Parodie rythmée décalée très réussie, digne des films de Coen. À voir en version VO, Surtout pas mauvaisement doublé ! Excellentes interprétations crédibles et drôles. Dialogues imagés, réparties ciselées, foisonnants, féministes militants. Donc pas adapté aux basiques et réacs. Les maussades ou "Haters" de ce film sont les zombies, probables misogynes aussi, formatés par les archaïsmes et patriarcat.
Comment imaginer que cet esprit est pu générer la moitié de grands films de qualité comme No Country for old man ou the Big Lebowski.... Rien n'est beau ni cohérent... Le summum la valise...
Un scénario prévisible et plat, étonnement. L'image de la communauté lesbienne est montré que au travers de stéréotypes. Les scènes psychédélique n'ajoute rien de plus au film, mise à part appuyer l'aspect sexuel de celui-ci. Le duo de Jamie et Marian est tout de même attachant et fonctionne bien.
Film léger mais pas dans le bon sens du terme. Quelques passages sympas mais c'est brouillon. L'humour fonctionne une fois sur trois dans ce road movie, de prime abord palpitant, finalement faiblard.
drive away dolls est une histoire loufoque et drôle. Sa mauvaise note n'est pas meritée, on passe un bon moment, n'en déplaise à un public hetero-coincé
Comme je le dis souvent, on ne choisit pas un film par hasard. Ici, ce qui me conduit en salle, c’est Ethan Coen. Je suis une inconditionnelle des films qu’il réalise, la plupart du temps, avec son frère. J’adore leur humour complètement barré. Personnellement, quand je pense à certaines scènes du film, comme la découverte du contenu de la mallette, je rigole encore. Les frères Coen, c’est “No country for old man”, “The big lebowski” “Burning after reading” “Fargo”.... que des film que j’adore et dont je ne me lasse pas. Mais je m’écarte encore. Alors deux copines qui ne savent pas trop quoi faire de leur vie, décident de partir pour Tallahassee. Elles se retrouvent au volant d’une voiture, dans laquelle elles ne devraient pas être. Dans le coffre, une mallette au contenu précieux, enfin pour certaines personnes. Et non, je ne vous dirai pas quoi et vous ne pouvez absolument pas deviner, c’est trop décalé, donc, ne cherchez pas. Donc, je le répète encore, mais c’est extrêmement drôle, tout autant décalé et le rythme est endiablé jusqu’au bout. J’adore tous les personnages, car ils sont quasi tous irrésistiblement drôles. Encore ce mot. Mais finalement, drôle et décalé ce sont les deux adjectifs qui qualifient le mieux Drive-Away Dolls.
Affligeant de sexisme qui s'ignore, le film l'annonce dès son titre : ses personnages de femmes ne seront rien d'autres que des "poupées (dolls)", des archétypes vides aussi vulguairement creuses que vulgaires. J'ai regardé le film avec l'hallucination que je pouvais avoir début des années 2000 devant certains films soit disant "lesbiens" qui n'étaient en fait que des fantasmes masculines hors sol.
On ne pourra pas dire non plus que la mise en scène viendrait sauver quoique ce soit, c'est digne d'un mauvais film de série B sans saveur, monté à la machette, avec une intrigue molle quasi-inexistante et des gags "lesbiennes/pénis" tournant en boucle comme s'il s'agissait d'une blague incroyablement drôle et jamais vu.
Quand tu es fan des frères Coen, ça fait mal. Ethan sans Joel ça vaut pas tripette. Un peu de fantaisie qui rappelle le duo implaccable et jubilatoire mais l'histoire est bien trop inconsistance et puis une histoire de lesbiennes et de spoiler: godes ...
NB Joël sans Ethan ça vaut pas mieux (The tragedy of Macbeth).
Avec Ethan Cohen dans le coup, j'avais quelques attentes... à l'arrivée, j'ai trouvé ça insipide, facile, inutilement graveleux à certains moments... en bref, on est très loin du compte !
C'est triste. C'est très vulgaire. Les scènes de sexe n’apportent rien à la psychologie des personnages. C’est dégradant pour l’image de la femme. Ce n'est pas drôle. Je me demande combien a été payé Mat DAMON pour son rôle.
Lourdingue, extrêmement lent - quand l'intrigue n'a pas démarré après 28 minutes dans un film qui dure 1h25, c'est mal barré en termes de rythme. Le Mac Beth sans Ethan était raté, ces Poupées sans Joel idem. Les Coen c'est comme les roues d'un vélo, il faut les deux pour que ça tienne la route.