Dans la peau de Blanche Houellebecq : Critique presse
Dans la peau de Blanche Houellebecq
Note moyenne
3,2
27 titres de presse
20 Minutes
CNews
Franceinfo Culture
L'Obs
Le Figaro
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Sud Ouest
Voici
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Paris Match
Première
Télé 2 semaines
Télé Loisirs
Télérama
Le Point
Marianne
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Guillaume Nicloux a eu la riche idée de mêler intimement la réalité à son scénario pour brosser des caricatures réjouissantes du duo et de ceux qu’ils rencontrent. Michel Houellebecq en prend pour son matricule sur son intervention controversée face à Michel Onfray.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
En résumé, Guillaume Nicloux signe une comédie efficace, azimutée et bienveillante, dans laquelle on retrouve une Blanche Gardin solaire, mordante et rassurante, et un Michel Houellebecq fidèle à lui-même, caustique, naïf, désabusé et pince-sans-rire.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le duo fonctionne à merveille dans une comédie pleine de chausse-trappes, libre comme l’air, drôle et pleine d’autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Derrière les quiproquos aberrants et les dialogues souvent hilarants pointent les questions du colonialisme et des réflexes de domination raciste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Bertrand de Saint Vincent
Guillaume Nicloux met en scène Blanche Gardin et l’écrivain pour une fable pleine d’autodérision sur le devoir de silence. Hilarant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
Gardin et Houellebecq forment un duo qui n’évolue pas du tout dans la direction que l’on pourrait imaginer. Les deux, jamais avares d’autodérision, franchissent à plusieurs reprises les limites du politiquement correct.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Après "Thalasso", un troisième épisode houellebecquien plutôt réussi, souvent drôle, qui aborde des questions sérieuses avec un ton léger mais sans complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par T.C.
Très politique et totalement barrée, cette comédie s'appuie sur deux individualités qui se complètent en réalité à merveille.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Guillaume Nicloux clôt une trilogie délirante autour de Michel Houellebecq, avec une comédie décalée et délicieuse qui déjoue tous les codes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Un pitch improbable porté par un humour plein de finesse où se déploie le génie burlesque de l'écrivain Droopyesque.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Et si la réalité de Michel Houellebecq se racontait à travers un délire cinématographique, où l'écrivain se retrouve dans une sorte de jeu de rôle improvisé ?
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
La farce et le discours politique anticolonial ne cohabitent pas toujours très bien dans ce joyeux bazar, mais le chaos de l’ensemble fascine. Filmé à la manière d’un docufiction un peu branlant, « Dans la peau de Blanche Houellebecq » s’amuse surtout à détruire l’image de son sulfureux duo.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le cinéaste réussit pourtant à faire de l’écrivain natif de La Réunion le personnage comique le plus improbable qui soit, et surtout lui tend un miroir implacable.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Guillaume Nicloux, à travers sa trilogie Houellebecq, pleine d’autodérision, paraît approcher la vérité du romancier, silhouette de plus en plus penchée vers la solitude, le désarroi, et l'extrême droite.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
C'est souvent drôle, un peu chaotique, surtout d'une remarquable intelligence.
Le Monde
par M. Jo.
On rêvait un peu que ces deux-là se rencontrent : même dépression dans le regard, même comique indolent. Le rapprochement de ces deux corps suffit à provoquer un comique visuel, l’évidence d’un duo de cinéma étrangement émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une comédie délirante et très drôle, surtout grâce à Blanche Gardin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Une comédie trash, pas assez raide pour totalement convaincre, mais beaucoup plus inspirée qu’elle n’en a l’air, et renouant assez joyeusement avec les sciences oubliées de la voltige sans filet, du lustre crasseux et du carnaval désorganisé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
C’est bien sûr très inégal mais quand le rire du malaise fonctionne, le flegme dépassé de Michel Houellebecq et le punch créole de Blanche Gardin créent un cocktail détonnant, que la mise en scène faussement improvisée rehausse du poivre de la gêne des personnages secondaires.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par François Léger
L’idée est assez géniale pour propulser un film forcément bancal (beaucoup d’impros) mais souvent tordant, où rien n’est tout à fait vrai ni complètement faux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Camille Brun
[...] le film ne s'embarrasse pas de vraisemblance et ne ressemble pas à grand-chose esthétiquement. Mais il est très drôle !
Télé Loisirs
par Camille Brun
Attention, comédie complètement absurde.
Télérama
par Jacques Morice
Hybride, foutraque et débridé, Dans la peau de Blanche Houellebecq confirme le talent très spécial de Guillaume Nicloux, franc-tireur, provocateur et expérimentateur, capable de fusionner l’engagement politique avec la dérision la plus forcenée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
par La Rédaction
Dans l'esprit doux dingue de L'Enlèvement de Michel Houellebecq et de Thalasso, avec le duo Houellebecq-Depardieu, Guillaume Nicloux, fidèle à son style débridé, signe un happening délirant dans lequel l'humoriste et l'écrivain se demandent ce qu'ils font là. On rit un peu et on finit par se poser la même question.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Olivier De Bruyn
Au final, ce petit film invertébré confirme involontairement que la rencontre entre Houellebecq et le cinéma n’a pas encore eu lieu.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’on comprend la jubilation de Guillaume Nicloux de tourner de nouveau avec Michel Houellebecq dans cette comédie fantasque, on ne rit que moyennement dans un film qui manque de souffle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
Guillaume Nicloux renoue avec la veine fantaisiste de L’Enlèvement de Michel Houllebecq (2014) dans ce mockumentary qui rate de près le virage du brillant pour dégringoler la pente de la dérision et de son corollaire : le vide.
