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Orno13
14 abonnés
635 critiques
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2,5
Publiée le 5 juillet 2024
Petit film d epouvante mettant au prise un couple qui rendent visite au père du mari, qui devront se défendre contre un démon kabbalistique qui désire par-dessus tout l enfant que porte l l'épouse. Un film pas très original, ou l on devine assez finalement quand les jumpscare surgissent. On est jamais surpris, pour un film de ce genre c est assez moyen, dont on s ennuit pas, ça passe mais vite oublié.
vu sur une chaine cinéma il n'y a rien à sauver dans ce film sa seule originalité est de prendre sa source dans la tradition juive et non dans la tradition catholique comme la majorité des films de possession. progression dramatique quasi nulle, scènes horrifiques "même pas peur", réalisation plan plan a fuir
Dans le genre film de démons/possession il faut bien reconnaître que ce n est pas terrible. Il multiplie les Jump Scare grossiers, les facilités et le déjà vue. Mais il a cependant la bonne idée de placer son récit dans la communauté juive New Yorkaise et l instauration d un film de genre dans ce folklore aide à susciter l intérêt pour un film qui serait resté sinon à l état de navet.
L'originalité du film est que cela se déroule dans le milieu juif orthodoxe. Pour le reste, une enfilade de jump scares qui peine à masquer un manque criant d'imagination et de savoir-faire. C'est mal fichu et soporifique.
ncore un film de possession, j'adore ce genre, donc, j'aurais peut-être une indulgence plus accrue que la moyenne, car certes le film ne va pas révolutionner le genre, ais il va le respecter, utiliser quelques jump scare dans un premier temps et puis, passer à la phase fantastico mystique, où l'on se retrouve face à un démon qui réclame sa pitance, en l'occurrence, un enfant. Le récit se passe à New York, mais, principalement dans une maison, où les faux semblant, les hallucinations, viendront ponctuer le récit, quelques bonnes idées viendront enrichir le tout. Alors tout cela reste bien conventionnel, mais, pas désagréable à regarder.
The Offering présente l’intérêt d’inscrire son récit de possession dans le judaïsme, confession rarement investie par le cinéma horrifique sinon par le récent et surestimé The Vigil (Keith Thomas (II), 2018) : l’imagerie chrétienne conventionnelle s’estompe au profit des prières et incantations en hébreu, de pratiques cultuelles liées à une culture singulière dans laquelle s’inscrit un conflit familial traité métaphoriquement par démon interposé. Le drame véritable est moins celui des tourments endurés par une femme enceinte que celui d’une famille endolori par les difficultés que rencontrent un père et son fils à communiquer et à communier dans des valeurs communes qui ne soient pas uniquement religieuses – puisque le fils semble écarté de la foi. Art apparaît d’abord tel le fils prodigue revenu chez lui pour se réconcilier ; il ne tarde pas à dévoiler un visage plus contrasté, fait de zones d’ombre que forment ses erreurs, ses mensonges et son impuissance à réussir professionnellement ainsi éloigné de sa communauté d’appartenance. Le démon Abyzou, ravisseur d’enfants parce que lui-même stérile, commence d’ailleurs à persécuter Claire au moment où s’énumèrent les mystifications et les coups de téléphone reçus en cachette, isolant Art des siens de la même façon que le vieil érudit qui, endeuillé par la disparition de son épouse, s’était tourné vers l’ésotérisme. Nul hasard si notre personnage, après avoir brisé par mégarde l’amulette contenant l’esprit néfaste, la cache sous une grille d’évacuation sans en avertir qui que ce soit. Il décide mal parce qu’il décide seul. The Offering capte très bien, pendant ses quarante-cinq premières minutes, la perpétuation du Mal causée par le silence, l’isolement et la duplicité au sein d’un foyer qui exige, au contraire, la parole, le partage et l’honnêteté. La suite tombe malheureusement dans les clichés du genre sans essayer de les réinventer : l’horreur rend prévisible un récit que l’on aurait aimé plus ambitieux dans la résolution de son intrigue. Reste la partition musicale de Christopher Young, magistrale comme toujours.
Bon catastrophique je laisse un avis assez mitige sur le film car malgré un scénario vraiment nul limité à en mourrir d'ennuie la fin reste assez surprenante le seul bon point du film d'ailleurs Je déconseille de perdre du temps pour un film aussi mauvais passez votre chemin et rédigé vous vers des films comme Hérédité ou encore Conjuring pour les amateurs de spectacle
Film fantastique, légèrement horrifique assez ennuyeux la première heure et puis une miette plus intéressant les 30 dernières minutes. On a fait nettement mieux dans le genre, notamment certains films de James Wan. Ce film m'a fait penser à un avion sur une piste de décollage qui roule, roule, roule ... et ne décolle pas. Ce n'est définitivement pas grandiose.
Vu L'emprise du Démon mon Dieu qu'es que c'est mauvais sa reprend tout les codes du genre mais sans génie, en plus on comprend rien à cette histoire qui ne convainc guère. Un Film raté vraiment hors sujet dommage ⭐️
La plupart des films d'horreur qu'on nous livre sont basés sur des légendes du folklore, des croyances religieuses, beaucoup issu du catholicisme. L'emprise du démon a ce mérite de proposer quelque chose de moins courant, un démon issu du judaïsme. Connaissant peu cette culture, le film intéresse autant qu'il a du mal à captiver. Il traîne en longueur, à vraiment du mal à se lancer. La mise en scène est correcte, mais tourne en boucle. L'esprit maléfique, sa représentation, est efficace, mais les protagonistes eux sont loin d'être des flèches. Bref, un film constamment en demi-teinte, pas si mauvais, mais pas vraiment bon, il s'évaporera rapidement de nos mémoires.
Film pas très convainquant où on attend en vain quelque chose qui ne vient pas.
Le problème des films de possessions c'est que c'est un peu tout le temps la même chose. Le truc qui changeait ici c'est qu'on était côté juif plutôt que catholique. Alors même si le sujet a déjà été traité c'est toujours moins que celui catholique donc je me suis dit pourquoi pas.
Au final ça n'apporte rien de plus, si on change le nom du démon et qu'on habille l'acteur en prêtre catholique ça revient au même
Jetais partie pour voir un navet mais finalmeent j'étais plus frustrée qu'autre chose, pourquoi ? Parce que l'idée de base du film était bonne, mais ils ne sont pas allés au bout des choses. Honnêtement netflix ou autres plateformes auraient produit ce film en mini série de 6/8 épisodes avec une bonne description des rôles de chacun dans communauté afin de s'attacher plus aux personnages ça aurait été super ! Ils nous vendent un démon "tueur d'enfants" mais il ne tue aucun enfant, c'est dommage (pas que je veuille voire des enfants mourir mais quand on sort un film sur un cannibale, bah il mange des gens) alors que la scène finale spoiler: quand le démon gagne et bouffe la dame enceinte, mais il aurait dû lui extraire l'enfant et le tuer devant la mère, la oui c'est une super bad ending avec un démon tueur d'enfant, la oui !
Vraiment dommage que ce film n'ait pas été exploité entièrement car ça aurai donné quelque chose de vraiment bon entre de bonnes mains !