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Votre avis sur Vice-Versa 2 ?
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La tâche compliquée de proposer une suite est ici réussie en amenant un vent de fraîcheur avec ces nouvelles émotions.
Certes, on se retrouve une nouvelle fois avec un road trip dans l’esprit de Riley, mais la situation est malgré tout différente. Et le rôle des émotions est même mieux intégré dans ce second opus. On perd malgré tout un peu d’émotion par rapport au premier opus et le concept de la fin de l’innocence.
Mais ça reste un bon opus et un bon Pixar.
Certes, on se retrouve une nouvelle fois avec un road trip dans l’esprit de Riley, mais la situation est malgré tout différente. Et le rôle des émotions est même mieux intégré dans ce second opus. On perd malgré tout un peu d’émotion par rapport au premier opus et le concept de la fin de l’innocence.
Mais ça reste un bon opus et un bon Pixar.
C’est un bon dessin animé, une bonne suite dans l’ensemble. Cela reste pour ma part un cran en dessous du premier, certains moments sont assez répétitifs. Mais ca reste un bon Disney.
J'ai adoré le premier épisode, le deux et bien mais rien de spécial. Beaucoup moins bien que le 1. Se laisse tout de même regarder.
J’ai trouvé Vice Versa 2 globalement agréable, même si ce n’est pas le chef-d’œuvre que certains attendaient. Ne me souvenant pas parfaitement du premier opus, j’étais curieux de découvrir cette suite que beaucoup attendaient avec impatience.
Le point fort du film, c’est sans aucun doute le doublage français. Pierre Niney incarne parfaitement Peur, Gilles Lellouche est excellent en Colère, et Dorothée Pousséo apporte beaucoup de fraîcheur et d’humour dans le rôle d’Anxiété. Ces performances vocales sont sublimées par une animation globalement basique mais surprenante par moments, avec des scènes utilisant un mélange de 2D et 3D très réussi, comme dans la séquence des secrets et du jeu vidéo.
L’humour du film est bien dosé, oscillant entre subtilité et clins d’œil plus enfantins. Contrairement à ce que l’on pourrait craindre, le film reste élégant, sans recours à des gags trop faciles ou grossiers.
Mon principal reproche concerne le manque de surprise dans le scénario. Dès la première demi-heure, il devient assez prévisible, et l’on peut deviner le déroulement des événements sans trop de difficulté. Cela enlève un peu de tension et d’émotion, malgré l’univers riche et créatif.
En fin de compte, Vice Versa 2 est une bonne surprise, même si, à mon sens, il ne se hisse pas au niveau d’un grand film d’animation. Il plaira aux fans de la série pour son humour et son doublage de qualité, mais n’apportera peut-être pas la profondeur que certains espéraient pour un retour aussi attendu.
Le point fort du film, c’est sans aucun doute le doublage français. Pierre Niney incarne parfaitement Peur, Gilles Lellouche est excellent en Colère, et Dorothée Pousséo apporte beaucoup de fraîcheur et d’humour dans le rôle d’Anxiété. Ces performances vocales sont sublimées par une animation globalement basique mais surprenante par moments, avec des scènes utilisant un mélange de 2D et 3D très réussi, comme dans la séquence des secrets et du jeu vidéo.
L’humour du film est bien dosé, oscillant entre subtilité et clins d’œil plus enfantins. Contrairement à ce que l’on pourrait craindre, le film reste élégant, sans recours à des gags trop faciles ou grossiers.
Mon principal reproche concerne le manque de surprise dans le scénario. Dès la première demi-heure, il devient assez prévisible, et l’on peut deviner le déroulement des événements sans trop de difficulté. Cela enlève un peu de tension et d’émotion, malgré l’univers riche et créatif.
En fin de compte, Vice Versa 2 est une bonne surprise, même si, à mon sens, il ne se hisse pas au niveau d’un grand film d’animation. Il plaira aux fans de la série pour son humour et son doublage de qualité, mais n’apportera peut-être pas la profondeur que certains espéraient pour un retour aussi attendu.
