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    Drive-Away Dolls
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    91 critiques spectateurs

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    islander29
    islander29

    859 abonnés 2 353 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2024
    Mon Dieu, ai je pensé en sortant du film, le genre de film irrévérencieux qui fait du bien....UN "Dyke" movie, cherchez dans le dictionnaire anglais si ça vous plait....." DRive away dolls ? Le drive away est l'utilisation d'une voiture qui ne vous appartient pas pour traverser les états unis, son propriétaire veut juste que vous l'envoyez là où il veut....Vous lui rendez service, et tout le monde est content...Malheureusement dans le film, la voiture contient un objet ( une mallette) embarrassante. Là commence le scénario, c'est drôle ( sans rire) iconoclaste, provocateur, mais sur le générique il n'y a que le nom d'Ethan Coen, où est passé Joel ? Je vous rassure il est toujours vivant.....Au fond le frère Coen, s'est fait plaisir, nous livre il ses fantasme profonds,???? certaines scènes sont très orientées (trop à mon gout)...C'est un petit film, mais c'est un Coen, avec l'ironie, la moquerie, le décalage, qui se moquent sans doute de nos mœurs, de notre époque...Ethan est il jaloux ? Le film au fond est très rafraichissant, j'en suis sorti en me sentant mieux...Je conseille, surtout si vous aimez les frères Coen....
    Shawn777
    Shawn777

    581 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Ces derniers temps, les frères Cohen font bande à part et si Joel a décidé de se diriger vers le minimaliste et le très (très) sobre avec "Macbeth", c'est tout l'inverse pour Ethan qui nous sort ici un film à l'humour et au kitsch exacerbés et à la mise en scène qui n'a jamais été aussi pop depuis les psychédéliques années 60. Tout ça pour dire qu'à deux, ils arrivaient à trouver un juste milieu (même si je dois bien avouer que je n'ai jamais été spécialement fan du duo) mais chacun de leur côté, c'est tout blanc ou tout noir. Ce qui est bien dommage car cette histoire avait pourtant du potentiel ! En effet, nous suivons deux lesbiennes qui doivent se rendre à Tallahassee avec une cargaison un peu particulière. Je précise que ce sont deux lesbiennes car le film y accorde une grande importance. Précisons également qu'elles ne sont pas au courant de ce qu'elles transportent et que deux hommes de main sont après elles pour retrouver la cargaison en question. Voilà, une base plutôt simple donc mais efficace, surtout pour ce genre de road movie comique. Seulement voilà, on s’ennuie finalement beaucoup ! Déjà d'une, le film met pas mal de temps à commencer, il accorde énormément d'importance, encore une fois, à la sexualité des personnages, ce qui n'apporte pas grand-chose à l'histoire mis-à-part alimenter des vannes lourdes, une pseudo-romance assez naze et prévisible et puis peut-être également pour dire très maladroitement "eh t'as vu, on est woke !". Pourtant, encore une fois, c'est un élément qui avait du potentiel mais qui n'est jamais pleinement exploité, le film ne préférant que surfer dessus. C'est seulement dans sa seconde partie que le film se réveille un peu en nous offrant enfin un humour mieux dosé. Car oui, le film est carrément lourd à ce niveau-là ! Que ce soit les trente-six plans sur le coffre (on a compris, c'est rigolo, elle tagué le coffre avec une phrase marrante), les personnages manichéens, les méchants sortis d'un cartoon et puis surtout ces transitions, encore une fois, bien lourdes. Et quand je parle des transitions, je parle des moments entre les changements de scènes et pas ces espèces de délires psychédéliques qui n'ont trop rien à foutre là et qui cassent sacrément un rythme déjà très faiblard. "Drive-Away Dolls" est donc un film qui n'est pas désagréable à regarder mais qui est très oubliable, surtout par rapport à ce que nous avait habitué le duo.
    Stéphane A
    Stéphane A

    10 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 avril 2024
    Brouillon, confus, sans emporter l'adhesion du spectateur. Mais le scenario a bien coché toutes les cases des exercices imposés par la doxa moderne, ouf!
    Noël C
    Noël C

    8 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2024
    Une gentille comédie, truffée de références aux précédents films des frères Cohen (auto-promotion facile ?) et d’intermèdes psychédéliques sortis des années hippies. On a envie de danser sur des musiques binaires, entraîné par ses deux filles joviales, nigaudes dans un monde lesbien complètement loufoque !
    Pierre
    Pierre

