Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Transfuge
par Séverine Danflous
Un film à l'énergie démente. Courez-y !
Voici
par La Rédaction
Une comédie extrêmement réjouissante, psychédélique et sexuée.
La Septième Obsession
par Élodie Denis
Le tout avec un sourire amusé et un arrière-goût acidulé en bouche. Une virée jouissive, tout simplement.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Si l’on retrouve l’esprit extravagant et décalé du duo désormais séparé, s’y ajoute une dimension essentielle ici : l’orientation sexuelle de ses héroïnes. Pour le reste, Ethan Coen demeure, même sans son frère, un cador en matière de prises de vues et de direction d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ethan Coen et sa co-scénariste Tricia Cooke signent un road movie nerveux, drôle et furieusement lesbien, dont on goûtera ou non les outrances.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film réjouissant, de divertissement, pas le moins du monde prétentieux ni même très beau.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Ce road movie féministe rappelle le film culte Thelma et Louise, le côté pop et loufoque en plus.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Jouissif à plus d’un titre, donc…
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ethan Coen se lance dans la réalisation en solo avec un road-movie mettant en scène deux homosexuelles. Un film qui ne manque pas de verve ni de couleur, mais reste en deçà des œuvres phares qu’il a signées avec son frère Joel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Traversé de parenthèses psychédéliques, ce road-movie déjanté à l'humour burlesque, impertinent et trash, est un film mineur au regard de la filmographie des Coen, mais on ne boude pas son plaisir.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
« Drive-Away Dolls » se laisse regarder sans déplaisir tel un divertissement sans conséquence, mais le spectateur attend inévitablement plus de la part d'un metteur en scène qui, en compagnie de son frère, a ciselé quelques-unes des plus précieuses pépites du cinéma américain des dernières décennies.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Si cette série Z fait pâle figure par rapport aux monuments des Coen (Miller’s Crossing, The Barber, Inside Llewyn Davis), elle divertira toutefois les amateurs de comédies régressives.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Cette comédie sans prétention, mais souvent jouissive, repose également sur son tandem féminin mal assorti, la coincée et la délurée, campées avec délectation par Geraldine Viswanathan et l’actrice montante Margaret Qualley.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Coquin, marrant en diable et psychédélique, ce plaisir de cinéma part un peu dans tous les sens, mais a le mérite d'être court et de faire mouche à chaque scène.
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
Au final, le film, certes modérément divertissant, se révèle surtout oubliable et frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ethan Coen patine et tourne en rond dans un cercle de l'ennui.
Le Monde
par M. Jo.
Le film aurait pu avoir le charme du vieux standard qu’on connaît par cœur si Ethan Coen ne s’obligeait pas à donner des gages à un éventuel public féminin et féministe qui le jugerait sévèrement. Entre la nymphomanie et la pruderie excessive, il y a, chez Ethan Coen, comme une impossibilité à produire une image juste des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jacques Morice
Quelques scènes cocasses mais le scénario, paresseux, gâche le plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
Les cunnilingus ont bon dos, et Drive-Away Dolls n’a de queer que son sujet.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Sans queue ni tête, Drive-Away Dolls croule sous les références, voire l’autoréférence, en livrant une caricature défraîchie des comédies comptant déjà parmi les moins inspirées des frères Coen.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce serait amusant par moments si ce n’était pas aussi ringard qu’un stoner (ode à la fumette) des années 1990, dont Ethan Coen semble nostalgique. On sait désormais qui est le plus potache des deux frères, pas le plus drôle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Bien peu inspiré, Ethan Coen rate sa cible avec ce road-movie lesbien qui provoque un sentiment de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par La Rédaction
On dirait du Elmore Leonard mais, hélas, sans le cœur ni la mélancolie attachante des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Personnages crispants, gags mous, lumière glabre : tout est laid, con et d’un amateurisme à peine croyable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une comédie laborieuse.
Première
par Frédéric Foubert
Depuis que les frères Coen ont décidé de mener des carrières solo, Joel a signé une adaptation très arty de Macbeth, qui manifestait son besoin de changer d’air. Et Ethan, alors ? Désormais associé à sa femme Tricia Cooke, il signe avec Drive-Away Dolls une compilation des pires tics du cinéma coenien.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Là où on se réjouissait du retour d’Ethan Coen au cinéma mais sans son frère, ce road-movie érotico-lesbien est tout aussi décevant que vulgaire et sans intérêt.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Transfuge
Un film à l'énergie démente. Courez-y !
Voici
Une comédie extrêmement réjouissante, psychédélique et sexuée.
