Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Projet Wolf Hunting prouve que coréen et « gorissime » n’est pas un pléonasme. Ce festival de bastons et de mises à mort brutales combine les deux pour le plus grand bonheur des amateurs d’horreur viscérale.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Série B sans sous-texte politique, ni pluralité des niveaux de lecture, "Project Wolf Hunting" n'est rien de moins qu'un délice orgiaque, qui a toutes les qualités du défouloir du samedi soir, jouant sur la corde raide des excès jusqu’à se changer en une approche radicale de cinéma d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Après The Sadness et Terrifier 2, voici un nouveau splatter movie qui fera la joie des amateurs de films bourrins qui vomissent des hectolitres de sang sur grand écran. Car Projet Wolf Hunting broie du thorax comme personne !
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Certains spectateurs pourraient être outré par cette déferlante jamais vue et s’en détourneraient avec dégoût, ce qui est parfaitement leur droit. Pour d’autres, dont le signataire de ces lignes, ces outrances s’inscrivent dans la vigueur d’une réalisation au cordeau qui va sans faux-semblants jusqu’au bout de son propos.
Le Parisien
par La Rédaction
Cette hécatombe n’est sans doute pas toujours nécessaire, mais elle devient tellement délirante et exacerbée qu’on ne peut que suivre, les yeux écarquillés, alors que le réalisateur nous emmène toujours un cran plus haut dans le stress et l’accélération du rythme cardiaque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
Un nouveau sommet de l’actuelle résurgence du cinéma gore.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Au milieu d’un désordre à première vue conforme aux canons coréens du genre (...), l’inversion renouvelle brillamment l’empathie suscitée d’habitude par les prisonniers d’un guêpier ambulant.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Une élucubration gore un poil répétitive, mais dans la droite lignée des splatter movies les plus bourrins.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Série B presque trop dotée, le film de Kim Hong-seon ne propose rien d’autre qu’un jeu de massacre bête et méchant dans les entrailles d’un navire cargo - une boucherie qu’il exécute avec application. Le nanar idoine pour une sortie entre copains.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le cinéma coréen brille toujours par sa radicalité. Preuve en est avec ce survival en espace confiné qui orchestre un déluge de violence gore et décomplexé, chaotique et jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J.-F. R.
Les débordements gore soulignent la persistance d’une histoire qui ne passe toujours pas, et le cinéma coréen confirme sa capacité à transmuer en objets filmiques extravagants les traumatismes d’un destin national bouleversé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Tout ça pourrait être drôle, malin ou effrayant, mais le film, hélas, ne choisit jamais son camp, bien trop sérieux pour qu’on s’y amuse vraiment et beaucoup trop con pour être pris au sérieux. Reste que ça a au moins le mérite de ne jamais ennuyer – deux heures d’action non-stop, littéralement – et de très largement enterrer niveau maîtrise et savoir faire les récentes tentatives des Américains rayon boucherie [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
Un concentré d’action et de gore qui refuse la chute de rythme, au point d’en devenir parfois un peu épuisant. Mais dans ce registre (de quel registre on parle, au fait ?), on n’a pas vu grand-chose de plus électrifiant depuis bien longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Paris Match
par Yannick Vely
Au début, c'est plutôt plaisant, surtout quand le « monstre » se réveille, mais très vite la lassitude gagne, à mesure que l'hémoglobine coule à flots...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un piètre film d’exploitation qui confond mise en scène avec surenchère et transgression avec barbarie. Débile.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par S.C.
La distribution, paradoxalement excellente, se démène comme elle peut. Reste un mal de crâne inouï, à défaut des frissons attendus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Scénario mal fichu, mise en scène cafouilleuse, personnages absents, sadisme douteux : un festival de mauvais choix au programme de cette série B déconfite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
20 Minutes
Projet Wolf Hunting prouve que coréen et « gorissime » n’est pas un pléonasme. Ce festival de bastons et de mises à mort brutales combine les deux pour le plus grand bonheur des amateurs d’horreur viscérale.
