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    Vice-Versa 2
    Note moyenne
    4,0
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    665 critiques spectateurs

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    lmc-3
    lmc-3

    277 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2024
    Vice-Versa est rapidement devenu un incontournable de l’animation, qualifié ‘d’un des meilleurs Pixar’, film qui brille par son intelligence, son inventivité ;
    Cette suite est-elle à la hauteur ?
    C’est compliqué.
    Le film, d’un format d’une heure et demie, s’engage sur un terrain large et sinueux, cherche à aborder beaucoup d’éléments en peu de temps et se noie dans ses ramifications.
    L’intro est propre, captivante, bien que vue et revue dans la bande annonce ; par la suite, ça dégringole.
    Les péripéties dans le cerveau de Riley s’enchainent avec un cruel manque de coopération du public, d’abord réceptif devant les premières minutes du film, jusqu’à l’élément perturbateur, puis, adultes et enfants s’ennuient rapidement et trop longtemps ; au début des péripéties, des faux rires de la part de quelques adultes, pour tenter d’animer la salle, tandis que les enfants, pas immergés dans le film, ont de plus en plus de mal à tenir assis sans bouger ; Puis plus rien.
    Dans cet enchevêtrement d’éléments, ça fourmille d’idées, mais le rendu est brouillon, pas à la hauteur, jonglant entre le sentiment de déjà-vu et la déconnection générale.
    Pourtant, si dans le cerveau de Riley rien ne va et l’ensemble des personnages sont figurants à l’exception d’anxiété, (à l’image du film et du ressenti peut-être ?), une question capitale peut se poser au sujet des scènes d’extérieur. Les dires et les actes des personnages humains sont lus et interprétés comment par les spectateurs enfants ? quelles inspirations animent-ils ? quelles craintes ? Dans tout le film règne une atmosphère anxiogène ; Riley, encore gamine, s’imagine être animal faible et blessé devant une meute de loups voraces que représentent ces filles cools plus âgées qu’elles ; Un cerveau bouillonnant d’idées folles de jeune adolescente, qui, bien que démenties dans le sous-texte du film, auraient bien mérité un message dicté par une de ses émotions en guise de leçon à retenir pour les spectateurs adolescents à venir : Dans ce film tout le monde semble bienveillant de nature et les attentes de Riley envers elle-même surpassaient de loin les attentes des ados qui l’entouraient : pas de stress inutile, tout le monde traverse cette phase et ces nouvelles émotions : restons solidaires les uns envers les autres, ou un truc du genre, là c’est : « voici un exposé de ce qui risque de t’attendre : amuses-toi bien à démêler tout ça !
    Après plus d’une heure foutoire, bancale, et étonnamment anxiogène, le film renoue avec le public lors du grand final, à nouveaux les moments qui fonctionnent étaient des éléments tirés de la bande annonce, et, finalement, adultes comme enfants ‘fuient’ la salle, baignés par une expérience peu, ou pas captivante. Des enfants questionnant sur ce qu’est l’adolescence.
    Finalement ce film est destiné à celles-et-ceux qui ont DEJA traversé cette phase.
    Pour ma part j’ai passé le plus clair du film à analyser les réactions du public qu’à être imprégné du film lui-même.

    Mitigé.
    Le genre de ‘petit’ film ‘convenable’ pour le petit écran.
    Ptitlion
    Ptitlion

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Un grosse déception. Un scénario très linéaire, avec des explications à n'en plus finir qui font qu'au final, on ne ressent rien ni ne se pose de questions puisqu'on nous dit tout. L'adolescence en fin de compte est très mal traitée, la puberté arrive du jour au lendemain de façon maladroite. il n'y a plus aucun lien avec les parents, on ne s'attache plus à Riley comme dans le premier qui pour moi était un vrai bijou. J'aurais tellement aimé voir Joie, Peur, Colère, Tristesse se dévergonder au milieu de toutes les nouvelles émotions, comme une adolescente bouillonnante de plein de nouveaux questionnements. Les îles ne servent plus à rien, l'idée de l'estime de soi est très mal abordée, utilisée et de surcroît maladroitement redondante . Il manque cruellement la pudeur, les premiers émois, la découverte d'un corps qui change. Tant d'idées à exploiter sur la puberté manque au film. Tout est aplati, lissé, polissé et incroyablement banal et correct. Le film est à l'image du nouveau Disney en général : écraser les scénarios pour ne plus prendre aucun risque, pour contenter un public le plus largement possible afin de regarder, banalement, un film qui sort de la tête aussi vite qu'il a été vu.
    PLR
    PLR