La Septième Obsession
Le tout avec un sourire amusé et un arrière-goût acidulé en bouche. Une virée jouissive, tout simplement.
Le Parisien
Si l’on retrouve l’esprit extravagant et décalé du duo désormais séparé, s’y ajoute une dimension essentielle ici : l’orientation sexuelle de ses héroïnes. Pour le reste, Ethan Coen demeure, même sans son frère, un cador en matière de prises de vues et de direction d’acteurs.
Les Fiches du Cinéma
Ethan Coen et sa co-scénariste Tricia Cooke signent un road movie nerveux, drôle et furieusement lesbien, dont on goûtera ou non les outrances.
Les Inrockuptibles
Un film réjouissant, de divertissement, pas le moins du monde prétentieux ni même très beau.
Public
Ce road movie féministe rappelle le film culte Thelma et Louise, le côté pop et loufoque en plus.
Rolling Stone
Jouissif à plus d’un titre, donc…
L'Humanité
Ethan Coen se lance dans la réalisation en solo avec un road-movie mettant en scène deux homosexuelles. Un film qui ne manque pas de verve ni de couleur, mais reste en deçà des œuvres phares qu’il a signées avec son frère Joel.
Le Journal du Dimanche
Traversé de parenthèses psychédéliques, ce road-movie déjanté à l'humour burlesque, impertinent et trash, est un film mineur au regard de la filmographie des Coen, mais on ne boude pas son plaisir.
Les Echos
« Drive-Away Dolls » se laisse regarder sans déplaisir tel un divertissement sans conséquence, mais le spectateur attend inévitablement plus de la part d'un metteur en scène qui, en compagnie de son frère, a ciselé quelques-unes des plus précieuses pépites du cinéma américain des dernières décennies.
Marianne
Si cette série Z fait pâle figure par rapport aux monuments des Coen (Miller’s Crossing, The Barber, Inside Llewyn Davis), elle divertira toutefois les amateurs de comédies régressives.
Télé 7 Jours
Cette comédie sans prétention, mais souvent jouissive, repose également sur son tandem féminin mal assorti, la coincée et la délurée, campées avec délectation par Geraldine Viswanathan et l’actrice montante Margaret Qualley.
Télé Loisirs
Coquin, marrant en diable et psychédélique, ce plaisir de cinéma part un peu dans tous les sens, mais a le mérite d'être court et de faire mouche à chaque scène.
Culturopoing.com
Au final, le film, certes modérément divertissant, se révèle surtout oubliable et frustrant.
Le Dauphiné Libéré
Ethan Coen patine et tourne en rond dans un cercle de l'ennui.
Le Monde
Le film aurait pu avoir le charme du vieux standard qu’on connaît par cœur si Ethan Coen ne s’obligeait pas à donner des gages à un éventuel public féminin et féministe qui le jugerait sévèrement. Entre la nymphomanie et la pruderie excessive, il y a, chez Ethan Coen, comme une impossibilité à produire une image juste des femmes.
Télérama
Quelques scènes cocasses mais le scénario, paresseux, gâche le plaisir.
Cahiers du Cinéma
Les cunnilingus ont bon dos, et Drive-Away Dolls n’a de queer que son sujet.
Critikat.com
Sans queue ni tête, Drive-Away Dolls croule sous les références, voire l’autoréférence, en livrant une caricature défraîchie des comédies comptant déjà parmi les moins inspirées des frères Coen.
L'Obs
Ce serait amusant par moments si ce n’était pas aussi ringard qu’un stoner (ode à la fumette) des années 1990, dont Ethan Coen semble nostalgique. On sait désormais qui est le plus potache des deux frères, pas le plus drôle.
Le Figaro
Bien peu inspiré, Ethan Coen rate sa cible avec ce road-movie lesbien qui provoque un sentiment de déjà-vu.
Le Point
On dirait du Elmore Leonard mais, hélas, sans le cœur ni la mélancolie attachante des personnages.
Libération
Personnages crispants, gags mous, lumière glabre : tout est laid, con et d’un amateurisme à peine croyable.
Ouest France
Une comédie laborieuse.
Première
Depuis que les frères Coen ont décidé de mener des carrières solo, Joel a signé une adaptation très arty de Macbeth, qui manifestait son besoin de changer d’air. Et Ethan, alors ? Désormais associé à sa femme Tricia Cooke, il signe avec Drive-Away Dolls une compilation des pires tics du cinéma coenien.
aVoir-aLire.com
Là où on se réjouissait du retour d’Ethan Coen au cinéma mais sans son frère, ce road-movie érotico-lesbien est tout aussi décevant que vulgaire et sans intérêt.