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Addyct-26
206 abonnés
723 critiques
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4,0
Publiée le 19 septembre 2009
Gallipoli (1982) est un des films les plus méconnu de la filmographie de Peter Weir. (Le Cercle des poètes disparus & The Truman Show entre autres) Pour ce film sur les horreurs de la premiere guerre mondiale, Peter Weir s'est entouré de Mark Lee et Mel Gibson, pour les acteurs principaux. Deux très bons acteurs, il est dailleurs dommage que Mark Lee, n'est pas fait grand chose (presque rien même) après avoir tourné dans Gallipoli. Il avait le talent qu'il fallait pour devenir un très grand acteur, c'est donc bien dommage. C'est déja une des premières raisons pour laquel il faut regarder ce film, pour Mark Lee. Ce film de guerre, ultra réaliste, est magnifique bien que triste au final. Cette histoire d'amitié entre ces deux australiens qui décident d'aller combattre au front est somptueuse, belle histoire émouvante, qui nous laisse au final sans voix. Film de qualité, à voir !
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18 103 critiques
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4,0
Publiée le 22 avril 2021
Quelle part du succès Mel Gibson en tant que réalisateur doit-il à Peter Weir. Il a dû avoir une expérience merveilleuse en travaillant avec lui sur ce film. C'est la représentation parfaite des innocents à la guerre de jeunes soldats qui ne savaient pas à quel point le monde et leurs officiers pouvait être cruel. A-t-on jamais vu une meilleure représentation de ces personnages australien sur un écran je ne le pense pas. Le très jeune et beau Mel Gibson à la voix australienne est très convaincant tout comme l'ensemble des acteurs. Peter Weir a réalisé un film déchirant qui se termine par un moment dont on ne peut se débarrasser. Gallipoli est un grand film et il est très émouvant...
Et encore un quasi chef d'oeuvre du grand peter weir ! Sous éstimé au possible , il est pourtant un remarquable réalisateur . Et ce n'est pas ce film magnifique ( qui a longtemps été le projet le plus onéreux du cinéma australien) qui viendra ternir sa filmo franchement exemplaire.
Gallipoli est avant tout une histoire d'amitié entre deux hommes. Deux hommes que tout paraissait opposer (caractère, éducation, patriotisme), mais qui vont se trouver liés par la guerre. Mel Gibson est remarquable, et laissait déjà entrevoir de sérieuses qualités et un certain charisme. La fin est à couper le souffle. Il manque cependant à ce film un certain rythme.
Si Gallipoli enfonce des portes ouvertes en ajoutant une dénonciation de plus des absurdités de la guerre au long cortège des œuvres de ce type produites dans les années 70-80, il a le mérite de s’intéresser à un épisode longtemps ignoré des livres d’histoire, à savoir l’implication des troupes australiennes contre la Turquie lors de la Première Guerre mondiale. Le réalisateur profite de superbes paysages australiens, d’images superbes, de la puissante musique de Jean-Michel Jarre et du charisme de son casting pour livrer une œuvre forte où les relations humaines priment sur l’intrigue, assez convenue. Mel Gibson est parfait et révèle une présence impressionnante. Mais on se souviendra surtout du dernier tiers se déroulant durant la bataille de Gallipoli, qui scandalise grâce à un suspense autour de l’exécution d’un ordre absurde. C’est alors que le film prend tout son sens et gagne ses galons de film marquant. Une pierre de plus dans la filmographie passionnante de Peter Weir.
Film magnifique sur une "amitié exceptionnelle" entre 2 jeunes gens que seuls le courage et la peur vont séparer dans la mort. sur fond de la terrible boucherie de la "bataille des Dardanelles" Cette amitié est tellement bien amenée, tellement forte et simple qu'on ne pense déjà plus que c'est le "jeu" de 2 acteurs : ils incarnent littéralement leurs personnage et leur Duo. De plus, ces jeunes "running men" sont d'une beauté inouïe, que la jalousie aurait pu opposer, dévorer, casser et il n'en est rien. La traversée du "bush", magnifiquement filmée, scelle cette amitié que seule la mort peut détruire Le passage de "l'Egypte" est particulièrement exquis avec sa population locale, l'amusement de ces jeunes australiens et toujours cette si forte amitié, dans cette "course folle" à la pyramide, le tout filmé dans une photographie absolument sublime, tout le long du film. Seul bémol : les choix musicaux, on ne peut plus classiques et sans intérêt gâchent un peu la plus belle des partitions
Un beau film de Peter Weir, tourné dans les magnifiques décors naurels du bush australien ; de l'Egypte, ensuite, pour finir dans la tragédie du détroit des Dardanelles, à Gallipoli. Un film naturaliste, sans chichi, tourné en décors naturels, autour de la grande amitié naissante entre ces deux garçons coureurs à pied, qui s'engagent dans l'armée australienne pour faire " leur devoir". Du duo d'acteurs débutants, Mel Gibson crevait déjà l'écran et allait devenir la superstar que l'on connaît, quand son camarade Mark Lee n'a jamais percé hors d'Australie.