    473 abonnés 1 576 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juin 2024
    Ouh là, ça cartonne les notes ! 4,1 de moyenne au moment où je rédige ma critique. 4 et 5 étoiles font la course. N’étant moi-même pas vraiment déçu mais pas totalement enthousiaste non plus, je me suis demandé quelle avait été ma critique du premier opus (2015). Eh ben voilà pour mémoire. « Un film d'animation c'est souvent un évènement. S'il est signé Pixar, la surprise est en général au rendez-vous. Ici, on a bien un scénario et des personnages originaux : des sentiments dans la tête d'une petite fille qui grandit. Un exposé de pédopsychiatrie avec mise en scène décalée un peu à la manière de la série télévisée "Il était une fois la vie" ou les animations du magazine de vulgarisation scientifique "C'est pas sorcier". Voilà pour le cadre, voilà pour l'idée. Mais il est somme toute difficile au spectateur de garder son attention. Dès que les bases du sujet et la manière dont il va être traité ont été posées, tout est déjà dit. Le reste n'est souvent que délayage, remplissage ». Oui, c’est de nouveau à peu-près ça ! Mais 9 ans après de nouveaux jeunes spectateurs sont arrivés pour remplir les salles. Des jeunes adultes de 2015 ont maintenant un(e) pré-ado à la maison. On n’est qu’en première semaine de sortie nationale et ça marche. Dans quelques jours la « Fête du cinéma » fera assurément le plein aussi. Les affres de la puberté chez une adolescente, tel est le fil conducteur. « Ah ben, ça va être sympa les 10 prochaines années ! » (c’est dans les dialogues et la bande annonce). J’avais noté 2 étoiles en 2015. Pareil cette fois ? Oh, je peux mettre 2,5.
    Christoblog
    Christoblog

    839 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juin 2024
    J'avais aimé le premier Vice versa, son imagination, sa cohérence et ses trouvailles.

    Dans ce nouvel opus, les cinq bonnes vieilles émotions gouvernant la vie de Riley sont rejointe par quatre nouvelles venues, caractéristiques de la période adolescente : Anxiété, Ennui, Embarras et Envie.

    L'idée est évidemment plaisante, mais malheureusement le scénario ne parvient pas à intégrer la complexité que représente la coexistence de neufs émotions complexes dans le cerveau d'une jeune fille de treize ans. Il en découle qu'au lieu de tenter une interaction entre la vie réelle (un simple stage de hockey sur glace) et ce monde psychologique, le film propose plus simplement une sorte de film d'action dans des paysages mentaux oniriques.

    Autrement dit, tout le sel du premier opus (donner à voir les mécanismes psychologiques de façon ludique) est ici diluée dans un spectacle mainstream à l'intérêt incertain. Subsistent uniquement quelques éclairs plaisants (les personnages d'anciens dessins animés relégués dans un coffre-fort mémoriel, l'alerte "puberté") et un sens du rythme qui évite au film d'être complètement insignifiant. Il y avait beaucoup mieux à faire avec la riche matière que constitue la pré-adolescence.

    Décevant.
    Dahrar
    Dahrar

    28 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juin 2024
    Une suite beaucoup trop paresseuse. On retient la qualité de l'animation, mais les idées originales manquent cruellement.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    163 abonnés 1 546 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juillet 2024
    "Vice Versa 2", le déclin de la démagogie

    Pixar est connu pour évoquer au sein de ses films d'animation des sujets très matures avec justesse. Malheureusement, "Versa 2" est victime de ce trop plein de démagogie. Pixar, par le prisme de ce film, s'enferme dans la caricature de l'éducation rendant le film too much dans ses explications.

    A aucun moment, il ne faut remettre en cause le talent d'animation des studios Pixar car cette mise en scène est d'une grande qualité irréprochable. Les couleurs sont parfaites, l'ensemble est très fluide et la photographie cherche à marquer l'esprit (presque trop).

    Par contre, il est éventuellement nécessaire de remettre en cause la narration et le scénario d'un film comme "Vice Versa 2" qui s'enferme dans une caricature bien trop intense. Effectivement, le film met en scène purement et simplement la peur de la nouveauté et la peur du danger sans juger sa nécessité. Des thèmes et des intrigues vus des milliers de fois.