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mars 2024
    Je n’ai pas aimé du tout c’est sans intérêt et il nous saoule de scènes de lesbiennes parfois des séquences psychédéliques on se demande pourquoi il devrait retourner tourner avec son frère
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2024
    Film d'Ethan Cohen, après la fin très probablement définitive du duo qu'il formait avec son frère. Sa femme est au scénario. Ralliée depuis longtemps à la cause féministe, le film donne avoir un engagement un peu anachronique, une approche un peu datée mais sincère. La mise en scène est réussie et se détache un peu des précédents. Surtout un humour loufoque décomplexé et pleinement investi par une Margaret Qualley excellente. Pour le fond, c'est un peu maigre et ça sent le recyclé (certains aspects déjà vu dans d'autres films des frères Cohen comme Blood Simple ou The Big Lebowski). Si Joel Cohen manque et que Drive-Away Dolls offre une histoire un peu dépassée, son humour et sa mise en scène décomplexés font du bien dans un cinéma hollywoodien majoritairement fade.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    688 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 avril 2024
    C'est un peu redondant Drive-Away Dolls. Humour gras et répétitif, récit un peu prévisible, si la maîtrise de Ethan Cohen est au rendez-vous, son écriture manque cruellement de finesse. Une proposition attachante mais étonnement un peu ennuyeuse...

    https://x.com/7emecritique/status/1772220551353799038?s=46&t=GxSODKe0TfEJcnTFRoVIKA
    Audrey L
    Audrey L

    632 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Pas vibrant, ma sœur. C'est l'histoire de Timothée Chalamet (ah non pardon, c'est Margaret Qualley) qui part en vadrouille avec sa meilleure pote pour lui apprendre comment devenir "une bonne lesbienne", sous une pluie de débauche, de godemichets, de néons qui crament les rétines, de méchants messieurs au rire sardonique qui veulent récupérer leur mallette (non, vous ne voulez pas savoir ce qu'il y a dedans, vous ne voulez pas...), et surtout une mise en scène faite par un collégien qui apprend à se servir de PowerPoint. On n'exagère même pas (on aurait tellement aimé), mais on vient de tomber sur un film qui se croit trash, décadent, subversif, mais n'est jamais rien d'autre qu'ultra-ringard, criard (parce qu'il n'a rien à dire, alors ça passe mieux en gueulant), et surtout vulgaire. Ne mettez pas ça à votre gentille petite famille. Ni même à une personne qui a un tant soit peu de respect pour les femmes, et surtout les lesbiennes, car ici on accumule les clichés outranciers au tractopelle (une simple pelle ne suffit plus à balancer l'omniprésence des dialogues sur le sexe - "elles ne pensent qu'à ça, en même temps, c'est féministe... Non ?", non, Ethan, t'as rien compris, repart dans les années 2000), les dégaines "à la garçonne que j'ai vu dans Playboy", les transitions qui sont des animations PowerPoint (vous vous rappelez votre joie quand vous réussissiez, en sixième, à insérer une animation "la diapo qui tourne sur elle-même / tombe en fracas / se fragmente" entre deux diapos ? Vous avez grandi, depuis, et vous ne trouvez plus ça classe, eh bien Ethan, lui, continue d'aimer la galerie d'animations PowerPoint, et en a mis partout entre ses scènes... C'est à vomir), les scènes de débauche et délire psycho qui n'ont rien à envier à Euphoria (on sent qu'Ethan a vu l'utilisation magnifique des néons et couleurs flashy dans la série, alors il a voulu faire pareil, mais en branchant une multiprises sur une multiprises...), une resucée maladroite de Thelma et Louise (la prude et celle qui veut lui apprendre à vivre librement, ici traduit par "si tu n'arrives pas à le faire avec une des femmes que je te présente lourdement, je veux bien m'y coller, parce qu'il n'y a que comme ça que tu seras femme, ma fille...", la liberté sexuelle féminine a de beaux jours devant elle), et une histoire de mallette qui rappelle le lointain No Country For Old Men (le chef-d’œuvre du passé des Frères Coen, qui chevauche vers l'horizon depuis leur séparation catastrophique, dont Drive-Away Dolls est le Grand Canyon de la nullité). Pour la faire simple, rien ne va dans ce film fait par un dinosaure qui utilise encore mal PowerPoint, et trouve que les clichés balourds sur les lesbiennes et l'omniprésence de godemichets sont des vannes hilarantes et modernes. Un film très ringard.
    RogueWinter
    RogueWinter

