AlloCiné
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Votre avis sur Les Bleus ?
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Le film est tellement mauvais, que je me permet de faire une critique pendant le visionage de ce dernier, je met 1 étoile quand même parce que je suis un mec plutôt sympa de base mais la ya rien qui va les blagues, le scénario, etc... Breff fuyez
Prenez littéralement Peter Venkman, ainsi qu'une version de Egon Spengler sans manche à balai dans le fondement. Mettez les dans un hybride de Police Academy et Les Bidasses En folie. Et rajoutez une petite poignée de La Septième Compagnie et de Supercopter( à roulette). Et vous obtenez un modeste divertissement puéril et sympathique. ça ne vole pas bien haut. Mais la subtilité n'en a jamais été le but. La bonne époque où on savait encore faire de vrai comédie potache et satyrique, qui soient à la fois marrante et sans prétention. Parfaitement léger, fantaisiste et polisson. Un petit film stupide et futile, qui tient avec brio, toutes les promesses de détentes débile vendu par le trailer. Et ce genre d’honnêteté est si rare de nos jours, que ça mériterait presque une étoile supplémentaire à la notation. Ce film de vieux resté jeune dans sa tête, n'est évidement pas pour tout le monde. Inapte au 36ième degrés, féministe à fleur de peau, et insensible à l'humour de boomer parfumé à la bière bon marché, passez votre chemin. Pour tous les autres, plus tolérant et moins exigeant, vous avez de bonnes chances de passer un bon moment. Mon seul regret, c'est qu'il soit finalement assez convenu. A mon gout, Il ne pousse pas assez dans l'outrance, les potards de la dinguerie débridé. Dernière chose. Faite moi plaisir. Regardez donc ce film en VOSTFR, pour vraiment comprendre ce qui fait que Stripes, demeure encore aujourd'hui aux USA, un authentique classique indéboulonnable de la rigolade facile, grasse et décomplexé, dont la saveur vintage est toujours aussi populaire.
this is my movies
I. Reitman avait déjà travaillé avec B. Murray et H. Ramis avant "SOS Fantômes", et c'était donc pour ce film, qui s'inscrit dans le même délire que "American College" ou bien "Police Academy", à savoir une bande de losers et d'asociaux qui vont mettre le boxon au sein d'un cadre strict et policé. Pensé comme une critique de l'Armée US, le film aura tout de même bénéficié du support de cette dernière, à la grande surprise de Reitman, et la liste d'engagés fera un bond de 10% suite à la sortie du film. Il faut dire que le ton parodique et bouffon ne fonctionne pas toujours bien, surtout que B. Murray est confronté à un W. Oates impeccable et implacable en sergent instructeur. En fait, la critique réside plus dans la représentation du capitaine de la base, impeccable J. Laroquette, et ça donne lieu à quelques séquences jouissives, avec de bons gags. Mais voilà, le film s'enlise et perd son rythme (j'ai vu la version étendue de 2 heures je précise), tandis que le final vire au cocardier pur et simple, avec les exploits de nos bidasses en vadrouille. Alors oui, B. Murray est excellent, son duo avec Ramis est très bon également, mais ça ne fonctionne qu'à moitié sur la durée du film, et ça reste assez sage. Bien, mais sans plus et pas aussi immortel qu'on veut le faire croire. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
Un très bon film d'Ivan Reitman. Une très bonne comédie hilarante avec Bill Murray et Harold Ramis. Drôle , marrant.
"Les Bleus" est une comédie sur l'armée qui ne sort pas vraiment du lot. Il est compliqué de dire que je ne l'ai pas aimé quand j'ai ri de bon coeur à plusieurs reprises. Je serai donc tenté, dans un premier temps, de lui mettre un peu plus que la moyenne.
Malheureusement, il souffre de certaines longueurs et d'un scénario pas ouf. Du coup, même s'il est parfois drôle et qu'il bénéficie du capital sympathie de Bill Murray, de Harold Ramis et de John Candy (mais si, le flic obèse dans "Blues Brothers" et l'entraîneur dans "Rasta Rocket"), le film ne marquera probablement pas les esprits.
Sympa pour passer un moment sans prise de tête.
Malheureusement, il souffre de certaines longueurs et d'un scénario pas ouf. Du coup, même s'il est parfois drôle et qu'il bénéficie du capital sympathie de Bill Murray, de Harold Ramis et de John Candy (mais si, le flic obèse dans "Blues Brothers" et l'entraîneur dans "Rasta Rocket"), le film ne marquera probablement pas les esprits.
Sympa pour passer un moment sans prise de tête.
J'avoue, le seul intérêt pour moi de découvrir ce film était la présence de Bill Murray. J'ai été d'autant plus emballée en voyant Harold Ramis et John Candy. Dans ce film on suit John, un homme paresseux qui a tendance à s'arrêter à la moindre contrariété. Un soir il se lance un défis, entrée dans l'armée, sans vraiment en mesurer les conséquences. John n'a pas du tout les valeurs de l'armée, irrespectueux, dragueur, il va toutefois conduire sa troupe à la victoire, et ce n'était pourtant pas gagné... Un film sans grande prétention, qui reprend les codes du genre et du milieu. On passe un bon moment en leur compagnie et on se demande jusqu'où John et Russell vont aller...
