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Votre avis sur L'Emprise du démon ?
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Un film très noir tant dans son histoire que dans son atmosphère , ses couleurs , ses décors
Contrairement à la majorité des films portant sur les esprits maléfiques ce n'est la religion chrétienne mais juive qui est ciblée
Contrairement à la majorité des films portant sur les esprits maléfiques ce n'est la religion chrétienne mais juive qui est ciblée
ncore un film de possession, j'adore ce genre, donc, j'aurais peut-être une indulgence plus accrue que la moyenne, car certes le film ne va pas révolutionner le genre, ais il va le respecter, utiliser quelques jump scare dans un premier temps et puis, passer à la phase fantastico mystique, où l'on se retrouve face à un démon qui réclame sa pitance, en l'occurrence, un enfant.
Le récit se passe à New York, mais, principalement dans une maison, où les faux semblant, les hallucinations, viendront ponctuer le récit, quelques bonnes idées viendront enrichir le tout.
Alors tout cela reste bien conventionnel, mais, pas désagréable à regarder.
Le récit se passe à New York, mais, principalement dans une maison, où les faux semblant, les hallucinations, viendront ponctuer le récit, quelques bonnes idées viendront enrichir le tout.
Alors tout cela reste bien conventionnel, mais, pas désagréable à regarder.
Frédéric M.
Acteurs à peine convaincants et attachants, une histoire qui traine et ne surprend pas mais surtout n'effraie pas ! Reste l'affichage trop prometteuse. Dispensable
Bon un immeuble vieillot qui sert de lieu de vie et de chambre funéraire et en sous sol une bonne vieille chambre froide...rajouté une femme enceinte + un démon qui s'enfuit de sa prison et vous avez un petit classique de l'horreur. Il n'y a guère de surprise mais cet environnement malsain fait son petit effet par période. Cela reste par moment plus que simpliste tout de même. C'est moyen mais sympa...
La petite tension qui survient apporte rien mais cela rajoute des minutes au film mais c'est tout. Après on se demande si ce film fait partie de ceux qui finissent bien ou ceux qui au contraire termine en eau de boudin!!! Hum je ne dirais rien et oui vous verrez ou pas!
NOTE : 5/10
La petite tension qui survient apporte rien mais cela rajoute des minutes au film mais c'est tout. Après on se demande si ce film fait partie de ceux qui finissent bien ou ceux qui au contraire termine en eau de boudin!!! Hum je ne dirais rien et oui vous verrez ou pas!
NOTE : 5/10
Vu L'emprise du Démon mon Dieu qu'es que c'est mauvais sa reprend tout les codes du genre mais sans génie, en plus on comprend rien à cette histoire qui ne convainc guère. Un Film raté vraiment hors sujet dommage ⭐️
Fêtons le cinéma
The Offering présente l’intérêt d’inscrire son récit de possession dans le judaïsme, confession rarement investie par le cinéma horrifique sinon par le récent et surestimé The Vigil (Keith Thomas (II), 2018) : l’imagerie chrétienne conventionnelle s’estompe au profit des prières et incantations en hébreu, de pratiques cultuelles liées à une culture singulière dans laquelle s’inscrit un conflit familial traité métaphoriquement par démon interposé. Le drame véritable est moins celui des tourments endurés par une femme enceinte que celui d’une famille endolori par les difficultés que rencontrent un père et son fils à communiquer et à communier dans des valeurs communes qui ne soient pas uniquement religieuses – puisque le fils semble écarté de la foi.
Art apparaît d’abord tel le fils prodigue revenu chez lui pour se réconcilier ; il ne tarde pas à dévoiler un visage plus contrasté, fait de zones d’ombre que forment ses erreurs, ses mensonges et son impuissance à réussir professionnellement ainsi éloigné de sa communauté d’appartenance. Le démon Abyzou, ravisseur d’enfants parce que lui-même stérile, commence d’ailleurs à persécuter Claire au moment où s’énumèrent les mystifications et les coups de téléphone reçus en cachette, isolant Art des siens de la même façon que le vieil érudit qui, endeuillé par la disparition de son épouse, s’était tourné vers l’ésotérisme. Nul hasard si notre personnage, après avoir brisé par mégarde l’amulette contenant l’esprit néfaste, la cache sous une grille d’évacuation sans en avertir qui que ce soit. Il décide mal parce qu’il décide seul.
The Offering capte très bien, pendant ses quarante-cinq premières minutes, la perpétuation du Mal causée par le silence, l’isolement et la duplicité au sein d’un foyer qui exige, au contraire, la parole, le partage et l’honnêteté. La suite tombe malheureusement dans les clichés du genre sans essayer de les réinventer : l’horreur rend prévisible un récit que l’on aurait aimé plus ambitieux dans la résolution de son intrigue. Reste la partition musicale de Christopher Young, magistrale comme toujours.
