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🎬 RENGER 📼
Jo, une influence, sombre dans la dépression à la suite de son accouchement…
Pour son premier long-métrage, l'actrice Bess Wohl réalise un thriller horrifique qui traite pour sujet principal de la dépression post-partum. On se retrouve confronté à ce couple qui se retrouve jeunes parents. La petite Ruby s’immisce au sein du couple, le père ne semble rien voir venir, tandis que la mère sombre petit à petit. Elle se décourage de ne pas y arriver avec sa fille qui semble pleurer sans discontinuer. spoiler: Entre l’anxiété et l'épuisement, la perception de Jo finit par s’en retrouver dissociée et sombre inéluctablement dans la schizophrénie.
spoiler: Jo est-elle déséquilibrée ou en veut-on réellement à sa fille ?
La réalisatrice parvient à semer le doute chez le spectateur où l’on se retrouve de plein fouet dans un cauchemar éveillé. Baby Ruby (2022) sort des sentiers battus en levant le voile sur un sujet tabou et dont on évite d’aborder le sujet, à savoir la dépression post-partum. La réalisatrice à parfaitement su retranscrire la phase qui suit l’accouchement, le dure retour à la réalité, le regard des autres, les nuits blanches, la peur de ne pas savoir s’y prendre, l’impuissance, l’anxiété et le fait d’être obnubilé par son enfant.
Étant jeune papa, je me retrouve parfaitement dans certaines situations. Bess Wohl a privilégié ici le drame psychologique à l’horreur graphique, dans sa représentation poussée à l’extrême. Côté interprétation, aux côtés de Kit Harington, c’est clairement Noémie Merlant qui porte le film sur ses épaules.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Pour son premier long-métrage, l'actrice Bess Wohl réalise un thriller horrifique qui traite pour sujet principal de la dépression post-partum. On se retrouve confronté à ce couple qui se retrouve jeunes parents. La petite Ruby s’immisce au sein du couple, le père ne semble rien voir venir, tandis que la mère sombre petit à petit. Elle se décourage de ne pas y arriver avec sa fille qui semble pleurer sans discontinuer. spoiler: Entre l’anxiété et l'épuisement, la perception de Jo finit par s’en retrouver dissociée et sombre inéluctablement dans la schizophrénie.
spoiler: Jo est-elle déséquilibrée ou en veut-on réellement à sa fille ?
La réalisatrice parvient à semer le doute chez le spectateur où l’on se retrouve de plein fouet dans un cauchemar éveillé. Baby Ruby (2022) sort des sentiers battus en levant le voile sur un sujet tabou et dont on évite d’aborder le sujet, à savoir la dépression post-partum. La réalisatrice à parfaitement su retranscrire la phase qui suit l’accouchement, le dure retour à la réalité, le regard des autres, les nuits blanches, la peur de ne pas savoir s’y prendre, l’impuissance, l’anxiété et le fait d’être obnubilé par son enfant.
Étant jeune papa, je me retrouve parfaitement dans certaines situations. Bess Wohl a privilégié ici le drame psychologique à l’horreur graphique, dans sa représentation poussée à l’extrême. Côté interprétation, aux côtés de Kit Harington, c’est clairement Noémie Merlant qui porte le film sur ses épaules.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
FaRem
« C'est génial, vraiment. » Quand elle fait part de son expérience d'être maman à une autre mère du quartier, Jo ne semble pas convaincu par ce qu'elle est en train de lui dire. La jeune femme est à bout de nerfs et a du mal à se faire à sa nouvelle vie. Son nouveau quotidien de maman est ponctué par des pleurs, des pleurs et encore des pleurs. Des cris incessants à en devenir folle et c'est peut-être ce qu'elle est en train de devenir, elle qui perd peu à peu le sens de la réalité. Entre la notion du temps qui lui échappe et le sentiment d'être incomprise par son entourage, Jo ne comprend pas ce qui lui arrive d'autant plus que les autres mères du quartier semblent parfaites avec leurs bébés qui ne pleurent jamais, ce qui accentue son anxiété et sa détresse psychologique. "Baby Ruby" est un film sur la dépression post-partum qui utilise les codes de l'épouvante pour créer le doute et nous mettre dans le même état que cette jeune maman qui ne sait plus où se situer. À ce niveau-là, Bess Wohl fait un travail remarquable pour accentuer cette ambiance à la fois pesante et paranoïaque. Noémie Merlant fait quant à elle une très solide performance dans la peau de cette mère totalement exténuée. En somme, un bon drame psychologique.
Un drame post accouchement (sujet rarement évoqué au cinéma) qui tourne au thriller paranoïaque. Les événements sont plutôt mal amenés et l'on a du mal à croire à cette histoire excessive et traumatique. Pour sa première expérience outre Atlantique, N. Merlant est à peine convaincante, le doublage en VF n'est en outre pas fameux. La BA annonçait mieux, le temps est finalement long.
Un bon film sur un sujet jamais traité . Noemie Merlant s’y donne corps et âme. Le film dans taboo va loin. Un bon thriller psychologique
Pour ce qui est du film, vraiment je me suis ennuyé comme un rat mort ! Je n'y ai vu aucun intérêt, j'ai dû faire des sauts pour voir si je me trompais et si la fin avait un truc surprenant, eh bien non... Heureusement, je ne l'ai pas fini ! Par contre, je suis triste pour l'acteur de GOT, de le voir jouer dans des films pareils, c'est un échec, je trouve.
Mais quel ennui! Soporifique à souhait.. 1h34 de gâchée.. j’ai pas trouvé très bien joué et la paranoïa ne prend pas..
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