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Clint B
51 abonnés
280 critiques
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2,0
Publiée le 19 juin 2024
Je n'en peux plus de ce type de films dits d'horreur... Quand est ce que les réals de ce type de prods vont-ils comprendre qu'une succession de jumpscares ne fait pas systématiquement d'un film d'horreur un bon film. Il y avait pourtant tellement mieux à faire avec cette histoire, si elle avait été un tant soit peu correctement mise en scène et réalisée. Bref, un truc de plus sans intérêt, pénible à regarder, comme tous les films de ce type qu'on nous propose depuis des années.
Film vu sur Shadowz. Il est très moyen dans son genre je m'attendais à mieux, je ne le conseille pas. L'histoire n'a ni queue ni tête et on s'ennuie.. Gore et Effets pas trop mal vu le budget toutefois.
Last Shift est un divertissement qui arrive à convaincre malgré ses petits moyens. On est en empathie avec l'actrice principale tout du long qui est vulnérable. Malum, qui est une réécriture et une refonte avec un budget plus conséquent m'a déçue de par son côté brouillon, les traits des personnages sont exagérés, voire caricaturaux, dommage. Last Shift reste quant à lui une petite perle :)
Exelent film d horreur, la tension monte crescendo, de bons jumpscares qui m on fait sursauter, aucun temps mort, pas possible de reprendre son souffle, l actrice principale est bonne dans son rôle, un sound dising efficace qui fait frissonne,seul petit bémol dans le dernier acte ça part dans tout les sens...
L'incarnation du vide. "Tiens c'est bizarre je vais voir ce qui se passe... / Bouh! jump scare! / ah non c'était une hallucination." Cette même recette * 20. Pendant 1h30.
Je n'ai pas vu "Last Shift", dont ce film est le remake, c'est donc une découverte pour moi.
La première partie du film était intéressante. Athmosphere oppressante, inquiètante, sensation de malaise, une vraie réussite qui donnait envie de comprendre de quoi il retournait et ce que le scénario allait nous servir. Malheureusement, vers le milieu et la fin de film, ça devient n'importe quoi et cette impression de flou, de ne pas savoir ce qui est réel et ce qui ne l'est pas, est certainement voulue mais pour ma part, cela m'a totalement perdue. Une impression d'avoir enchaîné quelques passages gores sans qu'il n'y ait vraiment de sens ni de raisons. C'est dommage car le début laissait vraiment à croire qu'il y avait quelque chose d'intéressant derrière tout ça, une entité, quelque chose à creuser, une histoire qui tient la route... et pourtant, je n'ai pas compris de quoi il s'agissait. On entre dans l'absurde, le grand fatras, le pot pourri de giclées de sang et de morts. Le délire hallucinogène n'a pas pris sur moi.
Pour avoir su distiller une véritable sentiment de malaise, je donnerai à ce film la moyenne : il y avait vraiment de quoi faire quelque chose de terrifiant et d'intéressant.
"Last Shift" se suffisait à lui-même mais le réalisateur Anthony Diblasi a voulu effectuer le remake de son propre film le renommant "Malum". Les différences entre les deux sont minimes. Hormis une introduction très esthétique et gore, expliquant pourquoi l'héroïne prendra sa première garde dans le commissariat désaffecté, les variations sont peu nombreuses. Cependant les effets sont beaucoup plus travaillés ici et bien plus sanglants. Est-ce suffisant pour marquer la différence ? Certainement pas car "Malum" pèche par son côté répétitif. Son prédécesseur avait le mérite d'être justement le premier en version brute mais aboutie et le regard du spectateur était donc neuf. Ici on est plutôt dans un remix amélioré par les effets mais sûrement pas par la construction de l'histoire. Résultat : des longueurs (dialogues téléphoniques et jumpscares en série) qui plombent le visionnage. Et finalement un ratage. "Last Shift" était arrivé au bon moment et était un uppercut. "Malum" est une pichenette.
Fils prodigue du cinéma d’horreur US indépendant, Anthony DiBlasi, nous offre, en 2023, le remake de son propre film, « Last Shift », sorti à peine dix ans plus tôt. Ça commence mal(um).
Il nous plonge alors dans un thriller gore, à l’iconographie satanique omnipotente et salée, n’offrant aucun répit à nos nerfs. Le film est aussi étouffant et effrayant qu’il est étrange et inutile.
Certains se lasseront de tant d’absurdité, qualifiant le métrage de ridicule et de gênant. D’autres se délecteront de ce shot de psychose pure aux allures de clip de Marilyn Manson - et c'est tant mieux pour eux. Les derniers se retrancheront vers des chefs-d’oeuvres bien plus solides: « Hellraiser » (l’original, pas le remake à la Hulu) ou le fabuleux « À tombeau ouvert » (Bringing Out the Dead) de Scorcese qui, lui, a su mettre à l’image la folie intrusive, la vraie, avec bien plus de finesse!
Pour sa première nuit de travail, Jessica, une jeune policière, a demandé à être dans le commissariat où travaillait son père. Nous sommes un an après sa mort dans des conditions qui ont marqué les esprits et Jessica va vivre une nuit d'horreur en étant confrontée au passé de ce dernier. Si les remakes sont courants, c'est quand même très rare de voir un réalisateur proposer une nouvelle version de son propre film et c'est ici le cas avec Anthony DiBlasi qui remet au goût du jour "Last Shift" sorti en 2014. Entre les bruits étranges, les apparitions, les intrusions et les coups de fil inquiétants, rien ne sera épargné à la jeune recrue qui se demande si tout ce qu'elle vit est bien réel ou le fruit de son imagination. Dans mes souvenirs, le premier film était sans temps mort ou presque avec notre jeune héroïne qui n'avait quasiment pas de répit. C'est plus ou moins ce qui se passe ici, mais mon ressenti n'est pas le même que la première fois. On est trop dans l'exagération, et les hallucinations, ça va cinq minutes, après c'est un peu lassant. Il y a de la tension et une ambiance plutôt correcte, mais c'est vraiment trop répétitif. Au final, ça se laisse regarder, mais sans plus.