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    Drive-Away Dolls
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    91 critiques spectateurs

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    BLS Moviedebrief
    BLS Moviedebrief

    16 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2024
    Un ½ Coen
    Roadmovie lesbien explicite avec quelques gags très bons mais on est loin de la réussite du temps où les 2 frères Coen composaient ensemble.
    RENEE D.
    RENEE D.

    17 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2024
    Comédie enlevée par un des frères Coen ; TRASH oui mais très distrayante. Plein de personnages déjantés ! Ne pas boudez son plaisir !
    Cool_92
    Cool_92

    285 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2024
    Un Thelma et Louise lesbien complètement loufoque et déjanté. Tout le scénario (lourd) tourne autour des parties de jambe en l'air des deux héroïnes, godes et scènes lesbiennes sont omniprésents. C'est tellement stupide que le film s'avère drôle à certains moments. Ethan Cohen rate un peu son film dans le sens où ça tourne vite en rond et qu'il se révèle au final très oubliable.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 avril 2024
    Deux « Thelma et Louise du pauvre » convoient à leur insu une voiture renfermant un magot à travers les États-Unis. Sans son frère Ethan Coen sa vautre complètement avec cette comédie d’action burlesque. Le jeu est outré, mais c’est le genre qui veut ça et surtout le regard porté sur les lesbiennes est sans nuances, caricatural voire même malaisant par moment.
    Ciné-13
    Ciné-13

    117 abonnés 1 068 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mai 2024
    Le clou de ce road-movie lesbien à la Thelma &Louise libidineux : pyjama partie avec l'équipe de filles --> au coup de sifflet, changement de partenaire (sur Blue Bayou de Linda RONSTADT)!
    Mais que contient cette valise appartenant au Sénateur DAMON, fruit de toutes les attentions de ces ténébreux malfrats? Je vous promets une sacrée surprise.
    Alors on assiste à cette recherche de nos 2 héroïnes, par des loustics "bas de plafond", donnant droit à d'interminables dialogues minables. Et puis il y a ces 3 passages psychédéliques, ponctuation incompréhensible.
    On apprend que certains états US (ex le Massachusetts) autorisent le mariage homosexuel.
    Ethan COEN se sent une nouvelle âme de cinéaste sans son frère : cela promet!
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 177 abonnés 7 496 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 avril 2024
    Jamies, femme libre en pleine rupture amoureuse et Marian, son amie pudique et coincée, sont en quête d’une bouffée d’air frais et décident de se rendre à Tallahasse. Mais leur périple sera semé d'embûches après avoir croisé la route d'une bande de truands...

    Ethan Coen trace sa route en solo en réalisant ici son tout premier film (de fiction) sans son frère Joel. Avec Drive-Away Dolls (2024), il réalise ce qui s'apparente à une Série B à l’esprit très ancrée dans les 60’s avec son look rétro et ses transitions psychédéliques & cartoonesque (franchement lourdingues).

    Avouons-le, il se plante en beauté. Le film avait été pensé pour être une comédie délurée / trash, il n’en sera rien, en dehors de la scène d’ouverture avec Pedro Pascal (si tout le film avait été comme ça, peut-être que nous nous serions amusé). Tout le reste n’est qu’une enfilade de longues scènes de dialogues et de vannes qui tombent à plat, au coeur d’un récit particulièrement inintéressant et chiantissime.

    On a sans cesse cette désagréable impression qu’Ethan Coen surf sur sa carrière des 90’s avec son frangin, en nous balançant des références à leurs précédents films, comme s’il n’était toujours passé à autre chose (c’était il y a 20 ans, faudrait songer à faire son deuil du passé).

    Drive-Away Dolls (2024) devient rapidement embarrassant de nullité, jamais drôle et d’une fainéantise pas croyable. Bref, rendez-nous les Frères Cohen, eux au moins, ils étaient drôles et talentueux.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Yves 4.
    Yves 4.

    102 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2024
    Bonne surprise , comédie loufoque parfois vulgaire dans la joie et la bonne humeur , sur fond de road trip à l'américaine à la sauce Lesbienne...Un chouette divertissement
    Fiers R.
    Fiers R.

    96 abonnés 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2024
    Après quarante ans de collaboration, l’une des fratries les plus célèbres du cinéma contemporain, pour ne pas dire la plus illustre, se sépare le temps d’un (ou plusieurs?) films. En effet, Joel et Ethan Coen ont tous deux décidé de tenter l’aventure cinématographique en solo après nous avoir gratifié de plusieurs chefs-d’œuvre du septième art tels que « Fargo », « O’Brother » ou encore « No Country for Old Men » pour ne citer que quelques exemples. Joel s’en est allé mettre en scène une énième adaptation du « MacBeth » de Shakespeare en forme d’exercice de style avec son épouse la comédienne doublement oscarisée Frances McDormand et Denzel Washington tandis qu’Ethan s’est offert une petite récréation avec ce « Drive-Away Dolls ». Disons-le d’emblée, le cinéma n’y gagne pas avec cette soudaine (et définitive?) séparation. Comme si tout ce qui faisait la sève et le talent du duo s’était en partie, à moitié, évaporé. Pas que ce petit road-movie rétro et lesbien soit mauvais mais il est parfaitement anecdotique et superficiel.