"Vice-versa 2", la suite tant attendue de "Vice-versa" de Pixar, réussit à captiver son public avec une exploration enrichie des émotions de l'adolescente Riley. Sous la direction de Kelsey Mann, le film navigue à travers les tumultes de la puberté en introduisant de nouvelles émotions, tout en gardant l'essence des personnages originaux.
L'intrigue se concentre sur Riley, maintenant âgée de 13 ans, alors qu'elle entre au lycée et fait face à un week-end crucial dans un camp de hockey. Les nouvelles émotions - Anxiété, Envie, Embarras, et Ennui - apportent une dynamique fraîche et parfois conflictuelle à l'équipe d'émotions déjà connue. La représentation de ces émotions est à la fois poignante et humoristique, reflétant les défis émotionnels de l'adolescence de manière authentique.
Amy Poehler reprend brillamment son rôle de Joie, ajoutant une profondeur supplémentaire à son personnage en essayant de maintenir une perspective positive malgré les nouvelles émotions perturbatrices. Maya Hawke, en tant qu'Anxiété, se démarque avec une performance qui est à la fois sincère et touchante, capturant parfaitement l'essence de cette période anxiogène de la vie.
Le film est visuellement époustouflant, avec des animations qui continuent d'élever la barre en termes de détails et de créativité. Les paysages mentaux de Riley sont dépeints avec une imagination débordante, particulièrement la nouvelle section "Sens de soi" qui joue un rôle central dans l'évolution de l'histoire. La direction artistique et les choix de couleurs correspondent parfaitement aux émotions qu'elles représentent, offrant un festin visuel.
Cependant, le film n'est pas sans ses faiblesses. Le scénario peut parfois sembler surchargé, avec trop de nouvelles émotions introduites d'un coup, ce qui dilue légèrement l'impact émotionnel. Certaines scènes semblent s'étirer inutilement, ralentissant le rythme global du film. De plus, bien que les nouvelles émotions soient intrigantes, leur développement aurait pu bénéficier de plus de profondeur, permettant au public de mieux comprendre leurs motivations et leurs interactions avec les émotions existantes.
La bande sonore, composée par Andrea Datzman, remplace admirablement Michael Giacchino, offrant des compositions qui complètent parfaitement l'atmosphère émotionnelle de chaque scène. Les thèmes musicaux sont bien intégrés, ajoutant une couche supplémentaire de narration émotionnelle qui enrichit l'expérience globale du film.
En conclusion, "Vice-versa 2" est une suite solide qui parvient à capturer la complexité des émotions adolescentes tout en offrant une aventure visuellement captivante. Bien que quelques défauts de rythme et de développement des personnages subsistent, le film reste une exploration enrichissante et divertissante de l'esprit humain. Pixar continue de démontrer son expertise en matière de narration émotionnelle, même si cette suite n'atteint pas tout à fait les sommets de l'original.
L'intrigue se concentre sur Riley, maintenant âgée de 13 ans, alors qu'elle entre au lycée et fait face à un week-end crucial dans un camp de hockey. Les nouvelles émotions - Anxiété, Envie, Embarras, et Ennui - apportent une dynamique fraîche et parfois conflictuelle à l'équipe d'émotions déjà connue. La représentation de ces émotions est à la fois poignante et humoristique, reflétant les défis émotionnels de l'adolescence de manière authentique.
Amy Poehler reprend brillamment son rôle de Joie, ajoutant une profondeur supplémentaire à son personnage en essayant de maintenir une perspective positive malgré les nouvelles émotions perturbatrices. Maya Hawke, en tant qu'Anxiété, se démarque avec une performance qui est à la fois sincère et touchante, capturant parfaitement l'essence de cette période anxiogène de la vie.
Le film est visuellement époustouflant, avec des animations qui continuent d'élever la barre en termes de détails et de créativité. Les paysages mentaux de Riley sont dépeints avec une imagination débordante, particulièrement la nouvelle section "Sens de soi" qui joue un rôle central dans l'évolution de l'histoire. La direction artistique et les choix de couleurs correspondent parfaitement aux émotions qu'elles représentent, offrant un festin visuel.