    Prendre le prisme des émotions est une originalité en soi avec la saga "Vice Versa" mais le scénario sur l'acceptation de l'autre a déjà été fait dans de nombreux autres films Pixar avec notamment "Toy Story" ou avec "Elémentaire" et même chez Disney avec les films "Les Mondes de Ralph".

    Sans compter que l'intégralité des personnages est tellement caricatural qu'il est difficile d'être dans un camp ou dans un autre tellement les deux sont reprochables, défendables et surtout insupportables dans leur ensemble avec une psychologie trop prononcée et allant vers l'extrême.

    Depuis quelques années, le groupe Disney Entertainment s'enferme dans un carcan de vouloir faire l'éducation de tous en étant le plus lisse possible en oubliant un détail ; une bonne histoire s'écrit avant toute chose. "Vice Versa 2" est plus faible que certains de ses prédécesseurs avec un propos qui surpasse le scénario.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 756 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2024
    Oh là là que c'est decevant ce numéro 2. J'avais adoré le premier, le deuxième est vraiment le film de trop avec des personnages-émotions qui n'ont plus tellement de sens et une intrigue quasi similaire au premier volet. Quelques bonnes idées malgré tout (au début surtout) mais qui ne sont malheureusement pas exploitées par la suite. Du coup je vais sans doute me remater le premier parce que quand même il était vachement bien.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    118 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juillet 2024
    A vu « Vice Versa 2 » le dernier film animé Pixar de Kelsey Mann. C’est la suite du premier film « Vice versa » sorti en 2015 et qui lui était réalisé par Pete Docter. Presque 10 ans auparavant, la petite Riley avait 10 ans et 5 émotions se partageaient sa psyché, Joie, Peur, Colère, Dégout et Tristesse. Aujourd’hui, Riley a 13 ans et saute à pieds joints dans la puberté, donc cinq nouvelles émotions vont batailler et mener la vie dure à cette toute jeune adolescente : Anxiété, Jalousie, Embarras, Ennui… Mais le charme n’opère plus vraiment. Tout d’abord parce qu’esthétiquement rien de nouveau n’est proposé, les mêmes couleurs fluos, montage à 100 à l’heure, même scènes à la frontière du sur-réalisme, et même canevas scénaristique. Dans cet épisode c’est Anxiété qui a le rôle principal. Riley et ses copines font un stage de hockey sur glace avec d’autres ados de leur âge, et le pitch s’arrête un peu là. Là où dans le premier film il y avait de l’innovation, de la surprise, de la poésie, de l’humour, il ne reste plus que du copié-collé brouillon pas très captivant. Pourtant au niveau des affects paradoxaux l’adolescence est un âge béni qui pouvait ouvrir aux contextes les plus fous. Riley se retrouve finalement confinée dans sa patinoire où il n’y a aucun garçon à l’horizon, les parents sont rapidement mis sur la touche, et toutes références à un corps en transformation sont totalement évitées. Pour le spectateur qui ressort sonné par trop de couleurs criardes, de cris et de manichéisme … aucune émotion, c’est un comble pour un film sur les affects. A l’image des ados, ce film qui n’a pas grand chose à dire est sympatôche et ingrat. A moins que ce ne soit Lassitude, Nostalgie, Désarroi et Vieux-Snock qui aient pris le pouvoir sur mon cerveau de quinqua cet après-midi ?
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    188 abonnés 2 277 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juin 2024
    J’ai vu ce film le 16 juin dans l’une des nombreuses séances en avant-premières d’Ile-de-France : 170 en une seule journée, à quoi ça rime ? Autant avancer la sortie nationale ! Le film en lui-même est un peu moins bien que le premier volet et très enfantin : pas de second degré ou de multiples degrés de lecture, très peu de références spoiler: (à part Dora l’exploratrice et son sac-à-dos)
    et un seul bouton d’acné pour toute manifestation physique de la puberté. Un film bien moyen et certainement pas le meilleur Pixar. On regrette les années 1990 ou Disney sortait ses suites en Direct-To-Vidéo. Finissons par une épanadiplose sur le nombre incroyable d’avant-premières, finalement, ne serait-ce pas pour maximiser les profits avant la sortie et avant les premiers bouches-à-oreille négatifs ?
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    186 abonnés 1 090 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2024
    Un dessin animé foisonnant et foutraque, qui manque d'enjeu tout établissant un climat anxiogène, ce qui peut constituer une réussite du point de vue du message mais pas nécessairement du point de vue du divertissement.

