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buddy-holly
124 abonnés
737 critiques
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5,0
Publiée le 9 février 2011
Un film ultra-angoissant,étrange et effrayant de John Landis,Steven Spielberg,Joe Dante et George Miller qui sont des cinéastes clés de ces années-là.Un film en 4 parties juste incroyable inspiré de la légendaire série La quatrième dimension.L'intro de Landis,''parle'' est vraiment effrayante à la fin,la première partie,elle aussi de Landis,est drole,noire et décalée,la seconde de Spielberg,un peu décevante venant du réalisateur mais est quand même interressante,la 3e de Dante est intriguante et très originale et la 4e de Miller est ultra-stressante,intriguante et amèrement angoissante...la meilleure partie du film.Des histoires sans liens originales,angoissantes,intriguantes et stressantes et une mise en scène excellente que seul "la quatrième dimension'' peut faire.
Film américain réalisé en 1983 par John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante et George Miller, sous la direction de John Landis. Il s'agit d'un film à sketches composé de quatre épisodes, réalisés par les quatre réalisateurs précédemment cités, et d'un prologue, réalisé par John Landis. Il a été réalisé en hommage à la série américaine du même nom La Quatrième Dimension.
Soyons clair, ce film a très mal vieilli. Je ne connais pas la série original mais si elle était censé faire peur ce n'est pas du tout le cas de ce film. Cependant, les quatre épisodes sont assez inégaux. Si trois d'entre eux retiennent l'attention, celui réalisé par Spielberg est le plus mièvre avec une morale à deux sous. Les autres étaient peut-être effrayant à l'époque mais ici ce n'est plus le cas. Bref, ça sent les années 80 à plein nez et ça ne fait plus d'effets aujourd'hui...
Coréalisé par des pointures des années 80, cette "4e dimension" vaut surtout pour le deuxième chapitre mis en scène par Spielberg, vingt petites minutes d'un pur ravissement dans une maison de retraite
Je n'ai jamais vu un seul épisode de la série "La quatrième dimension" ou bien j'étais trop jeune, je découvre ces quatre segments de l'adaptation réalisé par les maitres du fantastique de l'époque, John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante et George Miller, quatre visions différentes ou il ya du bon et du moins bon. Trés intrigué par le premier segment du vieil homme raciste qui voyage dans le temps, séduit presque aux larmes par le deuxième segment de la jeunesse éternelle dans une maison de retraite, angoissé par le troisième segment avec un petit garçon aux pouvoirs de faire sortie des dessins animés ou des jeux vidéos dans le réel, déçu par le quatrième segment malgré un bon John Lithgow. L'ensemble est plutot pas mal, la série revit à mon sens pour une nouvelle génération de cinéphiles. Du beau travail dans sa globalité.
Landis, Spielberg, Dante et Miller; sont des réalisateurs amblématiques du cinéma des années 80. Les 4 épisodes sont réussi, aucun ne manque d'originalité tout en ayant des caractéristiques propres. Celui de Landis délivre un excellent message moral; celui de Spielberg est celui qui à la plus belle mise en scéne et le plus émouvant; l'épisode de Joe Dante est le plus délirant et celui de Miller est le plus effrayant et aussi (à mon avis) le meilleur des 4 épisodes.
Adaptée d'une série télévisée que je connais pas suffisamment pour pouvoir comparer les qualités de cette dernière avec le film, "La Quatrième Dimension" est une oeuvre restée plus célèbre aujourd'hui pour l'accident tragique qu'il a eu lieu autour du tournage du sketche de John Landis que pour ses qualités cinématographiques. Car aucun des quatre sketches ne s'avèrent particulièrement remarquables par leurs histoires, disons que chacun recèle de grands moments de cinéma mais de courte durée. Mais il faut reconnaître qu'au point de vue technique et au niveau des effets spéciaux, le film est impeccable. Ce qui n'est déjà pas mal même si on sent que le résultat aurait pu être meilleur.