Cependant, le film n'est pas sans ses faiblesses. Le scénario peut parfois sembler surchargé, avec trop de nouvelles émotions introduites d'un coup, ce qui dilue légèrement l'impact émotionnel. Certaines scènes semblent s'étirer inutilement, ralentissant le rythme global du film. De plus, bien que les nouvelles émotions soient intrigantes, leur développement aurait pu bénéficier de plus de profondeur, permettant au public de mieux comprendre leurs motivations et leurs interactions avec les émotions existantes.
La bande sonore, composée par Andrea Datzman, remplace admirablement Michael Giacchino, offrant des compositions qui complètent parfaitement l'atmosphère émotionnelle de chaque scène. Les thèmes musicaux sont bien intégrés, ajoutant une couche supplémentaire de narration émotionnelle qui enrichit l'expérience globale du film.
En conclusion, "Vice-versa 2" est une suite solide qui parvient à capturer la complexité des émotions adolescentes tout en offrant une aventure visuellement captivante. Bien que quelques défauts de rythme et de développement des personnages subsistent, le film reste une exploration enrichissante et divertissante de l'esprit humain. Pixar continue de démontrer son expertise en matière de narration émotionnelle, même si cette suite n'atteint pas tout à fait les sommets de l'original.
Un Vice Versa dans la veine du premier plus très beau, mais pas le premier...
Anxiété prends une place majeur dès le début et mène la danse à elle seule durant tout le film, certe elle prend une place importante dans nos vies et régie bon nombre de choix mais manquait on d'inspiration à créer trois personnages pour les laisser sur le banc de touche? La recette ne prend malheureusement pas pour moi même si j'ai passé un bon moment à regarder cet animé. Je pense que comme la plupart des film du genre drame, ce film récolte une note issue de la difficulté qu'on a à critiquer ce qui touche à l'émotion malgré un survol du sujet de fond (dito Encanto, Soul...).
à voir mais clairement en dessous du premier volet à cause de ce personnage unique qui mène la danse. Ce film a beaucoup beaucoup plus plu à la maman du foyer qu'à mes enfants et moi, elle l'attendait et n'a pas été déçue du tout, donc tout est question de point de vue comme toujours!
Anxiété prends une place majeur dès le début et mène la danse à elle seule durant tout le film, certe elle prend une place importante dans nos vies et régie bon nombre de choix mais manquait on d'inspiration à créer trois personnages pour les laisser sur le banc de touche? La recette ne prend malheureusement pas pour moi même si j'ai passé un bon moment à regarder cet animé. Je pense que comme la plupart des film du genre drame, ce film récolte une note issue de la difficulté qu'on a à critiquer ce qui touche à l'émotion malgré un survol du sujet de fond (dito Encanto, Soul...).
à voir mais clairement en dessous du premier volet à cause de ce personnage unique qui mène la danse. Ce film a beaucoup beaucoup plus plu à la maman du foyer qu'à mes enfants et moi, elle l'attendait et n'a pas été déçue du tout, donc tout est question de point de vue comme toujours!
Je viens de sortir d'une avant-première. Il s'agit de la même recette que le premier film. Le film est bien mais la trame reste complètement identique, sauf que le réalisateur arrive à explorer encore un peu plus les tréfonds de l'âme humaine, comment elle se compose, d'où viennent les idées,... mais au niveau scénaristique, la trame suit exactement le schéma du 1 avec de nouvelles émotions. Coup de coeur pour l'une d'elles. Je n'ai pas été autant touché que le premier, meme si le film a quelques moments touchants. Malheureusement Disney préfère privilégier les suites. Je commence de plus en plus à douter de leur choix (alors que je rêve d'un Encanto 2).
Très bon Pixar, dans la lignée du premier 👍 on y découvre de nouvelles émotions.
