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Un visiteur
5,0
Publiée le 4 janvier 2008
certes le 2 est moins bien que le 1 mais il reste Très Bien ! L'action se déroule dans la Ville , encore plus gore que le 1 , ce predator 2 est tout ausi interessant dommage que arnold scharnegger n'est pas LA ! Mais Bon c'est un très bon film
Le premier cartonne, donc on fait une suite ! Cette suite est correcte, mais vraiment sans plus, car, à part le Prédator c'est quasiment un policier normal.
Los Angeles, 1997. La “Cité des Anges” est gangrenée par les cartels de la drogue. Le lieutenant Michael Harriga mène son enquête et ne tarde pas à découvrir que L.A. est devenue le terrain de chasse d’un prédateur…
Trois ans après le cultissime et sévèrement burné premier opus de John McTiernan, c’est au tour de Stephen Hopkins (Freddy 5 : L'Enfant du cauchemar - 1989) de s’atteler à la lourde tâche d’en réaliser la suite. Oubliez le casting d’origine (ou du moins, ce qu’il en restait), on repart de zéro (bien que le film situe l’intrigue 10 ans après les faits) avec une ribambelle de nouveaux acteurs. Oubliez aussi la chaleur moite de la jungle sud-américaine, cette fois-ci, l’action se déroule sous une chaleur accablante en pleine jungle urbaine où colombiens et jamaïcains se disputent le marché de la drogue.
Pour le reste, on est clairement dans le plus pur style des “actioners” 90’s, c’est badass à outrance mais bien moins jouissif que ne pouvait l’être le précédent opus. Le film ne se contente pas de ressasser ce qui a déjà été fait et nous offre d’excellentes séquences et ce, de façon honnête. Côté distribution, Danny Glover fait le job mais reste constamment en deçà de ses capacités et peine à marquer le film de par sa présence (sans doute à cause de L'Arme fatale qu’il enchaînait entre les années 80 & 90, difficile de le retrouver ici à dans nouveau dans la peau d’un flic mais dans un registre bien plus sérieux). A ses côtés, on retrouve quelques gueules du cinéma hollywoodien, tels que Gary Busey & Robert Davi.
Predator 2 (1990) parvient à relever le défi de ne pas être la suite de trop, comme c’est bien souvent le cas. Le film fait clairement le taff même s’il n’égale absolument pas son aîné.
Predator 2, un film mal aimé qui a pris son envol dans les années qui ont suivies, notamment à la vue des autres films de la franchise. La jungle urbaine au lieu de la jungle tout court du premier. Un Danny Glover investi et crédible, le tout avec effets gores (le sang est un peu rouge vif quand même...) et moments de tension. Un volet qui mérite d'être revisionné pour ceux qui ne l'avaient pas apprécié la première fois.
Suite du sommet de l'angoisse Predator de John McTiernan, j'avais souvenir d'avoir été sacrément déçu la 1ere fois que je l'ai vu. On se retrouve donc en zone urbaine cette fois toujours avec notre rasta galactique (toujours impressionnant) mais exit Schwarzy, c'est Danny Glover qui reprend le rôle titre et même s'il se démène comme un beau diable il est malheureusement loin d'avoir le charisme d'Arnold. On ressent très peu de tension ici, les scènes d'action sont mal filmées et les SFX datent. En fait cette suite cumule tous les défauts inhérents au cinéma d'action des 80's, des personnages secondaires sans relief, des dialogues bêtes à souhait et de l'action bête et méchante avec pan pan boum boum à la clé. Le cadre était éventuellement intéressant mais ça tombe à l'eau malgré quelques moments sympas. Aucun n'égalera la version de 1987 de toutes façons.
Deuxième opus des aventures de l Alien chasseur d hommes . L'action ne se passe plus dans la jungle, terrain de prédilection du Predator mais dans la ville de Los Angeles où la guerre entre les truands et la Police fait rage. Schwarzenegger ou Mc Tierman ne sont plus de la partie et ça ressent . C est clairement en dessous du premier devenu culte . L’acteur principal est Danny Glover qui surfe sur son rôle dans l’arme fatale au côté de Mel Gibson. Les autres acteurs sont catalogués acteur de série B et le film se classe aussi dans cette catégorie .
On est plus dans une suite voulant profiter du succès surprise du premier épisode , mais sans voir que le premier avait un scénario et un suspense bien amené . Tout le monde n est pas John Mc Tierman (réalisateur du premier ).
Les dialogues sont peu recherchés à la hauteur d un scénario sans surprise. L utilisation de la vision infra rouge du Predator est utilisé n’importe comment , de manière trop répétitive et sans intérêt la plupart du temps (contrairement au premier). Les effets spéciaux sont au niveau des acteurs et du scénario , catastrophiques ! Les armes du Predator font plus gadget que armes du futur .
