvelles émotions pour justifier cet apport, d'autant qu'elles prennent parfois toute la place et s'accaparent la fameuse console.
Une grande imagination est apportée dans la mise en scène. C'est une suite satisfaisante, avec suffisamment d'évolution dans la vie de Riley pour avoir quelque chose à raconter. Les petites scènes d'humour permettent de créer une pause face aux inquiétudes de Riley.
Malgré tout, j'ai senti des longueurs car on passe beaucoup de temps, trop selon moi, avec les personnages-émotions. C'est le concept du film, mais d'un autre côté j'avoue m'intéresser beaucoup plus à la vie de Riley et ses nouvelles amitiés plutôt qu'aux personnages dans sa tête.
Au-delà de ça, c'est clairement un des meilleurs films d'animation de l'année, que tout le monde peut apprécier.
Une grande imagination est apportée dans la mise en scène. C'est une suite satisfaisante, avec suffisamment d'évolution dans la vie de Riley pour avoir quelque chose à raconter. Les petites scènes d'humour permettent de créer une pause face aux inquiétudes de Riley.
Malgré tout, j'ai senti des longueurs car on passe beaucoup de temps, trop selon moi, avec les personnages-émotions. C'est le concept du film, mais d'un autre côté j'avoue m'intéresser beaucoup plus à la vie de Riley et ses nouvelles amitiés plutôt qu'aux personnages dans sa tête.
Au-delà de ça, c'est clairement un des meilleurs films d'animation de l'année, que tout le monde peut apprécier.
Le film part d'un matériel de base absolument fabuleux. En plus d'avoir fait l'unanimité, "Vice-Versa" en avait bouleversé plus d'un. Le terrain de jeu était donc largement ouvert et même si on pouvait s'abstenir d'une suite, elle s'impose avec une logique implacable : nos émotions nous accompagnent et nous guident toute notre vie. Donc tant que la franchise a du succès, on aura des choses à raconter jusqu'à la mort de Riley et ça parlera nécessairement à une certaine population / tranche d'âge. Encore plus logiquement, les enfants ayant découvert "Vice-Versa" ont grandi 9 ans plus tard, donc on ne parle plus d'une enfant mais d'une ado, porte d'entrée grande ouverte sur la foire aux émotions dans tous les sens.
Toute cette introduction pour justifier la pertinence d'une suite, même si cette annonce m'a dérangé et que le métrage n'a pas réussi à me faire changer d'avis. Je comprends mais je suis un peu déçu. Certes l'animation, les idées, les gags, le rythme sont tous très bons. Le lore de cet univers cérébral s'élargit, les personnages cérébraux sont touchants, convaincants et certains très drôles, mais... principalement deux éléments.
Le premier est que Pixar a cette fâcheuse tendance, dans ses productions récentes, à simplifier la structure de ses métrages, et notamment à exagérer le happy end. Pourtant, la plupart des Pixar les plus réussis se basent sur une fin "compromis", certes pas dramatique, mais où certains éléments de l'intrigue ont échoué au profit des relations humaines. Quelques exemples parmi les plus frappants : "Toy Story 3", "Cars", "Ratatouille". A l'inverse, les fins de "En avant", "Soul", ou de ce "Vice-Versa 2" auraient à mon sens gagné en qualité en étant plus nuancées, avec des choix assez évidents. Exemple d'une fin alternative ici : spoiler: comme annoncé dans le carnet de la coach, à cause de ses excès d'humeur et son jeu personnel et dangereux, Riley n'a pas été sélectionnée pour faire partie de l'équipe de hockey pour cette année. Elle est déçue et sa nouvelle personnalité anxieuse s'effondre à nouveau. Mais elle se réconcilie avec ses amies, la coach lui redonne confiance pour la suite, et je trouve que ces événements justifiraient mieux l'émergence de la nouvelle personnalité, consciente à la fois de ses qualités ET de ses défauts.
Le second élément vient de la redondance des thématiques abordées dans les récentes productions Disney/Pixar. "Elémentaire" reprenait à plein pot "Zootopie", "Soul" repartait dans l'esprit à l'instar de "Vice-Versa", et ce 2ème opus traite de l'adolescence tout comme "Alerte Rouge"... J'aimerais que le studio parte dans une direction nouvelle à chaque fois. Je sais que j'écris cette critique comme si j'étais trop sévère avec le meilleur élève de la classe, parce que le film est dans la gamme haute des productions actuelles. Mais ce label de qualité que porte Pixar pèse malheureusement très lourd, et je suis déçu d'avoir un trop fort sentiment de déjà vu devant une de leurs productions.
Toute cette introduction pour justifier la pertinence d'une suite, même si cette annonce m'a dérangé et que le métrage n'a pas réussi à me faire changer d'avis. Je comprends mais je suis un peu déçu. Certes l'animation, les idées, les gags, le rythme sont tous très bons. Le lore de cet univers cérébral s'élargit, les personnages cérébraux sont touchants, convaincants et certains très drôles, mais... principalement deux éléments.
Le premier est que Pixar a cette fâcheuse tendance, dans ses productions récentes, à simplifier la structure de ses métrages, et notamment à exagérer le happy end. Pourtant, la plupart des Pixar les plus réussis se basent sur une fin "compromis", certes pas dramatique, mais où certains éléments de l'intrigue ont échoué au profit des relations humaines. Quelques exemples parmi les plus frappants : "Toy Story 3", "Cars", "Ratatouille". A l'inverse, les fins de "En avant", "Soul", ou de ce "Vice-Versa 2" auraient à mon sens gagné en qualité en étant plus nuancées, avec des choix assez évidents. Exemple d'une fin alternative ici : spoiler: comme annoncé dans le carnet de la coach, à cause de ses excès d'humeur et son jeu personnel et dangereux, Riley n'a pas été sélectionnée pour faire partie de l'équipe de hockey pour cette année. Elle est déçue et sa nouvelle personnalité anxieuse s'effondre à nouveau. Mais elle se réconcilie avec ses amies, la coach lui redonne confiance pour la suite, et je trouve que ces événements justifiraient mieux l'émergence de la nouvelle personnalité, consciente à la fois de ses qualités ET de ses défauts.
Le second élément vient de la redondance des thématiques abordées dans les récentes productions Disney/Pixar. "Elémentaire" reprenait à plein pot "Zootopie", "Soul" repartait dans l'esprit à l'instar de "Vice-Versa", et ce 2ème opus traite de l'adolescence tout comme "Alerte Rouge"... J'aimerais que le studio parte dans une direction nouvelle à chaque fois. Je sais que j'écris cette critique comme si j'étais trop sévère avec le meilleur élève de la classe, parce que le film est dans la gamme haute des productions actuelles. Mais ce label de qualité que porte Pixar pèse malheureusement très lourd, et je suis déçu d'avoir un trop fort sentiment de déjà vu devant une de leurs productions.
Une bonne suite, mais qui révolutionne pas non plus la franchise je sais même pas pourquoi il cartonne autant alors que je le trouve identique au Premier voir moins bien mais c’est un bon divertissement
très "girly" comme histoire, dialogue en V.O assez fatigant car le film est très bavard. Cependant j'ai passé un bon moment avec une petit sentiment de...déception. L'attente était + grande.
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