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2024
    Est-ce le même Ethan Coen qui a réalisé Fargo, O'Brother ou No Country for Old Men ?!
    Oui, malheureusement... mais que s'est-il passé ?
    À part le joli minois de Margaret Qualley (fille d'Andie MacDowell), il n'y a rien à sauver.
    Le film est bête, lourd, gras, entre ses incessantes allusions, et son humour bébête. Mention toute particulière au contenu de la mallette... le summum de l'idiotie.
    Alasky
    Alasky

    346 abonnés 3 385 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mars 2024
    Film tellement bizarre, il n'a aucun sens, c'est sans queue ni tête (les gens qui auront la réf diront que si, il y a bien des queues et des têtes). Le casting est fun cependant et ce n'est pas désagréable à regarder.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    339 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 mars 2024
    Un ratage dans les grandes largeurs et une oeuvre qui est même presque lesbianophobe tant la manière dont celles ci sont décrites semble correspondre aux clichés des mâles blancs hétéro.

    On retrouve quelques dialogues qui rappellent les frères Cohen mais l'approche qui se veut Tarantinesque tombe totalement à plate et devient même gênante et les passages qui semblent rappeler les trips hallucinogènes de la période flower hippie sont même incompréhensibles

    Fuyez donc
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 260 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2024
    Deux jeunes lesbiennes amènent une voiture à livrer en Floride. Le film déjanté au possible amuse et étonne. Les personnages sont bien dessinés et l'histoire un peu barrée se suit avec plaisir. C'est du Fargo léger et drôle. Pour se détendre.
    Fab 65
    Fab 65

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 mars 2024
    et ça parle, et ça parle, et on s'ennuie... Scénario poussif, actrices fatigantes. Bref, tout à fait dispensable.
    Joël, revient !
    FaRem
    FaRem

    8 608 abonnés 9 508 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mars 2024
    Réalisé en solo par Ethan Coen, qui a coécrit le scénario avec sa femme Tricia Cooke, "Drive-Away Dolls" est un road-trip lesbien sur deux amies qui entreprennent un voyage vers la Floride à bord d'une voiture qui ne leur appartient pas. Il y a Jamie, la fille délurée à l'appétit sexuel vorace, et Marian, la copine coincée dans tous les sens du terme. Alors que Jamie tente de la faire vivre à travers plusieurs arrêts, le duo ne se doute pas qu'elles sont poursuivies par des voyous pas très futés. Des personnages hauts en couleur aux situations décalées, tout est fait pour faire une comédie loufoque, mais l'ensemble tombe à plat. Ce ne sont pas les efforts qui manquent puisque le film s'efforce d'être drôle à chaque instant en appuyant lourdement sur ce qui se passe, mais cela n'a rien déclenché chez moi. Si le duo est pas mal et se complète assez bien avec Geraldine Viswanathan qui compense le personnage agaçant de Margaret Qualley, l'histoire n'a juste aucun intérêt. Sans être forcément mauvais même si je n'ai pas accroché, j'ai trouvé l'ensemble quelconque.
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Ethan Coen n'a évidemment pas tourné seul Drive-Away Dolls, puisque le film a été coécrit avec son épouse, Tricia Cooke, qui en a assuré le montage. Oui, mais voilà, sans son grand frère Joel, enfin émancipé à l'âge de la retraite, la question était de savoir comment le cadet des Coen allait se distinguer par rapport à l’œuvre commune. Disons que la surprise n'est pas considérable avec cette série B bien rythmée et pas avare en situations absurdes et en dialogues assez souvent réjouissants. Le scénario ne nécessite pas d'avoir fait de hautes études pour en saisir les éventuelles nuances, le récit s'articulant autour d'une course-poursuite d'un duo de voyous pas très futés sur les traces de deux jeunes femmes lesbiennes. Il vaut mieux passer sous silence un certain nombre de détails graveleux, censés épicer l'intrigue, et dont la vulgarité est parfaitement assumée, de même que la volonté de montrer une communauté de femmes préférant les femmes, à la parole libérée, quitte à les faire passer pour obsédées. Par ailleurs, Ethan serait bienvenu d'expliquer l'intérêt des séquences psychédéliques qui servent de transition aux différents chapitres de l'histoire. Faire la fine bouche devant Drive-Away Dolls est naturel, eu égard aux attentes légitimes, mais la chose est divertissante et sans prétention alors que les deux actrices principales, Margaret Qualley et Geraldine Viswanathan, démontrent un talent et un culot évidents pour garder solidement le cap dans des aventures aussi improbables et des dialogues aussi délurés.
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