Cependant la dernière partie du film où le Predator commence à être chasser remonte le niveau global du film en le passant de médiocre à moyen. On finit dans le vaisseau spatial du Prédator.
A noter pour la petite blague, le costume de Danny Glover avec le pantalon haut et large qui est caractéristique des années 80 ,
« D’aucuns diront aujourd’hui que ce « Predator » a fini par devenir culte en raison des trois suivants qui seront décevants. » Telle était ma conclusion à l’issue du premier opus.
En ce qui me concerne, ce deuxième opus que je n’avais jamais vu ne m’a pas foncièrement déçu. J’ai apprécié que Predator erre dans Los Angeles. Maintenant, je ne suis pas un fan de la franchise, mais il ne m’a pas semblé que le film réalisé par Stephen Hopkins ait trahi l’esprit de cet extraterrestre à la violence terrifiante. Le fait que Predator passe d’une jungle tropicale à une jungle urbaine ne m’a pas déstabilisé. Au contraire, ce nouveau territoire de traque permet à la franchise de ne pas se répéter. Arnold Schwarzenegger est remplacé par un Danny Glover lieutenant de police de Los Angeles convaincant.
Il est vrai que le début du film ne m’inspirait guère avec cette fusillade entre trafiquants et policiers. Je craignais que le récit se focalise entre Predator et les trafiquants. Il n’en fut rien. Peu à peu s’installe un duel à distance entre Harrigan et l’extraterrestre. La fin permet de rentrer dans le vaisseau de Predator et d’y voir différents crânes exposés dont celui d’un certain Alien. Ainsi, je comprends les oppositions entre Predator et Alien. Mais là pour le coup, j’ai vu ces crossover et n’ai pas du tout aimé.
Inférieur au premier malgré la bonne performance de Glover, le plus gros problème c'est la disparition de l'ambiance oppressante de la jungle, ce film a au moins le mérite de changer totalement de cadre et donc de ne pas tourné en rond.
Comparé au 1er opus, on se demande si ce film n'est pas une caricature. Dany Glover y joue très mal, comme tous les autres acteurs. Les clichés "raciaux", de gang sont omniprésents. bref, je pense qu'il faut prendre se film au second degré
Il ne sera pas facile de juger de la vision de Stephen Hopkins, en dehors du jouissif périmètre cinématographique des années 80 / 90. Alors que Predator premier du nom demeure une référence inoxydable du genre survival, cette suite en demi-teinte tente malgré tout de prolonger l'aventure dans un futur proche post-apocalyptique, particulièrement désuet en 2018. David Glover nous offre tout de même une prestation sympathique.
je garde un bon souvenir de cette suite j ai du la visionner 20 fois... hélas je me rends compte aujourd hui que le film a mal vieilli et comparer à la claque du premier volet celui ci peine malgré les efforts de danny glover. le scénario n est pas plus étoffé que le premier mais on y retrouve pas la même mise en scène, ni des dialogues , ni des personnages qui rendent l ensemble convaincant. le milieu urbain n est pas une mauvaise idée mais pas si bien exploitée et l action est vraiment un ton en dessous. mais on découvre aussi de nouvelles armes du predator ainsi que certaines faiblesses et qu ils ne sont pas seuls... bien maigre pour en faire une bonne suite
Truffé de clichés de À à Z : Une guerre des gangs entre Noirs et Latino alors on met un acteur policier noir et son coéquipier Latino ainsi que leur coéquipière femme Latino aussi, par contre un coéquipier blanc arrogant et prétentieux, ensuite le groupe des vilains hommes qui travaillent pour l'état sont tous blancs comme neige et corrompus et bien blancs. À force de vouloir éviter les clichés on sombre dans l'effet Streisand et un jeu d'acteurs ridicules.
Exit la jungle du premier opus, le Predator est de retour cette fois en plein Los Angeles où il va prendre un malin plaisir à tuer tout ce qui bouge ou presque. Et évidemment, si l'ensemble ne peut tenir la comparaison par rapport au très grand film de John McTiernan, ce "Predator 2" se visionne tout de même agréablement grâce à une réalisation dynamique de Stephen Hopkins qui nous concocte quelques séquences d'actions rondement mener et une bonne dose de suspense. De plus, nous avons le droit à une distribution bien sympathique puisqu'on retrouve les excellents Danny Glover, Bill Paxton ou encore Maria Conchita Alonso et aussi la présence d'un Predator qui possède un look qui ne manque vraiment pas de style. Un très bon divertissement qui se termine spoiler: par une étonnante visite du vaisseau extraterrestre .