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FeetLover
29 abonnés
289 critiques
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5,0
Publiée le 22 août 2013
Perso, ce 2eme opus est aussi bonne surprise que le premier : j'ai adoré, je l'ai découvert en interclasse au collège : entre midi et deux après la cantine, le bon vieux temps :)
Outre les très mauvaises idées de faire arriver le Predator dans une ville (aucune sensation d'isolement, donc aucune tension) et de le mettre face à un Danny Glover qui n'a pas sa place, ce film est un ramassis de clichés ineptes et ennuyeux aux scènes d'action pathétiques.
Predator 2 avait tout pour être un film pércutant comme le premier opus mais la déconade un peu trop présente tire le film vers le bas (mamie gateuse,boxing de predator à mains nues, dialogues d'ados). Ouais, parfois ça frise le nanar pour les amateurs de science fiction.
Changement de décor, la ville remplace la jungle, les flics et les gangsters qui s'entretuent remplacent les mercenaires et les guerrieros qui s'entretuaient aussi, Glover et sa calvitie remplacent Schwarzy et ses muscles... La bête est toujours là... Gary Busey ("Point Break", "Piège en haute mer", "Drop Zone"), Bill Paxton ("Tombstone", "True Lies", "Apollo 13", "Twister") et Adam Baldwin ("Independance Day", "Men in black") sont au casting... ça fleure bon les 90's et le vidéo club VHS de mon enfance !...Passons. Dans cette suite, la tension retombe d'un cran, la faute à l'environnement. La ville, fut-elle crasseuse et bouillonnante, n'a pas la dimension oppressante de la jungle, qui pour moi, faisait 75% de la qualité du 1er volet. Ce terrain reste tout de même intéressant car plutôt bien exploité (la canicule, la violence urbaine, le métro, les immeubles...). Concernant l'action, le 1er opus faisait état d'une véritable "chasse à l'Homme" (au sens propre, d'où la majuscule), dans ce 2ème on est plus dans une "traque à la bête", les rôles s'inversent, même si c'est effectivement "Predator" qui ouvre les hostilités. Le côté éprouvant est donc moindre. Reste que l'on passe quand même un bon moment avec un bon Danny Glover, des scènes d'action pêchues, une fin un peu tirée par les cheveux mais qui passe quand même et un peu de gore. Loin du niveau du 1er mais pas honteux non plus.
Une excellente suite, le fait de transposer l'action dans la jungle urbaine de Los Angeles est une excellente idée. Danny Glover est excellent à la fois brutal et plein de second degrés. La scène de début véritable guérilla urbaine dans le monde le la drogue est un grand moment. L'ambiance moite et étouffante du film donne un vrai gout d'enfer à ce Predator 2. Du pur divertissement sacrément bien foutu.
Un film réalisé en 91 et qui a pour époque 97 pour son histoire, était-ce vraiment nécessaire? Toujours est-il que l'on échappe au pire, assez violent, puisque c'est la guerre urbaine dans les rues de L.A, et on a plaisir à retrouver Danny GLOVER, dans un rôle de dur à cuire à qui on ne la fait pas. Tous les codes des années 80 sont présent dans ce film. Et c'est en partie grâce à cela qu'il trouve sa place dans le panthéon des films cultes de ses années. Ce qui reste, c'est un film sur un bon rythme, qui utilise quasiment les mêmes ressorts du début à la fin, et qui malheureusement s'éternise un peu sur son final. Allez, c'est le moins pire des suites pour la série des Prédators.
Predator 2 est une suite sans intérêt, perdant tout ce que nous aimions dans le premier film. Ici, on se concentre sur de l'action pas terrible et vraiment bâclée, avec un scénario absolument ridicule qui n'apporte rien à l'opus précédent. Heureusement il y a un petit élan de divertissement dans la dernière partie du film, avec son jeu de cache-cache pas trop mal foutu, rappelant enfin l'épisode original. Bref, Schwarzy n'est plus là, et même si Danny Glover est un bon acteur, rien ne vaudra sa présence.
Peut-être finalement mon préféré. Non pas que Danny Glover soit à la hauteur mais le développement de l'histoire m'a finalement peut-être plus interpelé en son époque que le premier opus, certes très bon, mais beaucoup plus classique dans son développement. Bref un autre grand film d'action des années 80.