    Très court et doté d’une histoire à la fois très basique et complètement abracadabrantesque, ce premier essai en solo d’Ethan Coen nous divertit et nous amuse mais ne restera pas dans les annales. C’est typiquement le genre de film qu’on a vite oublié une fois sorti de la salle. Peut-être que le cinéaste s’est octroyé une petite récréation avant de passer à des choses plus sérieuses et mémorables, en attendant on ne peut qu’être un peu déçu. C’est certes très rythmé, le film passe très vite (en même temps il dure à peine une heure et vingt minutes sans le générique) et il y a pas mal de séquences cocasses qui fonctionnent mais c’est un peu vide, futile et vain. Et que dire de toutes ces stars qui ne font que passer et faire coucou? On pense à Pedro Pascal et Matt Damon notamment, dans des petits rôles fantasques avec lesquels ils ont dû s’amuser mais qui occasionnent davantage de la frustration qu’autre chose pour le spectateur.

    Coen semble s’amuser et il parvient à sporadiquement à nous transmettre la folie qu’il infuse à son « Drive-Away Dolls » presque cartoonesque. La séquence avec le loueur de voiture incarné par un Bill Kamp au top (un acteur malheureusement abonné aux seconds rôles) en est l’exemple parfait. On rit pas mal de fois de bon cœur, lors de cette scène en particulier. Il y a aussi pas mal de situations loufoques et décalées où on retrouve bien cet humour propre à la fratrie. Les dialogues également sont parfois très drôles et piquants mais c’est par petites touches, au milieu d’autres répliques ou séquences moins directement réussies. Visuellement, le cinéaste ose et essaie des choses. Si on apprécie la manière dont il enchaîne ses scènes avec des plans de coupe originaux ou avec la manière dont une image laisse la place à une autre comme si on feuilletait un magazine, d’autres tentatives tombent à plat comme ces digressions psychédéliques et fluo du plus mauvais effet. Sinon le casting semble motivé, on apprécie le duo central et le côté lesbien est bien exploité même si parfois certaines scènes tombent un peu dans la vulgarité. En bref, c’est sympa et gentiment foufou mais ça ne casse pas des briques non plus...

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    Pierre
    Pierre

    19 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2024
    Petit road trip entre copines dans le sud des USA, qui ne va pas se passe comme prévu. C'est un film qui a un humour qu'on peut aimer ou non. 3 guets stars dans le film. Ce qui peut amener les personnes à aller voir le film. (ce fut le cas pour moi). J'ai bien aimer les personnages dans le film. Ils étaient divertissant. Ils fessaient bien rire pour certains. Vu en VOSTFR
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 702 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2024
    Depuis leur dernière collaboration en 2018 sur le western à sketches «La Ballade de Buster Scruggs», Joel Coen s'est tourné, pour son premier film en solo, vers la tragédie en noir et blanc avec «Macbeth».

    Son frère Ethan quant à lui, a décidé de partir du côté de la comédie, en nous proposant aujourd'hui ce «Drive-Away Dolls».
    Ou l'histoire de deux amies lesbiennes, Jamie (la délurée) et Marian (la coincée) qui s'en vont en road trip direction la Floride pour se changer les idées, et ce à bord d'une voiture qui ne leur étaient pas destinées. Les véritables propriétaires de cette dernière (et de ce qu'elle contient), pas forcément très amicaux, vont vouloir la récupérer à tout prix.

    Co-écrite avec sa femme, la monteuse Tricia Cooke, ce film s'annonçait, au vu de ses premières images, comme une série B assez délurée, à l'esprit 60's en mode esthétique colorée, transitions cartoonesques et plans débullés, le tout accompagné de ces dialogues qui faisaient tout le sel des précédentes œuvres des frangins.

    Et au final...une belle petite déception, il faut malheureusement le reconnaître.

    Si quelques personnages sont plutôt bien esquissés (les hommes de main notamment) et certains traits d'humour font mouche, l'intrigue du film tourne vite en rond et on s'ennuie passablement devant celui-ci.

    Rajoutez à cela une Margaret Qualley qui en fait des tonnes (Geraldine Viswanathan s'en sort mieux à ce niveau-là) et un film qui ne sait pas trop où placer son curseur en terme d'humour, passant vite en mode pilote automatique, et vous obtenez une "course-poursuite" assez ronflante et lourdaude, dont on ne retient rien, ou presque.

    Ou l'impression persistante de voir un Coen faire du sous-Coen.
    Bref, un film trop plat et kitsch, et laissant assez indifférent finalement.