Film vu en Suisse où il est sorti le 12 juin 2024
Film vu en Suisse où il est sorti le 12 juin 2024
J’ai préféré le premier mais ce numéro deux tient ses promesses et exprime la complexité d’être un jeune être-humain en prise avec toutes ses émotions.
Déçu par le scénario et le manque d'originalité global. Mais cela reste intelligent plein de bonnes idées, au dessus de la moyenne.Mais venant de Pixar on peut attendre mieux.
spoiler:
C'est l'histoire de Riley qui a droit à de nouvelles émotions dans sa tête parce qu'elle atteint l'âge de la puberté et c'est là que les ennuis vont commencer.
Histoire/scénario : le premier était certe original, évidemment le deux, on reprend les mêmes, on en rajoute quelques-uns et c'est reparti.
Animations/dessins : c'est du Disney / Pixar, donc évidemment l'ensemble est vraiment bon, avec de très bonnes animations et des dessins vraiment pour les enfants.
Bande son/VF : la VF est bonne et la bande son rien à dire, sauf que pour une fois, il n'y a pas de chanson toutes les trente secondes, ce qui est un bon point.
Un film d'animation pour les enfants, on s'en serait douté, qui comme d'habitude est très nianian avec des tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, enfin les conneries habituelles de chez Disney.
Si vous voulez que vos chiards soient gentils et attentionnés, lobotomisez-les avec ce genre de film, ça passera crème après.
Mais moi, je m'en fous, je n'ai pas de gosse, donc je peux regarder et je sais pertinemment que c'est un gros ramassis de conneries.
1 h 40 qui passent bien pour le peu que l'on aime les Disney et que l'on prend tout au deuxième degré.
Mais pas non plus le Disney de l'année.
Bande son/VF : la VF est bonne et la bande son rien à dire, sauf que pour une fois, il n'y a pas de chanson toutes les trente secondes, ce qui est un bon point.
Un film d'animation pour les enfants, on s'en serait douté, qui comme d'habitude est très nianian avec des tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, enfin les conneries habituelles de chez Disney.
Si vous voulez que vos chiards soient gentils et attentionnés, lobotomisez-les avec ce genre de film, ça passera crème après.
Mais moi, je m'en fous, je n'ai pas de gosse, donc je peux regarder et je sais pertinemment que c'est un gros ramassis de conneries.
1 h 40 qui passent bien pour le peu que l'on aime les Disney et que l'on prend tout au deuxième degré.
Mais pas non plus le Disney de l'année.
Bon film, plein d’idées hyper intéressantes et approche toujours aussi fun des émotions dans le cerveau, alors que les émotions primaires doivent apprendre à cohabiter avec les nouvelles émotions qui arrivent avec la puberté. Plein de super idée mais globalement une impression de fouillis qui part un peu dans tous les sens, et assez indigeste. Le concept s’essouffle un peu dans ce deuxième film, moins convaincu que par le premier.
Vu dans le cadre du film d’animation d’Annecy. Il est la suite logique du premier et ne renouvelle peu mais ses idées de scénario sur l’abord de l’adolescence est quand même une bonne idée avec quelques fulgurances, et ça reste le haut du panier de ce que peut faire Pixar en ce moment.
Une bonne idée de faire un deuxième film avec le passage à l'adolescence et l'arrivée donc de nouvelles émotions et de nouveaux problèmes, même si certaines émotions sont très semblables avec celles qu'on a déjà. On peut également déplorer le scénario, globalement identique au premier film avec Joie et les autres qui doivent aller dans les tréfonds de la mémoire pour sauver Riley.
Mais le film traite bien son sujet et donne même quelques bonnes leçons, notamment qu'on ne peut pas être toujours heureux et que nos échecs font tout autant partie de nous que nos réussites.
Mais le film traite bien son sujet et donne même quelques bonnes leçons, notamment qu'on ne peut pas être toujours heureux et que nos échecs font tout autant partie de nous que nos réussites.
Bonne animation on passe un bon temps sans plus.
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