20 Minutes
Guillaume Nicloux a eu la riche idée de mêler intimement la réalité à son scénario pour brosser des caricatures réjouissantes du duo et de ceux qu’ils rencontrent. Michel Houellebecq en prend pour son matricule sur son intervention controversée face à Michel Onfray.
CNews
En résumé, Guillaume Nicloux signe une comédie efficace, azimutée et bienveillante, dans laquelle on retrouve une Blanche Gardin solaire, mordante et rassurante, et un Michel Houellebecq fidèle à lui-même, caustique, naïf, désabusé et pince-sans-rire.
Franceinfo Culture
Le duo fonctionne à merveille dans une comédie pleine de chausse-trappes, libre comme l’air, drôle et pleine d’autodérision.
L'Obs
Derrière les quiproquos aberrants et les dialogues souvent hilarants pointent les questions du colonialisme et des réflexes de domination raciste.
Le Figaro
Guillaume Nicloux met en scène Blanche Gardin et l’écrivain pour une fable pleine d’autodérision sur le devoir de silence. Hilarant.
Le Parisien
Gardin et Houellebecq forment un duo qui n’évolue pas du tout dans la direction que l’on pourrait imaginer. Les deux, jamais avares d’autodérision, franchissent à plusieurs reprises les limites du politiquement correct.
Les Fiches du Cinéma
Après "Thalasso", un troisième épisode houellebecquien plutôt réussi, souvent drôle, qui aborde des questions sérieuses avec un ton léger mais sans complaisance.
Ouest France
Très politique et totalement barrée, cette comédie s'appuie sur deux individualités qui se complètent en réalité à merveille.
Sud Ouest
Guillaume Nicloux clôt une trilogie délirante autour de Michel Houellebecq, avec une comédie décalée et délicieuse qui déjoue tous les codes.
Voici
Un pitch improbable porté par un humour plein de finesse où se déploie le génie burlesque de l'écrivain Droopyesque.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Et si la réalité de Michel Houellebecq se racontait à travers un délire cinématographique, où l'écrivain se retrouve dans une sorte de jeu de rôle improvisé ?
L'Humanité
La farce et le discours politique anticolonial ne cohabitent pas toujours très bien dans ce joyeux bazar, mais le chaos de l’ensemble fascine. Filmé à la manière d’un docufiction un peu branlant, « Dans la peau de Blanche Houellebecq » s’amuse surtout à détruire l’image de son sulfureux duo.
La Voix du Nord
Le cinéaste réussit pourtant à faire de l’écrivain natif de La Réunion le personnage comique le plus improbable qui soit, et surtout lui tend un miroir implacable.
Le Dauphiné Libéré
Guillaume Nicloux, à travers sa trilogie Houellebecq, pleine d’autodérision, paraît approcher la vérité du romancier, silhouette de plus en plus penchée vers la solitude, le désarroi, et l'extrême droite.
Le Journal du Dimanche
C'est souvent drôle, un peu chaotique, surtout d'une remarquable intelligence.
Le Monde
On rêvait un peu que ces deux-là se rencontrent : même dépression dans le regard, même comique indolent. Le rapprochement de ces deux corps suffit à provoquer un comique visuel, l’évidence d’un duo de cinéma étrangement émouvant.
Les Inrockuptibles
Une comédie délirante et très drôle, surtout grâce à Blanche Gardin.
Libération
Une comédie trash, pas assez raide pour totalement convaincre, mais beaucoup plus inspirée qu’elle n’en a l’air, et renouant assez joyeusement avec les sciences oubliées de la voltige sans filet, du lustre crasseux et du carnaval désorganisé.
Paris Match
C’est bien sûr très inégal mais quand le rire du malaise fonctionne, le flegme dépassé de Michel Houellebecq et le punch créole de Blanche Gardin créent un cocktail détonnant, que la mise en scène faussement improvisée rehausse du poivre de la gêne des personnages secondaires.
Première
L’idée est assez géniale pour propulser un film forcément bancal (beaucoup d’impros) mais souvent tordant, où rien n’est tout à fait vrai ni complètement faux.
Télé 2 semaines
[...] le film ne s'embarrasse pas de vraisemblance et ne ressemble pas à grand-chose esthétiquement. Mais il est très drôle !
Télé Loisirs
Attention, comédie complètement absurde.
Télérama
Hybride, foutraque et débridé, Dans la peau de Blanche Houellebecq confirme le talent très spécial de Guillaume Nicloux, franc-tireur, provocateur et expérimentateur, capable de fusionner l’engagement politique avec la dérision la plus forcenée.
Le Point
Dans l'esprit doux dingue de L'Enlèvement de Michel Houellebecq et de Thalasso, avec le duo Houellebecq-Depardieu, Guillaume Nicloux, fidèle à son style débridé, signe un happening délirant dans lequel l'humoriste et l'écrivain se demandent ce qu'ils font là. On rit un peu et on finit par se poser la même question.
Marianne
Au final, ce petit film invertébré confirme involontairement que la rencontre entre Houellebecq et le cinéma n’a pas encore eu lieu.
aVoir-aLire.com
Si l’on comprend la jubilation de Guillaume Nicloux de tourner de nouveau avec Michel Houellebecq dans cette comédie fantasque, on ne rit que moyennement dans un film qui manque de souffle.
Cahiers du Cinéma
Guillaume Nicloux renoue avec la veine fantaisiste de L’Enlèvement de Michel Houllebecq (2014) dans ce mockumentary qui rate de près le virage du brillant pour dégringoler la pente de la dérision et de son corollaire : le vide.