    Deux solutions possibles pour oublier cette déconvenue : se replonger dans «Arizona Junior», «The Big Lebowski» ou encore «Burn after Reading», qui sont des comédies d'un autre niveau.
    Et espérer que les frères Coen se rendent vite compte qu'ils sont plus inspirés quand ils travaillent ensemble. On croise les doigts...
    norman06
    norman06

    345 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2024
    Ce long métrage d'un Coen Brother sans son frère est mou dans son récit, criard sur le plan visuel et faussement audacieux dans ses intentions. Comment l'auteur de quelques-uns des films culte de ces dernières décennies a-t-il pu concocter un produit d'une telle médiocrité ? On reste pantois devant ce naufrage et seule une scène avec Matt Damon nous arrache quelques sourires.
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    200 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2024
    Pour sa première en solo, Ethan COHEN signe un road trip aussi touchant que bordélique. Ça part dans tous les sens, pour le meilleur et le pire. Le scénario n’est pas vraiment le point fort de « Drive-Away Dolls. Heureusement, le duo lesbien formé par Margaret QUALLEY et Geraldine VISWANATHAN dynamite un peu tout sur son passage. Les deux actrices s’en donnent à cœur joie et se révèlent plutôt attachantes. Il y a un casting assez fun avec des caméos amusants. Pas certain toutefois qu’on en garde un souvenir impérissable.
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 avril 2024
    Une vraie déception.
    La séparation semble peser à Ethan Coen, qui préfère picorer dans les films réalisés avec son frangin plutôt que de réinventer un univers. Dans ce dernier long-métrage, on trouve donc un peu de "Fargo" (les deux tueurs ne s'entendent pas mieux mais sont ici complètement à l'ouest), un zeste de Lebowski (les scènes psyché animées), mais tout cela manque cruellement de rythme et paraît bien long, ce qui est un comble pour une œuvre de 84 mn. De même, l'humour décalé si caractéristique de la filmographie des frérots se transforme ici en blaguounettes attendues, tout comme il ne nous est épargné aucun stéréotype sur les lesbiennes...
    Reste le charme de Geraldine Viswanathan, très à l'aise dans le rôle de la bonne copine coincée, lectrice de Henry James. Mais ne mérite-t-elle pas mieux ?
    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mai 2024
    Comment dire?
    Un film de genre dont je dirais que le plus grand atout/qualité est l’accent de l’actrice principale!
    Shawn777
    Shawn777

    581 abonnés 3 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Ces derniers temps, les frères Cohen font bande à part et si Joel a décidé de se diriger vers le minimaliste et le très (très) sobre avec "Macbeth", c'est tout l'inverse pour Ethan qui nous sort ici un film à l'humour et au kitsch exacerbés et à la mise en scène qui n'a jamais été aussi pop depuis les psychédéliques années 60. Tout ça pour dire qu'à deux, ils arrivaient à trouver un juste milieu (même si je dois bien avouer que je n'ai jamais été spécialement fan du duo) mais chacun de leur côté, c'est tout blanc ou tout noir. Ce qui est bien dommage car cette histoire avait pourtant du potentiel ! En effet, nous suivons deux lesbiennes qui doivent se rendre à Tallahassee avec une cargaison un peu particulière. Je précise que ce sont deux lesbiennes car le film y accorde une grande importance. Précisons également qu'elles ne sont pas au courant de ce qu'elles transportent et que deux hommes de main sont après elles pour retrouver la cargaison en question. Voilà, une base plutôt simple donc mais efficace, surtout pour ce genre de road movie comique. Seulement voilà, on s’ennuie finalement beaucoup ! Déjà d'une, le film met pas mal de temps à commencer, il accorde énormément d'importance, encore une fois, à la sexualité des personnages, ce qui n'apporte pas grand-chose à l'histoire mis-à-part alimenter des vannes lourdes, une pseudo-romance assez naze et prévisible et puis peut-être également pour dire très maladroitement "eh t'as vu, on est woke !". Pourtant, encore une fois, c'est un élément qui avait du potentiel mais qui n'est jamais pleinement exploité, le film ne préférant que surfer dessus. C'est seulement dans sa seconde partie que le film se réveille un peu en nous offrant enfin un humour mieux dosé. Car oui, le film est carrément lourd à ce niveau-là ! Que ce soit les trente-six plans sur le coffre (on a compris, c'est rigolo, elle tagué le coffre avec une phrase marrante), les personnages manichéens, les méchants sortis d'un cartoon et puis surtout ces transitions, encore une fois, bien lourdes. Et quand je parle des transitions, je parle des moments entre les changements de scènes et pas ces espèces de délires psychédéliques qui n'ont trop rien à foutre là et qui cassent sacrément un rythme déjà très faiblard. "Drive-Away Dolls" est donc un film qui n'est pas désagréable à regarder mais qui est très oubliable, surtout par rapport à ce que nous avait habitué le duo.
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