Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
Dans ce premier long-métrage à la tendresse embrassée, une famille a deux toits sur la tête : Émilie Dequenne et Max Boublil, en harmonie, entrelacent liberté et amour vibrant. Une variation romantique radieuse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un premier film plein de tendresse.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Explorant les liens profonds du couple, qu’il partage un toit ou non, le premier film de Claire Vassé rappelle que la véritable essence de la famille réside dans les liens affectifs et dans la capacité à se soutenir mutuellement, à travers les hauts et les bas de la vie.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Dans un premier film attachant, Claire Vassé filme un couple qui cherche à vivre autrement. Une histoire d'amour hors-norme dans les décors d'un Toulouse enchanté.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Public
par Sarah Lévy-Laithier
On craque pour le duo formé par Max Boublil et Emilie Dequenne. Leur jeu est juste touchant.
L'Obs
par Sophie Grassin
« Double foyer » a ses fragilités. Mais dans cette comédie romantique très personnelle – où Dequenne bouleverse rien qu’en fumant une cigarette –, Claire Vassé laisse percer sa mélancolie et impose dès son premier long-métrage une petite musique bien à elle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La mise en scène, les couleurs vives de la photo, une sorte de joie triste des dialogues et des situations, la beauté de Toulouse, sa lumière, loin de tout aspect folklorique… C’est ce qui fait le sel de ce film où rien d’extraordinaire n’advient, sinon les chagrins habituels que nous procure la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Julien Rousset
Ce premier film manque un peu de nerf, mais pas de charme. Une chronique délicate comme une sonate, dans laquelle devrait se reconnaître plus d’un jeune couple.
Télérama
par Jacques Morice
Nul effet de mode ici : c’est un esprit buissonnier qui guide ce portrait de famille teinté de poésie intemporelle. Doux dans son approche des personnages, des lieux et des chansons de Guillaume Aldebert, fredonnées de temps en temps par les acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
Dans ce royaume proche de la série télé familiale où les béats sont rois, jamais quiconque n’oublie un pull ou un chargeur.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Dans ce climat de comédie romantique un brin pantouflarde, Double foyer ne fait que survoler chaque élément qui le traverse, peine à créer du relief et à installer un réel enjeu. Au point d’apparaître, au bout du compte, fort anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Malgré un sujet séduisant, ce premier film trop explicatif se met vite à patiner.
Première
par Thierry Chèze
Difficile de se passionner pour un récit dont on ne croit à aucun des rebondissements tant les enjeux apparaissent minces. Pour en faire le sujet de son premier long, l’autrice-journaliste Claire Vassé doit forcément être certaine du contraire. Mais elle ne parvient jamais à le transmettre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Dans ce premier long-métrage à la tendresse embrassée, une famille a deux toits sur la tête : Émilie Dequenne et Max Boublil, en harmonie, entrelacent liberté et amour vibrant. Une variation romantique radieuse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un premier film plein de tendresse.
Le Dauphiné Libéré
Explorant les liens profonds du couple, qu’il partage un toit ou non, le premier film de Claire Vassé rappelle que la véritable essence de la famille réside dans les liens affectifs et dans la capacité à se soutenir mutuellement, à travers les hauts et les bas de la vie.
Les Echos
Dans un premier film attachant, Claire Vassé filme un couple qui cherche à vivre autrement. Une histoire d'amour hors-norme dans les décors d'un Toulouse enchanté.
Public
On craque pour le duo formé par Max Boublil et Emilie Dequenne. Leur jeu est juste touchant.
L'Obs
« Double foyer » a ses fragilités. Mais dans cette comédie romantique très personnelle – où Dequenne bouleverse rien qu’en fumant une cigarette –, Claire Vassé laisse percer sa mélancolie et impose dès son premier long-métrage une petite musique bien à elle.
Les Inrockuptibles
La mise en scène, les couleurs vives de la photo, une sorte de joie triste des dialogues et des situations, la beauté de Toulouse, sa lumière, loin de tout aspect folklorique… C’est ce qui fait le sel de ce film où rien d’extraordinaire n’advient, sinon les chagrins habituels que nous procure la vie.
Sud Ouest
Ce premier film manque un peu de nerf, mais pas de charme. Une chronique délicate comme une sonate, dans laquelle devrait se reconnaître plus d’un jeune couple.
Télérama
Nul effet de mode ici : c’est un esprit buissonnier qui guide ce portrait de famille teinté de poésie intemporelle. Doux dans son approche des personnages, des lieux et des chansons de Guillaume Aldebert, fredonnées de temps en temps par les acteurs.
Cahiers du Cinéma
Dans ce royaume proche de la série télé familiale où les béats sont rois, jamais quiconque n’oublie un pull ou un chargeur.
Le Monde
Dans ce climat de comédie romantique un brin pantouflarde, Double foyer ne fait que survoler chaque élément qui le traverse, peine à créer du relief et à installer un réel enjeu. Au point d’apparaître, au bout du compte, fort anecdotique.
Les Fiches du Cinéma
Malgré un sujet séduisant, ce premier film trop explicatif se met vite à patiner.
Première
Difficile de se passionner pour un récit dont on ne croit à aucun des rebondissements tant les enjeux apparaissent minces. Pour en faire le sujet de son premier long, l’autrice-journaliste Claire Vassé doit forcément être certaine du contraire. Mais elle ne parvient jamais à le transmettre.