attention voici un chef d'oeuvre d'émotion, d'amitié, de passion...à voir, revoir et encore tellement c'est magique. Mark LEE vole la vedette au débutant GIBSON et les musiques (JM.JARRE § ALBINONI) n'ont jamais été aussi bien employées.
Je ne connaissais pas l'existence de ce film, malgré la présence du réalisateur Peter Weir et celle de Mel Gibson, j'ai découvert un grand film, tant dans sa narration que dans sa réalisation de haute volée.
Mention spéciale à la musique inattendue de Jean-Michel Jarre, qui sied parfaitement à l'action du moment.
FIn des plus émouvant dans un film qui a démarrait pourtant d'une drole de manière et pas forcément pour le meilleurs, l'histoire d'un coureur de course a pied. Mais petit a petit nous rentrons dans la vie de ces 2 soldats près a partir à la guerre en quète d'une pseudo gloire. Peu de scène de bataille, Peter Weir se focalise plus sur les expression des visages pour montrer l'horreur de la guerre, exellente idée quand on a peu de moyen. La musique du film alterne subtilement entre musique electro des année 80 a mozart de manière très subtil. Un très bon film meme si on peut préférer un fil qui lui ressemble fortement sur certain aspect : voyage au bout de l'enfer"
Veritable chef d'oeuvre qui a participé a faire de Mel une veritable et star, et surtout un veritable acteur. Le seul point negatif c'est la musique Oxygène totalement dépassé aujourd'hui et qui sort le film un peu de son contexte. Mais c'est un micro detail a coté de toutes les qualité du film, les autres musiques etants magnifique, des acteurs geniaux et attachants, puis une veritable histoire et veritable realisation de Peter Weir qui frappe fort comme toujours.
Le film commence sur des images magnifiques d'étendues désertiques au cœur du Bush Australien. Sans avoir la certitude de visionner un film de guerre, on se laisse prendre par un film qui ressemble plus à une version réussie de Western Australien. La fougue et l'intrépidité de deux jeunes Australiens en route vers la guerre ne laisse pas indifférent. On retrouve dans ce film, un des premiers rôles de Mel Gibson, qui nous montre l'essence même de qui fait de lui un grand acteur : l'insouciance, un rire silencieux communicatif, la fougue, la facilité...
Rediffusé hier soir à la télé., ce film est un petit bijou à la beauté discrète. La stupidité et l'horreur de la guerre nous sont montrées avec évidence dans la dernière partie du film que conclut un arrêt sur image bien fait pour associer cette guerre à une autre, et même à toutes les autres. En bras de chemise, comme si elle allait travailler dans les champs, la fleur de la jeunesse australienne est fauchée pour obéir à l'entêtement criminel d'un officier supérieur. Quel fut le chemin parcouru par cette jeunesse pour venir mourir si loin de son pays? C'est le propos du film dans sa plus grande partie. Parmi ces jeunes hommes, les uns ont vu une aventure, les autres la poursuite d'un idéal individuel ou collectif. Ils ont quitté leur foyer ou leur lieu de travail et rien ne peut leur faire obstacle, pas même un désert. Ils partent enthousiastes et tout est matière à s'enivrer du bonheur de vivre. Au Caire, avant d'aller la zone des combats, ils vivent leurs derniers moments d'insouciance, les scènes sont remarquables. Le film est porté par le fil d'une amitié entre deux jeunes hommes. L'un, idéaliste, sauvera l'autre de la mort en acceptant la sienne comme un dernier défi qu'il s'adresse. L'autre incarne la vie, il est sans illusions. C'est lui le réel vainqueur de cette guerre.
un bon film avec en toile de fond les Dardanelles et une amitié forte entre deux recrues où l'insouciance rencontre la réalité absurde de la guerre. On y découvre un Mel Gibson tout jeune ( mais le film ,bien que de 1981, n'a pas pris une ride ) la fin est poignante
Un beau film où l'on voit encore Mel Gibson à ses débuts, même s'il est déjà une star avec Mad Max, ce film rend un très beau hommage aux soldats de l ANZAC. Mort à Gallipoli