Frédéric M.
Malgré un casting séduisant (Reitman, Murray, Ramis), on pense à Ghostbusters qui avait de l'humour à revendre dans cette histoire fantastique. Mais c'est à peine drole ! J'ai bien plus rire aux Bidasses en folie avec les Charlots que ce film. Film dispensable...
Bill Murray est un acteur appréciable lorsqu'il est utilisé à bon escient et lorsqu'on ne lui lâche pas la bride ; dans le cas contraire, le bestiau rue dans tous les sens et fait n'importe quoi : on est alors obligé de le piquer. Rares sont ceux ou celles qui réussissent à contrôler le célèbre clown. Notez néanmoins qu'il peut l'être (controlâble ou exploitable) a contrario d'un Jim Carrey, totalement irrécupérable.
Bien entendu et l'on s'en doute sans peine, Bill fait l'idiot dans cette bidasserie de débiles profonds qui n'a rien à envier à nos Charlots nationaux mongolos (France-USA : 1 partout). On a donc là une pantalonnade poussive d'une stupidité qui dépasse l'entendement et désole considérablement, une infamie sans nom que nous ne nommerons même pas, de crainte de nous salir.
Bien entendu et l'on s'en doute sans peine, Bill fait l'idiot dans cette bidasserie de débiles profonds qui n'a rien à envier à nos Charlots nationaux mongolos (France-USA : 1 partout). On a donc là une pantalonnade poussive d'une stupidité qui dépasse l'entendement et désole considérablement, une infamie sans nom que nous ne nommerons même pas, de crainte de nous salir.
Les bidasses version américaine, avec un peu plus de qualité, un bon petit film d'aventure, de bons acteurs, c'est un peu potache, mais quand même drôle. un divertissement sympathique.
Quand j’avais commencé à écrire des critiques pour le net, cela se résumait à un simple paragraphe qui survolait au possible le film analysé. Puis, depuis que je me suis attaqué au film d’animation Les Indestructibles (le 12 août 2012), le petit avis a évolué en véritable plaidoyer (sans vouloir avoir la grosse tête) pouvant parfois atteindre une taille que je ne pensais jamais atteindre (dépasser les 8 000 caractères sur Word). Si je vous raconte ma vie, c’est juste pour vous prévenir que la critique des Bleus sera un véritable retour en arrière, étant donné que je n’ai quasiment pas grand-chose à dire de ce long-métrage certes sympathique dans l’ensemble mais au combien anecdotique.
Rien que pour présenter le projet, cela va être rapide à faire. Les Bleus est le pré-Ghostbusters pour le trio Ivan Reitman/Bill Murray/Harold Ramis (Dan Aykroyd ne faisant pas encore partie de l’équipe) qui ont voulu se faire un petit délire entre potes, en faisant une série de sketchs prenant place dans une caserne militaire. Bref, une sorte de Bidasses en folie made in USA en un peu plus « trash » (on a droit à quelques allusions sexuelles) qui ne se prend nullement au sérieux au point de ne pas avoir de véritable film scénaristique si ce n’est le synopsis de base. Pas besoin de mise en scène sophistiquée, d’envolées au niveau du montage ou bien d’effets spéciaux grandioses car ce n’est clairement pas le principal intérêt d’un tel projet. Juste un plaisir de ses instigateurs qu’ils veulent partager au public. Parfois, cela fait rire aux larmes. Sinon, cela fait pitié (n’ayons pas peur des mots !). Dans quelle catégorie se place donc Les Bleus ? Tout simplement au milieu de tout cela.
Et c’est là le gros problème de ce film. D’une part, il parviendra à provoquer l’hilarité chez le spectateur en proposant des gags potaches pour amuser la galerie qui font mouche. En même temps, se moquer de l’armée à toujours fait son petit effet, spoiler: surtout quand on reprend presque la mythique scène des dortoirs de Full Metal Jacket ou encore quand on livre des soldats manœuvrant de manière bien délirante, avec au passage « Vous, les copains, je ne vous oublierai jamais
». Sans compter que les comédiens s’en donnent à cœur joie et cela fait plaisir à voir. Mais de l’autre, à ne pas avoir de fil conducteur plausible, le long-métrage finit par tourner en rond au point de balancer au public des séquences n’ayant plus rien à voir avec le reste ( spoiler: les guérilleros, le bar avec le combat dans la boue, le final en Europe…
), perdant en efficacité comique et brisant le rythme de l’ensemble. Si cela ne concernait que quelques minutes du film, on pourrait faire l’impasse dessus. Mais là, vu que ça touche une bonne moitié du long-métrage, cela en devient pompeux et ennuyeux.
Voilà ce qu’il faut retenir des Bleus : une petite comédie américaine sans prétention qui arrive à faire rire autant qu’elle ennuie. Sympathique sur le moment, vous passerez aussitôt à autre chose après son visionnage. Une conclusion courte et directe pour cette critique, j’en conviens, mais vu ce que je disais dans le premier paragraphe, Les Bleus n’est pas assez riche pour que l’on prenne la peine de s’attarder dessus.