Culturopoing.com
Série B sans sous-texte politique, ni pluralité des niveaux de lecture, "Project Wolf Hunting" n'est rien de moins qu'un délice orgiaque, qui a toutes les qualités du défouloir du samedi soir, jouant sur la corde raide des excès jusqu’à se changer en une approche radicale de cinéma d’horreur.
Filmsactu
Après The Sadness et Terrifier 2, voici un nouveau splatter movie qui fera la joie des amateurs de films bourrins qui vomissent des hectolitres de sang sur grand écran. Car Projet Wolf Hunting broie du thorax comme personne !
L'Ecran Fantastique
Certains spectateurs pourraient être outré par cette déferlante jamais vue et s’en détourneraient avec dégoût, ce qui est parfaitement leur droit. Pour d’autres, dont le signataire de ces lignes, ces outrances s’inscrivent dans la vigueur d’une réalisation au cordeau qui va sans faux-semblants jusqu’au bout de son propos.
Le Parisien
Cette hécatombe n’est sans doute pas toujours nécessaire, mais elle devient tellement délirante et exacerbée qu’on ne peut que suivre, les yeux écarquillés, alors que le réalisateur nous emmène toujours un cran plus haut dans le stress et l’accélération du rythme cardiaque.
Mad Movies
Un nouveau sommet de l’actuelle résurgence du cinéma gore.
Cahiers du Cinéma
Au milieu d’un désordre à première vue conforme aux canons coréens du genre (...), l’inversion renouvelle brillamment l’empathie suscitée d’habitude par les prisonniers d’un guêpier ambulant.
Ecran Large
Une élucubration gore un poil répétitive, mais dans la droite lignée des splatter movies les plus bourrins.
L'Humanité
Série B presque trop dotée, le film de Kim Hong-seon ne propose rien d’autre qu’un jeu de massacre bête et méchant dans les entrailles d’un navire cargo - une boucherie qu’il exécute avec application. Le nanar idoine pour une sortie entre copains.
Le Journal du Dimanche
Le cinéma coréen brille toujours par sa radicalité. Preuve en est avec ce survival en espace confiné qui orchestre un déluge de violence gore et décomplexé, chaotique et jouissif.
Le Monde
Les débordements gore soulignent la persistance d’une histoire qui ne passe toujours pas, et le cinéma coréen confirme sa capacité à transmuer en objets filmiques extravagants les traumatismes d’un destin national bouleversé.
Libération
Tout ça pourrait être drôle, malin ou effrayant, mais le film, hélas, ne choisit jamais son camp, bien trop sérieux pour qu’on s’y amuse vraiment et beaucoup trop con pour être pris au sérieux. Reste que ça a au moins le mérite de ne jamais ennuyer – deux heures d’action non-stop, littéralement – et de très largement enterrer niveau maîtrise et savoir faire les récentes tentatives des Américains rayon boucherie [...].
Première
Un concentré d’action et de gore qui refuse la chute de rythme, au point d’en devenir parfois un peu épuisant. Mais dans ce registre (de quel registre on parle, au fait ?), on n’a pas vu grand-chose de plus électrifiant depuis bien longtemps.
Paris Match
Au début, c'est plutôt plaisant, surtout quand le « monstre » se réveille, mais très vite la lassitude gagne, à mesure que l'hémoglobine coule à flots...
L'Obs
Un piètre film d’exploitation qui confond mise en scène avec surenchère et transgression avec barbarie. Débile.
Le Figaro
La distribution, paradoxalement excellente, se démène comme elle peut. Reste un mal de crâne inouï, à défaut des frissons attendus.
Les Fiches du Cinéma
Scénario mal fichu, mise en scène cafouilleuse, personnages absents, sadisme douteux : un festival de mauvais choix au programme de cette série B déconfite.