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Corinne76100
50 abonnés
309 critiques
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3,5
Publiée le 3 janvier 2024
Un film un peu facile qui n'évite pas les clichés, mais des situations assez cocasses. Dommage, la bande annonce dévoile encore une fois la quasi totalité des répliques et des scènes qui font mouche.
Quelle déception ! Brouillon, des idées qui ne vont pas au bout, un mélange des genres et une histoire sans histoire. Seule Laure Calamy sauve un peu l'affaire par sa fraicheur. A éviter
Dire que le sujet des sites de rencontres serait surprenant aux utilisateurs d'internet est un peu discordant. Voilà belle lurette que l'usage de ce moyen de sortir de son chez soi est utilisé par grand nombre d'internautes. Ce film date un peu même s'il cerne assez bien les comportements induits par cet outil imprécis. Ainsi s'enchaînent les situations sans vraiment donner tout le ridicule qu'elles peuvent engendrer. Film un peu juste...
Iris et son mari (Laure Calamy et Vincent Elbaz) s’aiment mais ne se touchent plus. La faute au temps qui passe, au désir qui s’évanouit, aux boulots trop prenants, etc… Rien de bien neuf à l’horizon. Mais, heureusement en 2024, il y a les appli. de rencontres. Et Iris va s’y jeter comme on se jette à l’eau. Voilà le point de départ du film de Caroline Vignal, qui se veut une ode à la sensualité, aux rencontres, aux expériences. Cela se met en place sur le ton de la comédie plutôt de bonne manière, mais malheureusement, le film va vite souffrir d’un rythme bancal avec des scènes de rencontres qui s’étirent en longueur et d’autres mieux construite. Ce faux rythme nuit vraiment au film et ce, malgré la prestation sans faille de Laure Calamy. La comédie devient vite platounette, et le versant sensuel plutôt rasoir. Le spectateur qui devrait sortir de la salle avec un grand sourire, n’en sort qu’avec des regrets. Dommage…
Avec la bande annince on a deja vu tout le film. Il y a un manque de scenario et c’est dommage car avec ces acteurs il y avait moyen de faire un bon film.
La sympathique et talentueuse Laure Calamy sauve le film d'un manque évident de rythme, d'une bonne idée sans suite et d'une réalisation pauvrette (un moment musical, que je ne divulgâcherai pas, aurait pu avoir plus de gueule que cette chorégraphie filmée avec distance et que ce son minuscule). Quelques bons moments toutefois.
Gentil film mais… un peu long, On s attend à plus d humour quand on voit la bande annonce. Cela aurait mis plus de rythme ce qui manquait vraiment, et il y avait matière. Mon mari n a pas aimé il avait l impression d être un « voyeur ». L actrice principale est pétillante. Bon pour conclure on aurait su nous ne serions pas aller le voir vu le prix d une place de ciné de nos jours.
Le jeu superbe de Laure Calamy contraste avec le peu de crédibilité du film pour tous les types de scènes. Peu inspirant, peu amusant, et parfois même peu de sensible quant aux émotions exprimées.
D une grande justesse, et du rire Pas de cliché, c est une Iris qui se débat pour retrouver un élan vital, elle essaie, et s aventure, le sexe est a sa place, joyeux, vital, et tendre, Laure calamy éblouissante Vincent Elbaz d une grande justesse dans ce portrait de père comblé qui s est perdu dans sa paternité débordante
Une bonne comédie de mœurs , bien écrite qui prend à rebours le concept classique de l'homme volage et coureur de jupons pour le transposer sur une jeune femme blasée , insatisfaite qui décide de reprendre sa vie affective et sexuelle en main. C'est bien sûr un clin d'œil à l'éternelle question de l'usure du couple , et de la fin du désir sexuel. Beaucoup d'humour , des dialogues très bien écrits , par exemple une très belle allégorie sur la fameuse question du consentement ,comparée à l'appétence pour le thé noir , très drôle et juste , sans être militant .Des situations cocasses dans toutes ces rencontres "one shot" , grâce à une application de rencontres. On trouvera de tout : un jeune romantique transis , un célibataire endurcis mais qui tombe amoureux, un adepte de SM. Et l'héroïne prend beaucoup de plaisir et redécouvre le désir . Le film doit beaucoup à Laure Calamy, excellente , une petite boule d'énergie pleine de charme, pétillante . Vincent Elbaz très bien aussi, dans un rôle plus effacé .
Après un Antoinette dans les Cévennes plutôt pas mal, Caroline Vignal revient avec Iris et les hommes : c'est mauvais !
C'est bien dommage, car il y a un point de départ intéressant à vouloir disséquer les relations de couple actuelles, l'importance de conserver le désir, et traiter l'adultère en comédie via un point de vue féminin.
Mais passées de sympathiques prémices, le tout se plante dans les grandes largeurs en n'assumant jamais totalement son concept, et en ayant le c*l entre deux chaises (à savoir la comédie ou bien une réflexion plus terre à terre de la notion de consentement).
En résulte une comédie rarement drôle, amenuisant son tempo comique de manière régulière au gré des rencontres d'Iris (la réalisatrice n'allant jamais clairement dans une représentation du désir qui plus est, préférant ellipser au possible ou proposer une séquence de comédie musicale approximative intervenant comme un cheveu sur la soupe), tout en concluant son métrage de la manière la plus bateau possible (et difficile de croire au couple formé avec Vincent Elbaz de surcroît).
Reste quand même une Laure Calamy toujours très bonne, qui porte à bout de bras l'ensemble avec énergie.
Iris est une jeune femme qui s’ennuie dans son couple, face à un mari qui ne la regarde plus et qui est plongé dans le travail. Elle découvre les applications de rencontre et décide de tromper son homme avec de multiples compagnons. Toutefois, ses nouvelles activités commencent à impacter son travail et sa famille. En salle le 3 janvier.
spoiler: "Iris et les hommes" est une comédie française sympathique et sans prétention, qui donne le sourire. On retrouve Laure Calamy dans un rôle qui colle bien avec les autres personnages qu’elle a pu jouer par le passé : joyeuse, décalée et qui croque la vie à pleines dents. J’ai aimé la dynamique du couple et la modernité avec laquelle sont traités les désirs d’Iris et de Stéphane, où les excursions sexuelles ne sont pas affichées comme des tromperies (même si elles le sont) mais comme des découvertes de son corps. Iris se retrouve face à des hommes sans jamais ressentir de la peur car ce sont des êtres humains également. Des scènes trop longues par contre.