    La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/06/vice-versa-2-de-kelsey-mann-un-poil.html
    joelle g
    joelle g

    92 abonnés 880 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2024
    Un peu déçue ….
    Pas du visuel qui est toujours aussi génial ainsi que l’idée de base…qui est de personnifier nos émotions.
    Non ! Je n’ai pas vraiment retrouvé les problématiques des adolescents ….censés être traité par ce film d’animation…
    L’adolescence est ici réduite à des envies d’être prise dans une équipe de hockey ….tout faire pour y parvenir en oubliant ses valeurs….
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)

    18 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juin 2024
    Le premier Vice versa sorti, mine de rien, il y a déjà bientôt 10 ans, était plutôt une bonne surprise, un film d’animation original dans son concept, plein de trouvailles, et qui évoquait l’enfance avec intelligence.

    Fallait-t-il forcément faire une suite ? Au vu du résultat de ce Vice versa 2, la réponse est non car même si la recette est quelque peu la même que pour le précédent volet, avec quelques personnages en plus (l’anxiété, l’ennui, l’embarras et l’envie), malheureusement la réussite n’est pas au rendez-vous... les créateurs préférant plutôt miser sur l’aspect visuel plutôt que sur le scenario et l’aspect psychologique.

    Et l’effet de surprise qui fonctionnait à fond dans le premier Vice versa, n’est plus vraiment à l’ordre du jour. Résultat, on s’ennuie beaucoup durant la projection, malgré quelques clins d’œil sympathiques ici ou là.

    Certes, le film ravira les enfants et les jeunes ados, mais laissera sans doute pas mal d’adultes nostalgiques de Toy Story et autres Mille et une pattes quelque peu dubitatifs devant ce film gentillet et bien inoffensif, au regard de ce qu’a pu nous proposer Pixar par le passé…. Mais ça, c’était avant Disney.
    https://www.hop-blog.fr/vice-versa-2-une-suite-qui-netait-pas-necessaire/
    Blan
    Blan

    11 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juin 2024
    Le 1er volet était tellement original avec la mise en scène des émissions en plein écran…A quoi pouvait-on s'attendre pour le 2eme volet ?
    C'est pas mal, on perçoit bien les métamorphoses émotionnelles de l'adolescence, mais on est moins captivé, rien d'inattendu dans l'histoire, peu de bons mots pour faire rire. Pas convaincue que le très jeune public (<12 ans) saisisse l'ensemble du film… Globalement déçue.
    Caro KLi
    Caro KLi

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juin 2024
    Pas marrant , trop moralisateur , ça aurait été sympas de jouer sur le côté nonchalant ou caractériel des ado que de nous pondre encore un truc de comment il faut être pour être une bonne personne !
    BillBoo
    BillBoo

    14 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juillet 2024
    Pas aussi imaginatif et inspiré que son prédécesseur, Vice-Versa 2 s'inscrit dans la lignée des suites ternes, pas foncièrement mauvaises, mais dont on ne peut pas tirer d'autre satisfaction que celle de retrouver un univers que l'on apprécie. La différence étant que l'originalité et le vent de fraicheur ont disparu.

    On avait pourtant de quoi penser qu'une suite, suivant l'adolescence et la puberté de Riley, valait le détour. Les hormones opèrent, les personnalités évoluent, les ambitions naissent… Si ce n'est que la carte rabattue des amitiés changeantes nous est jouée : toujours à la recherche d'elle-même, Riley délaisse ses relations authentiques au profit d'une intégration superficielle à un groupe de filles populaires. On sait qu'elle blessera ses amies fidèles, regrettera et se ravisera.

    C'est plutôt vers la palette élargie des émotions qu'on pourra trouver un développement des personnages. Si le premier film nous laissait entrevoir que les émotions avaient, elles-mêmes, leurs propres émotions – poupées russes qui auraient de quoi nous donner le vertige –, cet aspect-là est approfondi dans la nouvelle aventure qu'elles vivent. Peu d'évolution sur cette dernière, cependant, qui reprend le schéma linéaire du premier film.

    L'instauration des nouvelles émotions laisse à penser qu'une personne peut être guidée par son anxiété ; cette représentation est réussie, mais entre en contradiction avec le premier film, qui laissait entendre que c'était l'absence de joie, en l'état, qui offrait le loisir aux quatre autres émotions de prendre le dessus, et d'aboutir à un résultat intempérant, versatile et destructeur.
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