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Le cinéphile
688 abonnés
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2,5
Publiée le 4 avril 2024
C'est un peu redondant Drive-Away Dolls. Humour gras et répétitif, récit un peu prévisible, si la maîtrise de Ethan Cohen est au rendez-vous, son écriture manque cruellement de finesse. Une proposition attachante mais étonnement un peu ennuyeuse...
Je n’ai pas aimé du tout c’est sans intérêt et il nous saoule de scènes de lesbiennes parfois des séquences psychédéliques on se demande pourquoi il devrait retourner tourner avec son frère
Le film même pas finit c’esy déjà nul. De A à Z ils ont réussi à caler du cul c’est pire qu’un film X. Scénario hyper mal exploité et l humour est juste inexistant ? L’acting est nul, offensivement, défensivement, sexuellement TOUT EST NUL. Point à noter ils ont réussi l’exploit à ennuyer les gens au bout de 10min c’est lamentable.
Film très décevant: caricatural dans le choix des personnages, simpliste au possible dans l'histoire et le scénario.. On ressent parfois la touche Coen dans quelques répliques mais c'est trop léger. Dommage
C’est un peu Thelma et Louise à Lesbos. Le frère Cohen a pris quelques substances, ou du moins son scénariste. Et il en résulte un film fortement lesbien mais pas seulement. On retrouve un côté psychédélique, du voyage bien sûr, de la country music et surtout beaucoup de rebondissements. À aucun moment, on ne s’ennuie . Voilà un film truculent, drôle et vif. Il mérite mieux que l’accueil de la critique qui fait la fine bouche, car elle elle a oublié que le cinéma c’est ça !
Jamie est une jeune lesbienne dynamique évoluant dans le milieu queer américain de la fin des années 1990. Très entreprenante et enchainant les conquêtes féminines, elle entraîne son amie Marian dans un road-trip vers la Floride pour lui apprendre à passer du bon temps. Ce qu’elles ne savent pas, c’est qu’elles sont poursuivies pour le contenu du coffre de la voiture. En salle le 3 avril.
spoiler: ”drive-away dolls” a été une bonne suprise pour moi. Malgré un scénario assez limité et des enjeux pas toujours captivants, j’ai trouvé le ton délicieusement léger et décalé. Le film n’a pas de prétention et se regarde comme un divertissement de télévision. L’ambiance de la fin des années 1990 m’a rendu presque (ou pas) nostalgique des graphismes numériques de l’époque. La relation charnelle entre les deux femmes ne tombe jamais dans le vulgaire, même si les personnages de Jamie et Marian sont caractérisées comme la lesbienne délurée versus la lesbienne sage et militante. C’est un peu facile mais comme les traits de toutes les thématiques du film sont grossis, ça passe !
Mon Dieu, ai je pensé en sortant du film, le genre de film irrévérencieux qui fait du bien....UN "Dyke" movie, cherchez dans le dictionnaire anglais si ça vous plait....." DRive away dolls ? Le drive away est l'utilisation d'une voiture qui ne vous appartient pas pour traverser les états unis, son propriétaire veut juste que vous l'envoyez là où il veut....Vous lui rendez service, et tout le monde est content...Malheureusement dans le film, la voiture contient un objet ( une mallette) embarrassante. Là commence le scénario, c'est drôle ( sans rire) iconoclaste, provocateur, mais sur le générique il n'y a que le nom d'Ethan Coen, où est passé Joel ? Je vous rassure il est toujours vivant.....Au fond le frère Coen, s'est fait plaisir, nous livre il ses fantasme profonds,???? certaines scènes sont très orientées (trop à mon gout)...C'est un petit film, mais c'est un Coen, avec l'ironie, la moquerie, le décalage, qui se moquent sans doute de nos mœurs, de notre époque...Ethan est il jaloux ? Le film au fond est très rafraichissant, j'en suis sorti en me sentant mieux...Je conseille, surtout si vous aimez les frères Coen....
Comment les réalisateurs de the big lebowski, fargo, arizona junior ont-ils pu commettre un tel échec ? Eux qui maîtrisent les personnages depuis 30 ans, rendant attachants les plus ridicules, écrivant des répliques cultes, des situations abracadabrantes passionnantes et drôles malgré la violence et les confrontations frontales des différentes classes sociales ? Drive-Away Dolls, c'est l'histoire de deux lesbiennes qui ne sont identifiées en tant que personnages que par leur sexualité, qui ne parlent que de ça, qui font des grimaces forcées pour être drôles et qui évidemment vont tomber amoureuses l'une de l'autre durant leur road trip. Evidemment, on est en 2023 donc elles vivent dans un Monde où toutes les femmes sont lesbiennes et où tous les hommes sont mauvais, alcooliques, méchants, criminels... le patriarcat contre lequel elles luttent malgré leur collection de godemichets. Un film incompréhensible, mal joué, que quelques scènes bien filmées ne rattrappent pas. On dirait un plagiat des frères Coen.