En exemple type de la suite inutile et, pire, franchement mauvaise, ce "Predator 2" s'impore! Et pas qu'un peu, tant Stephen Hopkins, réalisateur "inégal" dirons-nous gentiment fait preuve de fautes de goûts et d'intelligence 120 minutes durant. aux antipodes du "survival" brillant et particulièrement efficace qu'était le premier opus, ce second volet n'est qu'une grosse chose informe sans intérêt aucun, l'humour (si on peut l'appeler ainsi) se faisant franchement pathétique et les acteurs d'un niveau somme toute très moyen. Et que dire de ce scénario inexistant, ne faisant au fond qu'exalter des images d'une laideur infinie, l'écoeurement étant souvent bien proche. Cela est fait exprès me direz-vous, mais je ne crois pas que le but était simplement de nous exhiber des images plus dégoutantes les unes que les autres, les différentes "visions" du Predator s'avérant rapidement gratuite et sans intérêt aucun quant à l'intrigue. On pourra alors ressentir un "très" léger sursaut durant le final, vaguement prenant et livrant un tout petit suspense... Mais il est peu dire que cela s'avère extrêmement insuffisant pour sauver ce film de la médiocrité totale : ce dernier est donc à éviter à tout prix.
Si cette suite peut paraître au premier abord sans grand intérêt (et c'est l'impression que j'avais eu lorsque je l'ai vu la première fois) il faut reconnaître que Predator 2 est un bon film d'action au rythme bien soutenu jusqu'à la fin. L'histoire se déroule dans le futur (précisons que si le film date de 1990 l'histoire elle se situe en 1997) et cette fois-ci un predator investit la ville de Los Angeles en plein guerre des gangs, le début s'ouvre sur une excellente scène d'action, une fusillade bien filmée qui donne le ton d'ailleurs niveau action le reste du film est bien foutu. Predator 2 est même assez violent voire sanglant par moment, c'est une série B possédant un bon budget donc ce n'est pas un film cheap de plus il a bien vieilli. Niveau casting c'est solide aussi, Danny Glover garde un peu son côté maladroit dans l'action (comme son personnage de Murtaugh dans L'Arme fatale) mais il assure malgré tout. Bien sur on peut préférer le Predator de McTiernan cependant c'est une bonne suite qui en bon représentant du cinéma d'action des années 80/90 sait nous divertir, je crois même qu'il a son lot de fans pour qui il est culte.
Predator 2 tient compte de sa place dans ce qui deviendra, avec les diverses réadaptations à suivre, une saga : il ne s’agit plus de dévoiler progressivement un prédateur que nous avons vu à l’œuvre dans le volet original, mais de le raccorder à sa dimension mystique. Aussi Stephen Hopkins recourt-il à la ville moins comme un terrain de chasse que comme un espace de tension entre des communautés et leurs pratiques dites magiques ou vaudous.
La créature humanoïde devient alors l’allégorie de cet autre que l’on regarde avec une distance angoissée, à l’origine des conflits armés entre bandes rivales ; elle ramène Los Angeles et son urbanisme étouffant aux charniers et ossuaires qui les composent, de la même façon que Médée, dans le roman de Christa Wolf, rampe dans les entrailles du royaume de Colchide pour y découvrir sa monstruosité originelle. Le prédateur dispose alors d’une spiritualité et assume davantage encore sa dimension hybride ; plutôt, l’hybridité relevait du code d’honneur et des valeurs militaires dans l’œuvre de McTiernan, elle se transforme ici en initiation aux rites qui scandent la civilisation extraterrestre à laquelle appartient le monstre, en témoignent les rites funéraires ultimes pratiqués dans le vaisseau.
La réalisation de Stephen Hopkins se situe aux antipodes de celle de son prédécesseur : plans brefs, montage charcutier, sauts de puce entre les lieux et les personnages, travail de la pénombre avec ses lumières artificielles et ses alternances machinales – voir la séquence d’attaque dans le métro. Elle tire profit des ressources offertes par la ville pour composer une atmosphère bruyante, poisseuse et oppressante ; ce faisant, elle applique une esthétique stéréotypée déjà observée dans des films tels que The Warriors (Walter Hill, 1979), Lethal Weapon (Richard Donner, 1987) ou encore The Last Boy Scout (Tony Scott, 1991), tous les trois produits par Joel Silver, également producteur des deux premiers volets Predator. Notons aussi l’influence évidente de The Believers (John Schlesinger, 1987) qui se proposait déjà d’injecter dans un New York ultramoderne une matière vaudou propice au cauchemar.
Si Hopkins n’atteint jamais la maîtrise des cinéastes précédemment cités, il signe, avec Predator 2, une suite réussie qui conserve l’essence du monstre humanoïde en l’augmentant d’une aura mystique nécessaire à sa portée légendaire.
L’histoire de vase comme le premier est cool et le début assez prometteur . On en apprend plus sur ces predators mais la fin meme si elle est inattendu prend beaucoup de trop de temps a arriver les 30 dernières minutes étaient trop longues dommage ça a tout plombé
une suite basé sur l'action, moins intéressante mais assez entrainante et puissante, danny glover ne remplace pas schwarzi, mais offre une prestation honorable...quand au predator lui il ne bouge pas