Avant que les flammes ne s’éteignent : Critique presse
Avant que les flammes ne s’éteignent
Note moyenne
3,0
18 titres de presse
20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
Franceinfo Culture
L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
Positif
L'Obs
La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
Télérama
aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
Le Monde
Le Parisien
Libération
Première
Ouest France
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un long métrage puissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce drame délicat à la mise en scène maîtrisée évite tout manichéisme, tout schématisme, tout esprit revanchard. Il n’accuse ni ne victimise personne. Il se tient droit sur sa ligne : la dignité et le juste.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans la tension du film, des scènes calmes se détachent, comme cette chanson d’Idir, reprise par Malika et ses frères dans une voiture à l’arrêt.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Le film prend aux tripes parce qu'il met en images le drame de toutes ces vies perdues à cause du délit de faciès.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par La Rédaction
Un premier film poignant et brûlant d’actualité.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Autour de Camélia Jordana, Mehdi Fikri a recomposé pour le cinéma une famille attachante, débordant d’amour : Sofiane Zermani et la débutante Sonia Faidi sont formidables et à chaque instant bouleversants.
Positif
par Jacqueline Nacache
II est rare que, dans un film social en phase avec une actualité brûlante, se développe une figure universelle de femme héroïque, de plus en plus seule, de plus en plus dure.
L'Obs
par François Forestier
Camélia Jordana, dans le rôle principal, incarne avec feu la colère d’une génération et, tourné dans la banlieue de Strasbourg, le film a une vérité dramatique. C’est le premier long-métrage de Fikri : très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film à la fois politique et intime, porté par Camélia Jordana, pas sans défaut mais empathique et attachant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Mehdi Fikri dresse un tableau percutant d’un sujet d’actualité, mêlant émotion et tension, malgré un discours parfois simpliste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Guillemette Odicino
Un drame social vibrant et nuancé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En dépit d’une mise en scène un peu classique, Avant que les flammes ne s’éteignent est un film révolté et politique estimable, au service de la lutte contre les discriminations.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par François Armand
Au final, si grand est le mérite de ce film d’exister, il oublie le pouvoir de la fiction. Le danger devient donc de ne s’adresser qu’à un public informé et convaincu, en oubliant l’immense masse de nos concitoyens qui se réjouissent plus ou moins secrètement à chaque fois qu’un jeune délinquant est abattu par les forces de l’ordre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par J. Ma.
Le film, sans doute obligé par son sujet, est toutefois bien trop illustratif pour faire bouger les lignes esthétiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Le film, en forme de dénonciation, prend nettement le parti de la famille de la victime d’une supposée bavure contre tous les autres intervenants : policiers, pouvoirs politiques, journalistes… Soit, sauf que le long métrage ne trouve rien à redire aux violences urbaines qui s’ensuivent.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Laura Tuillier
En se centrant sur des questions d’ordre psychologique avant tout (comment la famille va réagir à la détermination de Malika ? N’a-t-elle pas failli à son rôle de sœur en ostracisant son petit frère ?), "Avant que les flammes ne s’éteignent" ne s’aventure pas du côté politique de la rive, et échoue à dévoiler les logiques de ce qui fait système.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
Si l’investissement du casting rend la tragédie palpable, le scénario s’enferme souvent dans un didactisme qui empêche les personnages d’exister pleinement. Et le générique final, qui relie entre elles différentes affaires de meurtres et de bavures, cède à la confusion en préférant la généralisation à la précision.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
par La Rédaction
Rivé à son scénario scolaire et manichéen, le réalisateur finit par nous perdre.
20 Minutes
Un long métrage puissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce drame délicat à la mise en scène maîtrisée évite tout manichéisme, tout schématisme, tout esprit revanchard. Il n’accuse ni ne victimise personne. Il se tient droit sur sa ligne : la dignité et le juste.
Femme Actuelle
Dans la tension du film, des scènes calmes se détachent, comme cette chanson d’Idir, reprise par Malika et ses frères dans une voiture à l’arrêt.
Franceinfo Culture
Le film prend aux tripes parce qu'il met en images le drame de toutes ces vies perdues à cause du délit de faciès.
L'Humanité
Un premier film poignant et brûlant d’actualité.
Le Dauphiné Libéré
Autour de Camélia Jordana, Mehdi Fikri a recomposé pour le cinéma une famille attachante, débordant d’amour : Sofiane Zermani et la débutante Sonia Faidi sont formidables et à chaque instant bouleversants.
Positif
II est rare que, dans un film social en phase avec une actualité brûlante, se développe une figure universelle de femme héroïque, de plus en plus seule, de plus en plus dure.
L'Obs
Camélia Jordana, dans le rôle principal, incarne avec feu la colère d’une génération et, tourné dans la banlieue de Strasbourg, le film a une vérité dramatique. C’est le premier long-métrage de Fikri : très prometteur.
La Voix du Nord
Un film à la fois politique et intime, porté par Camélia Jordana, pas sans défaut mais empathique et attachant.
Les Fiches du Cinéma
Mehdi Fikri dresse un tableau percutant d’un sujet d’actualité, mêlant émotion et tension, malgré un discours parfois simpliste.
Télérama
Un drame social vibrant et nuancé.
aVoir-aLire.com
En dépit d’une mise en scène un peu classique, Avant que les flammes ne s’éteignent est un film révolté et politique estimable, au service de la lutte contre les discriminations.
Culturopoing.com
Au final, si grand est le mérite de ce film d’exister, il oublie le pouvoir de la fiction. Le danger devient donc de ne s’adresser qu’à un public informé et convaincu, en oubliant l’immense masse de nos concitoyens qui se réjouissent plus ou moins secrètement à chaque fois qu’un jeune délinquant est abattu par les forces de l’ordre.
Le Monde
Le film, sans doute obligé par son sujet, est toutefois bien trop illustratif pour faire bouger les lignes esthétiques.
Le Parisien
Le film, en forme de dénonciation, prend nettement le parti de la famille de la victime d’une supposée bavure contre tous les autres intervenants : policiers, pouvoirs politiques, journalistes… Soit, sauf que le long métrage ne trouve rien à redire aux violences urbaines qui s’ensuivent.
Libération
En se centrant sur des questions d’ordre psychologique avant tout (comment la famille va réagir à la détermination de Malika ? N’a-t-elle pas failli à son rôle de sœur en ostracisant son petit frère ?), "Avant que les flammes ne s’éteignent" ne s’aventure pas du côté politique de la rive, et échoue à dévoiler les logiques de ce qui fait système.
Première
Si l’investissement du casting rend la tragédie palpable, le scénario s’enferme souvent dans un didactisme qui empêche les personnages d’exister pleinement. Et le générique final, qui relie entre elles différentes affaires de meurtres et de bavures, cède à la confusion en préférant la généralisation à la précision.
Ouest France
Rivé à son scénario scolaire et manichéen, le réalisateur finit par nous perdre.