Art apparaît d’abord tel le fils prodigue revenu chez lui pour se réconcilier ; il ne tarde pas à dévoiler un visage plus contrasté, fait de zones d’ombre que forment ses erreurs, ses mensonges et son impuissance à réussir professionnellement ainsi éloigné de sa communauté d’appartenance. Le démon Abyzou, ravisseur d’enfants parce que lui-même stérile, commence d’ailleurs à persécuter Claire au moment où s’énumèrent les mystifications et les coups de téléphone reçus en cachette, isolant Art des siens de la même façon que le vieil érudit qui, endeuillé par la disparition de son épouse, s’était tourné vers l’ésotérisme. Nul hasard si notre personnage, après avoir brisé par mégarde l’amulette contenant l’esprit néfaste, la cache sous une grille d’évacuation sans en avertir qui que ce soit. Il décide mal parce qu’il décide seul.
The Offering capte très bien, pendant ses quarante-cinq premières minutes, la perpétuation du Mal causée par le silence, l’isolement et la duplicité au sein d’un foyer qui exige, au contraire, la parole, le partage et l’honnêteté. La suite tombe malheureusement dans les clichés du genre sans essayer de les réinventer : l’horreur rend prévisible un récit que l’on aurait aimé plus ambitieux dans la résolution de son intrigue. Reste la partition musicale de Christopher Young, magistrale comme toujours.
Un film sans intérêt. Un film d'horreur dans la communauté juive aurait pu être intéressant (même si on a déjà vu ça) mais ici il y a trop de défauts : le film est long, les acteurs sans charisme, la réalisation plate. Même sur une plateforme ça ne serait pas un succès.
Moyen voir pas terrible... Beaucoup de pathos mélodramatiques pour rien au début jusqu'à ce que le film se révèle enfin dans sa dernière demi heure... Trop tard car j'étais déjà dans un état de somnolence très avancé... Pourtant le film avait de quoi susciter ma curiosité... Le côté pompe funèbre sous la maison... Le côté religion juive comme prétexte à l apparition d'une nouvelle entité démoniaque... Que nenni... Le film est bien trop classique dans sa narration et sans réelle surprise abusant de mauvais jumpscares pour susciter la peur... La fin est assez expéditive... Bref c'est pas génial... Si vous voulez voir un film d'horreur sympa avec la religion juive il y a The Vigil...
Petit film d epouvante mettant au prise un couple qui rendent visite au père du mari, qui devront se défendre contre un démon kabbalistique qui désire par-dessus tout l enfant que porte l l'épouse.
Un film pas très original, ou l on devine assez finalement quand les jumpscare surgissent.
On est jamais surpris, pour un film de ce genre c est assez moyen, dont on s ennuit pas, ça passe mais vite oublié.
Un film pas très original, ou l on devine assez finalement quand les jumpscare surgissent.
On est jamais surpris, pour un film de ce genre c est assez moyen, dont on s ennuit pas, ça passe mais vite oublié.
Film pas très convainquant où on attend en vain quelque chose qui ne vient pas.
Le problème des films de possessions c'est que c'est un peu tout le temps la même chose. Le truc qui changeait ici c'est qu'on était côté juif plutôt que catholique. Alors même si le sujet a déjà été traité c'est toujours moins que celui catholique donc je me suis dit pourquoi pas.
Au final ça n'apporte rien de plus, si on change le nom du démon et qu'on habille l'acteur en prêtre catholique ça revient au même
Le problème des films de possessions c'est que c'est un peu tout le temps la même chose. Le truc qui changeait ici c'est qu'on était côté juif plutôt que catholique. Alors même si le sujet a déjà été traité c'est toujours moins que celui catholique donc je me suis dit pourquoi pas.
Au final ça n'apporte rien de plus, si on change le nom du démon et qu'on habille l'acteur en prêtre catholique ça revient au même
Screamer, sons stridents, histoire nulle... Je ne comprends pas comment on peut encore sortir ce genre de film.
Une sortie d'un film d'horreur épouvante est assez rare pour donner envie d' essayer. Ici quelle erreur. Le scénario qui se veut mystique est perclus de cliché, les acteurs sont caricaturaux et pathétiques quand on leur demande de jouer les possédés ou les apeurés. le dénouement final propose une légère surprise mais pas de quoi sibir une heure trente d' un film où les musiques indiquent quand avoir peur. peur qui ne vient jamais tant on attend les appritions épouvantables. Bref ne pas y perdre son temps et argent.
Film fantastique, légèrement horrifique assez ennuyeux la première heure et puis une miette plus intéressant les 30 dernières minutes. On a fait nettement mieux dans le genre, notamment certains films de James Wan. Ce film m'a fait penser à un avion sur une piste de décollage qui roule, roule, roule ... et ne décolle pas. Ce n'est définitivement pas grandiose.
Bon bon bon .... le décor est l'ambiance est super sympathique ! Après l'histoire, les scènes de frayeurs sont pas terribles ! La fin est à revoir !
Un très mauvais film d'horreur trop laborieux et très mal scénarisé avec une mise en scène catastrophique.
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