Ethan Coen n'a évidemment pas tourné seul Drive-Away Dolls, puisque le film a été coécrit avec son épouse, Tricia Cooke, qui en a assuré le montage. Oui, mais voilà, sans son grand frère Joel, enfin émancipé à l'âge de la retraite, la question était de savoir comment le cadet des Coen allait se distinguer par rapport à l’œuvre commune. Disons que la surprise n'est pas considérable avec cette série B bien rythmée et pas avare en situations absurdes et en dialogues assez souvent réjouissants. Le scénario ne nécessite pas d'avoir fait de hautes études pour en saisir les éventuelles nuances, le récit s'articulant autour d'une course-poursuite d'un duo de voyous pas très futés sur les traces de deux jeunes femmes lesbiennes. Il vaut mieux passer sous silence un certain nombre de détails graveleux, censés épicer l'intrigue, et dont la vulgarité est parfaitement assumée, de même que la volonté de montrer une communauté de femmes préférant les femmes, à la parole libérée, quitte à les faire passer pour obsédées. Par ailleurs, Ethan serait bienvenu d'expliquer l'intérêt des séquences psychédéliques qui servent de transition aux différents chapitres de l'histoire. Faire la fine bouche devant Drive-Away Dolls est naturel, eu égard aux attentes légitimes, mais la chose est divertissante et sans prétention alors que les deux actrices principales, Margaret Qualley et Geraldine Viswanathan, démontrent un talent et un culot évidents pour garder solidement le cap dans des aventures aussi improbables et des dialogues aussi délurés.
Comédie méta forte agréable. En ce qui me concerne: les quelques transitions psychédéliques qu'on rencontre parfois entre deux scènes ce n'est pas ma tasse de thé.
Est-ce le même Ethan Coen qui a réalisé Fargo, O'Brother ou No Country for Old Men ?! Oui, malheureusement... mais que s'est-il passé ? À part le joli minois de Margaret Qualley (fille d'Andie MacDowell), il n'y a rien à sauver. Le film est bête, lourd, gras, entre ses incessantes allusions, et son humour bébête. Mention toute particulière au contenu de la mallette... le summum de l'idiotie.
Impression d’être revenue dans les années 80, trash, vulgarité, et sexe. Les dialogues sont creux, le scénario inexistant et plus que prévisible, certains le trouveront absurde et déjanté, or ce film est est vide. Le contenu de la mallette est censé nous faire rire, et sa découverte fait à peine sourire. Les actrices, en revanche, jouent très bien, la BO est sympa et que fait Matt Damon dans ce film ?!!
Jamie (Margaret Quilley) et Marian (Geraldine Wisvanathan) forment un duo désassorti. Autant Jamie est extravertie et libérée, autant Marian est timide et collet-monté. Le hasard les réunira pour une virée en Floride au volant d’une voiture de location dont le coffre se révèlera contenir deux paquets compromettants.
Les frères Coen font désormais bande à part. Le cadet, Ethan, a signé le scénario de "Drive-Away Dolls" avec sa femme, Tricia Cooke. Son action se déroule à la fin des années 90, à l’époque des films les plus célèbres des deux frères. Il leur fait d’ailleurs des clins d’oeil répétés.
C’est bien là la limite de ce film, sympathique par ailleurs : on a la fâcheuse impression de regarder un "spin-off" de "Fargo" ou de "The Big Lebowski". Ethan Coen donne les deux rôles principaux à un couple de lesbiennes dépareillées dont on sait par avance qu’elles finiront immanquablement par se rapprocher. Le résultat est paradoxalement transgressif et puritain : "Drive-Away Dolls" met en scène des scènes de sexe explosives (ah ! l’équipe de foot féminine !) mais ne montre pas un bout de sein et se révèle finalement très sage.
Quant à l’histoire, c’est plus un prétexte qu’autre chose. La cavale des deux filles avec leur butin est l’occasion de les confronter à une variété d’interlocuteurs, notamment aux deux pieds-nickelés de mafieux qui sont à leur trousse.
On passe un moment agréable devant "Drive-Away Dolls", notamment aux pitreries irrésistibles de Margaret Quilley – que je tiens depuis la série "The Leftovers" et sa pub pour Kenzo comme l’une des stars de demain. Mais on oubliera vite ce film condamné à être relégué parmi les oeuvres mineures des frères Coen.