Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
On aurait tort de croire qu’« Elaha » se résume à une charge contre l’obscurantisme supposé de la communauté kurde. Au contraire, dans son subtil premier long métrage, Milena Aboyan complexifie le propos avec finesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un premier long métrage touchant, d’une remarquable intelligence surtout, qui vaut autant pour ses qualités d’écriture que pour sa mise en scène maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, Milena Aboyan dresse le portrait d'une jeune fille kurde vivant en Allemagne et décrit son combat contre des traditions rétrogrades. Une découverte.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un plaidoyer éclairant et en finesse appelant à la liberté sexuelle des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Une chronique d’apprentissage bien menée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O’Neill
La structure équilibrée du scénario exclut les coups de théâtre faciles et l'authenticité de la psychologie des personnages permet d'esquiver la caricature.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un premier film habité de la réalisatrice Milena Aboyan, qui défie subtilement le pouvoir patriarcal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Grâce à son sens de la mesure, Elaha propose, loin de toute caricature, une démonstration juste assez féministe pour pousser à une saine désobéissance toutes celles qui veulent s’attaquer à cet ordre social inégalitaire qui, dans tous les domaines, exige toujours plus de perfection de la part des femmes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Le corps féminin est-il prisonnier du regard masculin ? Le patriarcat n’est-il pas un poison ? Porté par l’interprétation lumineuse de Bayan Layla, jeune actrice d’origine syrienne, le film vise à informer, questionner, émouvoir. Mission accomplie, avec grâce.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Dl.
Si la narration reste somme toute assez classique, le film livre une observation fort documentée du commerce qui tire profit du tabou virginal (...) et rappelle en passant l’erreur encore répandue de croire que l’hymen se déchire systématiquement lors du premier rapport sexuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Lucie Chiquer
Ce questionnement sur la virginité et l’oppression se retrouve cici sublimé par une mise en scène incisive : avec ce cadre toujours très serré sur une Elaha suffocante à mesure que la cérémonie approche, le spectateur devient envahisseur de son espace personnel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Mathieu Guetta
"Elaha" n'est pas un film à sujet mais un portrait de jeune femme qui, à travers un récit limpide et sans fard, nous fait comprendre que la domination masculine n'est que médiocrité.
L'Humanité
On aurait tort de croire qu’« Elaha » se résume à une charge contre l’obscurantisme supposé de la communauté kurde. Au contraire, dans son subtil premier long métrage, Milena Aboyan complexifie le propos avec finesse.
Le Journal du Dimanche
Un premier long métrage touchant, d’une remarquable intelligence surtout, qui vaut autant pour ses qualités d’écriture que pour sa mise en scène maîtrisée.
Les Echos
Dans son premier film, Milena Aboyan dresse le portrait d'une jeune fille kurde vivant en Allemagne et décrit son combat contre des traditions rétrogrades. Une découverte.
Les Fiches du Cinéma
Un plaidoyer éclairant et en finesse appelant à la liberté sexuelle des femmes.
Libération
Une chronique d’apprentissage bien menée.
Positif
La structure équilibrée du scénario exclut les coups de théâtre faciles et l'authenticité de la psychologie des personnages permet d'esquiver la caricature.
Télérama
Un premier film habité de la réalisatrice Milena Aboyan, qui défie subtilement le pouvoir patriarcal.
aVoir-aLire.com
Grâce à son sens de la mesure, Elaha propose, loin de toute caricature, une démonstration juste assez féministe pour pousser à une saine désobéissance toutes celles qui veulent s’attaquer à cet ordre social inégalitaire qui, dans tous les domaines, exige toujours plus de perfection de la part des femmes.
L'Obs
Le corps féminin est-il prisonnier du regard masculin ? Le patriarcat n’est-il pas un poison ? Porté par l’interprétation lumineuse de Bayan Layla, jeune actrice d’origine syrienne, le film vise à informer, questionner, émouvoir. Mission accomplie, avec grâce.
Le Monde
Si la narration reste somme toute assez classique, le film livre une observation fort documentée du commerce qui tire profit du tabou virginal (...) et rappelle en passant l’erreur encore répandue de croire que l’hymen se déchire systématiquement lors du premier rapport sexuel.
Première
Ce questionnement sur la virginité et l’oppression se retrouve cici sublimé par une mise en scène incisive : avec ce cadre toujours très serré sur une Elaha suffocante à mesure que la cérémonie approche, le spectateur devient envahisseur de son espace personnel.
Transfuge
"Elaha" n'est pas un film à sujet mais un portrait de jeune femme qui, à travers un récit limpide et sans fard, nous fait comprendre que la domination masculine n'est que médiocrité.