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Corenbobby
44 abonnés
664 critiques
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3,0
Publiée le 29 juin 2010
suite du premier, certainement moins bien, cet épisode est plus gore que le premier. Danny Glover joue trop fort, et il en devient écœurant. par contre le predator est une nouvelle fois bien interprété et créé. ça se passe dans la ville du crime ou le cartel à le courage de tuer les policiers et dans tout ça on trouve le predator, bref c'est assez invraisemblable. en gros, c'est un film d'action gore et musclé.
Après avoir terrassé Arnold Schwarzenegger, le prédator essaye de s’attaquer à Dany Glover qui est quand à lui pris à partie dans une guerre de gang entre Jamaïquain et Cubain. Il faut l’avouer, il ne faut pas réfléchir pour suivre. Cette suite qui joue une nouvelle foie sur la testostérone des personnages principaux mais également sur des effets spéciaux de bonnes factures pour l’époque mais ce volet ne dépasse en rien le premier.
Ce film est vraiment nul comparé au 1 avec schwarzenegger , c'est n'importequoi a tel point que c'est l'humain qui chasse le predator ... enfin bref ce film est trop nul et decevant par rapport au 1.
Une suite potable, le premier reste le meilleur ! Les qualités du film : La photographie, la mise en scène et les Predators ! Les défauts : Certains acteurs, le scénario et les décors (je préférais la forêt du un, mais là c'est entièrement subjectif).
Predator 2 ça sera Predator 1 version nouveau lieu et nouveaux personnages. Le reste sera quasi-similaire. Mais là où le 1er nous emmenait dans une ambiance de film d'action explosive dans un pays d'Amérique Latine, le 2nd se place dans un Los Angeles complètement envahi par une guerre des gangs sanglantes. Le film débutera ainsi sur les chapeaux de roue, offrant une fusillade très sympathique entre l'un des deux camps, et les policiers. Le film promet un rythme incroyable. Celui-çi aura tout de même quelques moments de faiblesse, où les personnages essaieront par tous les moyens de comprendre à quoi ils auront à faire ; sinon, il s'en sort très honorablement. Le quator d'acteurs principaux sont plutôt inspirés. Glover campe parfaitement le flic juste mais brutal, blasé d'être rabroué par ses supérieurs. Paxton joue à merveille le flic ambitieux et maladroit. Blades et Alonso sont bien à leur place aussi. Peut-être malheureusement la prestation de Busey sera loin d'être impeccable. Celui-çi introduira un nouvel aspect dans Predator : le méchant gouvernement qui saura, et qui voudra capturer le monstre. Cette situation en séduira certains, en fera hurler de rire d'autres. Il n'empêche que certaines scènes seront particulièrement réussies : le roi jamaïcain face au Predator, la scène du métro, l'abattoir... On pourra toutefois regretter des effets spéciaux et une ambiance bien typique du début des années 90 : ce film vieillit mal, et cela ira en s'empirant. On regrette aussi qu'il n'y ait presque aucune mythologie du Predator, excepté pour les cinq dernières minutes du film. Mais si l'on regarde ce film avec un oeil permissif et détendu, alors on passera un très bon moment.
Suite au succès du précédent volet, une suite était logique. La bonne idée, c'est de changer le lieu d'action (ou du terrain de chasse) du Predator. Exit la jungle, bienvenue en ville. Le changement apparaît excitant mais il s'avère bien mal exploité. D'abord, notre Predator scrute sans arrêt le héros et ne l'attaque jamais. Ensuite, les flics ont le chic de toujours être au bon endroit au bon moment. Le scénario est assez minimaliste, les acteurs sont juste corrects (D. Glover a 100 mots de vocabulaire, G. Busey fait son numéro,...) et on est sauvé de l'ennui par la mise en scène de S. Hopkins. Si ce dernier n'a pas le génie de McT, sa virtuosité technique lui permet de nous planter quelques plans et séquences impeccables et iconiques. Le final procurera aux fans des frissons qui laissaient augurer un avenir vraiment excitant mais finalement, il n'en sera rien. Reste une série B spectaculaire et violente, qui repose bien le cerveau. D'autres critiques sur
Un film assez décevant, avec des maladresses scénaristiques qui étouffent rapidement l'ensemble. Danny Glover n'arrive pas à sauver le film, trop brouillon et pas assez étoffé. Le film apporte sa dose d'actions mais le fait d'avoir replacer l'action en ville ne permet pas de rivaliser avec le premier. On frôle même parfois le grand guignolesque à la fin.
Même si l'idée était bonne de lacher la bête dans les rues de New York, l'histoire est un peu spéciale de nous projeter 7 ans en avant alors que nous sommes qu'en 1990. Sinon les points positifs sont que il y a de bons moments d'actions et des bons rebondissement autrement dans l'ensemble sa gagne un petit peu plus d'originalité que dans le premier.
Oulala que c'est mauvais! De la série B qui poursuit de bien mauvaise façon un premier opus réussi! Si les effets spéciaux sont un peu plus crédibles, c'est tellement mal filmé qu'on ne comprend rien, et le début un peu intéressant et prenant cache en fait une fin bien ridicule! Et puis même le principe de la saga n'est pas respecté, puisque le predator au lieu de traquer se fait traquer! Peu de suspense, pas de surprise, une daube.
Un petit peu moins bien que le premier, mais ils ont renouvelé l'environnement pour malgré tout apporter un peu de surprise, puisqu'on ne pouvait plus jouer là-dessus (ce qui était un gros atout du premier). A noter la musique excellente!
Los Angeles, 1997. Les rues de la ville sont le théâtre d'incessants affrontements entre les forces de police et les divers gangs. Au cours de l'un d'entre eux, un groupe de dealers est retrouvé sauvagement massacré dans des circonstances mystérieuses. Le lieutenant Michael Harrigan ne tarde pas à comprendre qu'une créature extraterrestre a décidé de faire régner sa loi dans les bas-fonds de la ville... "Predator 2" est certes le second volet de la saga "Predator" mais il ne possède en acte aucun réel fil conducteur avec le premier opus ; il faut entendre par là que seul le personnage du predator rattache ce long métrage au film de John Mc Tiernan, en outre cet unique lien se voit être effiloché par une plume scénaristique bien trop émoussée d'orgueil, pourtant, il est nécessaire de se rappeler que les différents protagonistes de cette production partaient, du moins à l'origine, d'une intention des plus louables. Stephen Hopkins s'était donc donné pour objectif de s'accaparer ce sacré montre du cinéma, afin de lui apporter une perspective inédite. Ainsi avec "Predator 2", le réalisateur tente, sans succès, d'éviter toute redondance et lassitude du public qui s'en suivrait, une tentative vaine, qui ne manqua néanmoins pas d'audace. Déplacer une créature, quelle qu'elle soit, hors du son milieu naturelle ou de prédilection est hélas bien plus propice à une turista sévère qu'à la curiosité que suscite le dépaysement. L'extra-terrestre venu d'outre galaxie délaisse donc les plaisirs du safari en pleine air au profit d'une chasse aux brigands de pissotière. Notre si féroce predator a le mal du pays, si bien que son ultime adversaire se révèle être un flic colérique à la petite semaine qui offre résolument, par comparaison, la carrure d'un rambo à notre Maigret national. Côté réalisation, nous assistons à un amoncellement des divers effets de style et clichés en tout genre propre aux années 80, dont l’omniprésence du brouillard lors des scènes nocturnes notamment.