Rien que pour présenter le projet, cela va être rapide à faire. Les Bleus est le pré-Ghostbusters pour le trio Ivan Reitman/Bill Murray/Harold Ramis (Dan Aykroyd ne faisant pas encore partie de l’équipe) qui ont voulu se faire un petit délire entre potes, en faisant une série de sketchs prenant place dans une caserne militaire. Bref, une sorte de Bidasses en folie made in USA en un peu plus « trash » (on a droit à quelques allusions sexuelles) qui ne se prend nullement au sérieux au point de ne pas avoir de véritable film scénaristique si ce n’est le synopsis de base. Pas besoin de mise en scène sophistiquée, d’envolées au niveau du montage ou bien d’effets spéciaux grandioses car ce n’est clairement pas le principal intérêt d’un tel projet. Juste un plaisir de ses instigateurs qu’ils veulent partager au public. Parfois, cela fait rire aux larmes. Sinon, cela fait pitié (n’ayons pas peur des mots !). Dans quelle catégorie se place donc Les Bleus ? Tout simplement au milieu de tout cela.
Et c’est là le gros problème de ce film. D’une part, il parviendra à provoquer l’hilarité chez le spectateur en proposant des gags potaches pour amuser la galerie qui font mouche. En même temps, se moquer de l’armée à toujours fait son petit effet, spoiler: surtout quand on reprend presque la mythique scène des dortoirs de Full Metal Jacket ou encore quand on livre des soldats manœuvrant de manière bien délirante, avec au passage « Vous, les copains, je ne vous oublierai jamais
». Sans compter que les comédiens s’en donnent à cœur joie et cela fait plaisir à voir. Mais de l’autre, à ne pas avoir de fil conducteur plausible, le long-métrage finit par tourner en rond au point de balancer au public des séquences n’ayant plus rien à voir avec le reste ( spoiler: les guérilleros, le bar avec le combat dans la boue, le final en Europe…
), perdant en efficacité comique et brisant le rythme de l’ensemble. Si cela ne concernait que quelques minutes du film, on pourrait faire l’impasse dessus. Mais là, vu que ça touche une bonne moitié du long-métrage, cela en devient pompeux et ennuyeux.
Voilà ce qu’il faut retenir des Bleus : une petite comédie américaine sans prétention qui arrive à faire rire autant qu’elle ennuie. Sympathique sur le moment, vous passerez aussitôt à autre chose après son visionnage. Une conclusion courte et directe pour cette critique, j’en conviens, mais vu ce que je disais dans le premier paragraphe, Les Bleus n’est pas assez riche pour que l’on prenne la peine de s’attarder dessus.
Toute mon enfance, film cultissime absolu ! A voir et à revoir on passe un super moment !
AMCHI
Le casting est sympa surtout pour la présence de Bill Murray ou encore pour Warren Oates en sergent instructeur mais Les Bleus déçoit pas la faiblesse de ses gags en fait c'est seulement à partir du moment ou notre bleusaille arrive en Europe que cette comédie s'avère plaisante à regarder (mais ça ne représente que 25 minutes du film).
Complètement gnangnan, proche du ridicule. Peut distraire les 12-14 ans un après-midi pluvieux.
Un bon casting, quelques bonnes idées, un final détonnant mais peu de rythme, peu de bons gags, une histoire trop farfelue et sans véritable fil rouge. On s'ennuie un peu, on lâche prise à plusieurs moments. Dommage !!
il faut savoir que le film d'Ivan Reitman a bènèficiè de l'aide de l'armèe amèricaine à la grande surprise du cinèaste de "Ghostbusters" qui s'attendait à un refus après leur avoir fait parvenir le scènario! On peut dire que l'humour de collègien qui traverse "Les Blues" dresse un portrait peu glorieux de l'institution! Mais ce qui a s'en doute jouè en faveur de Reitman, c'est le succès colossal remportè avec "American College" et d'"Arrête de ramer, t'es sur le sable" avec Bill Murray (jamais aussi bon quand il improvise) qu'on retrouve ici avec un certain Harold Ramis qui le dirigera plus tard dans le cultissime "Groundhog Day". Murray interprète un personnage au bord du gouffre qui a perdu en une journèe son travail, son appart', sa petite amie et sa voiture - et plutôt que de se tirer une balle dans le pied - il persuade son meilleur ami de le rejoindre sous les drapeaux à une èpoque où l'armèe n'est plus constituèe d'appelès mais d'engagès! A leurs côtès, on retrouve le meilleur du gratin des annèes 80 avec le regrettè John Candy, la sublime Sean Young et le rôle du capitaine totalement dèjantè est tenu par John Larroquette! "Les Bleus" est un succès et ceux qui l'ont vu à sa sortie en 1981 garderont un souvenir nostalgique qui possède les ingrèdients habituels à ce genre d'intrigue conventionnelle mais distrayante...
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