Vingt ans après la cinquième et dernière saison de la célèbre série "La Quatrième Dimension", voilà que quatre des plus brillants réalisateurs de fantastique des années 80 unissent leurs forces pour réaliser une adaptation cinématographique. Ou presque ! Constitué de 4 segments, le film n'est en fait qu'une compilation de courts-métrages, eux-mêmes de simples remakes d'épisodes passés. Le 1er segment, remake de l'épisode "La Grandeur du pardon", nous présente un raciste transporté dans le temps où, à chaque époque, il sera pris à parti par ses tortionnaires comme s'il était l'ennemi. Ainsi, le voici propulsé en pleine Seconde Guerre Mondiale et traqué comme un juif, puis considéré comme un noir par des membres du Ku Kux Klan ou encore pris pour un soldat vietnamien pendant la Guerre du Vietnam. L'épisode, réalisé par John Landis, n'est pas très impressionnant mais très amusant et surtout assez noir, devenant dès lors une excellente (réelle) introduction. Le 2e segment est quant à lui mis en scène par Steven Spielberg et c'est pourtant le morceau le plus raté de tous. Poétique, joliment interprétée et même profondément touchante, cette histoire de retraités rajeunissant le temps d'une soirée grâce à un nouvel arrivant aux pouvoirs magiques est certes mignonne et fantastique mais n'a rien de vraiment effrayant. Dommage pour M. Spielberg qui nous livre ainsi un segment gentil mais peu en accord avec le reste du film... Pour le 3e, c'est le fabuleux Joe Dante qui se charge d'adapter l'épisode C'est une belle vie en modifiant certes légèrement l'atmosphère de l'histoire (il instaure un suspense inédit et bienvenu quant à l'identité du mystérieux petit Anthony) mais propose un univers graphique déjanté où monstres cartoonesques effrayants et décors psychédéliques parfois inspirés de Robert Wiene rejoignent un scénario dans le fond terrifiant. Sans nul doute le segment le plus réussi des quatre ! Le dernier, et non des moindres, est la relecture façon George Miller de l'un des plus célèbres épisodes de la série : "Cauchemar à 20000 pieds", avec William Shatner. Il est remplacé ici par le tout aussi convaincant John Lithgow qui va découvrir que lui seul peut voir une créature monstrueuse en train de détruire progressivement l'aile de l'avion dans lequel il se trouve. Un segment final en soi réussi (notamment au niveau du design de la créature) mais bien moins prenant que l'épisode original, alors toujours voilé du aura culte. Cependant, le réalisateur de Mad Max arrive à nous mettre un dernier petit coup de pression pour cette adaptation inégale mais qui contient quelques bonnes idées.
Je l'avais vu il y a longtemps et avait été marqué. Un peu déçu en le revoyant mais un film tout de même drôle et avec un certain fond parfois. Une réussite dans le genre malgré tout.
On ressort très moyennement convaincu de cette adaptation de la série éponyme, seul deux sketchs parviennent à maintenir l'attention, celui sur la famille étrange, véritable festival de bizarreries en tout genre et celui sur monstre dans l'avion tout simplement incroyable de tension et de terreur.
enième pressage de citron ou véritable oeuvre d'art il est vrai que cette sequelle ne bénéficie pas du depouillement legendaire de l'original, même si certains episodes contiennent quelques flux inquiétants ainsi que la partie de J. Landis et celui du voyage dans le temps avec ces nazis voulant couper le nerf de la raison aux gêneurs, et comment de toute façon ne pas aimer la bouche en coeur de Helen Foley.
l'univers de chaque réalisateur est vraiment bien représenté!! une réussite totale landis,dante,spielberg,miller, représente le cinema fantastique des années 70/80 qui aujourd'hui n'éxiste plus malheureusement!!!!
Le gratin de l'époque à la réalisation de ce film à sketch (landis,spielberg,miller,dante),adaptation de la série du même nom.Un petit bijou du cinéma fantastique doublé d'un excellent film à la thématique jamais dilettante et dont le charme et l'efficacité n'ont rien perdu avec le temps!
Dès le départ, on sent bien la sincérité de Spielberg et de ses complices pour retrouver ce qui faisait le charme et l'esprit de la mythique série éponyme. Hélas, tout n'est pas parfait au final dans ce film à sketches : il faut reconnaitre que la couleur affadit considérablement cet univers idéalement construit pour le noir et blanc, et que l'ensemble s'avère assez démonstratif, beaucoup moins subtil que dans la série. De plus, le dernier sketch n'apporte rien, tant il fait du copier-coller d'un épisode de cette même série, tout comme l'épisode réalisé par Spielberg, assez niaiseux. Pourtant, il faut avouer que l'entreprise sait se faire sympathique et vraiment très agréable, tant le ton semble étonnament dénué de prétention et ressemblant plus à un hommage à la série qu'une relecture lourdaude. Le troisième sketche est d'ailleurs excellents et étonne par son originalité et son ton, tout comme l'introduction et la conclusion. Bref, s'il n'y a pas de quoi crier au génie, l'ensemble n'en demeure pas moins plaisant et parfois même savoureux. Un bon moment donc.