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Un visiteur
1,0
Publiée le 20 juin 2024
Une pure imitation du mythique "L'équipée sauvage" et même de "Easy rider", tout ça sur des airs de "Sons of anarchy". Malgré un casting intéressant, le film est ennuyant. Un scénario justement rafistoler avec aucune profondeur. Comme si c'était un remake des films cités au dessus.
J’ai été très déçu, c’est un très mauvais film. La bande-annonce laissait penser à une succession de vengeances, de combats à l’arme blanche sur fond de judas priest, de barrouds d'honneur. Au lieu de ça, il n’y a aucun fond musical, on y voit que dépression, et buveurs de bierres, petit Club de mollasson et le couple toxique typique… malgré la prestation brillante de Tom Hardy et de Austin Butler , Ça ne fait pas rire, ça ne veut pas vraiment pleurer non plus… C’est pour cela que la salle de cinéma était vide
Le film est issus du roman d'un journaliste qui a rejoint un club de motards dans les années 60. Le film est une interview. Où suit l'histoire de 3 personnes qui étaient dans les Vandales. J'ai aimé de voir le film sur le monde des motards, ceux qui aime les motards, ils seront content du film. Le casting etait bien. Austin Bluter, Jodi Comer et Tom Hardy forme un bon trio. Ce film nous plonge dans le quotidien d'un groupe de Bikers. J'étais pas déçu du film. J'ai passé un très bon moment.
Des motos, des guerres de clubs et du bad boy à gogo.
L’ambiance biker des années 70 est ici superbement bien retranscrite. On n’a pas affaire à des enfants de chœur qui enfilent des perles. Ici, c’est la loyauté au club, le respect et la communauté qui transpirent dans ce film.
Le récit est construit autour d’une histoire d’amour entre un bad boy des Vandals et une jeune femme, ce qui marque tout du long le contraste et le dilemme entre la raison et la dévotion au club.
Je dois avouer que je ne suis pas trop client de ce genre d’ambiance très « mâle alpha cracra noir sous les ongles » et « macho bourrin », mais le film a au moins cette grande qualité de faire honneur aux motards de l’époque sans pour autant tomber dans des clichés beaufs et dégradants.
Tom Hardy (80 % des gens iront voir ce film que pour lui soyons honnêtes) s’en sort très bien, et ce rôle de bad boy lui va comme un gant. Big up aussi à Austin Butler qui finit d’asseoir son rang de sex-symbol grâce à une prestation très James Dean-esque.
Par contre, je me suis beaucoup ennuyé, avec quelques micro-siestes assez régulières. La faute à beaucoup de passages monotones à rallonge où il ne se passe rien de passionnant.
Le rythme est très lent, ce n’est clairement pas un film d’action, et les motos ne roulent que très rarement, le film se basant plus sur leur philosophie que sur leurs trips.
En bref, un film qui respecte vraiment bien cette culture des clubs de motards de l’époque, mais qui souffre d’un rythme ennuyeux et d’un récit peu passionnant.
Dans un bar de la ville Kathy,jeune femme au tempérament bien trempé, croise Benny qui vient d'intégrer la bande de motards des Vandals et tombe aussitôt sous son charme. À l'image du pays tout entier le gang,dirigé par l'énigmatique Johnny,évolue peu à peu..Alors que les motards accueillent tous ceux qui avaient du mal à trouver leur place dans la société,les Vandals deviennent une bande de voyous sans vergogne.Benny devra choisir entre Kathy et sa loyauté envers le gang.. Tout d'abord je précise que ce film est tiré du livre de photos "The Bikeriders" de Danny Lyon publié en 1967. Le film est basé sur l'interview de Katy (formidable Jodie Corner) et je dois avouer que j'ai trouvé les propos du film assez féministe comparant les motards à des alcooliques pouvant faire preuve de grande violence. Austin Butler (Benny) nous frappe par son iinsouciance tiraillé entre l'amour et ce gang de motards qu'il considère comme sa propre famille. Son visage et son rôle n'est pas sans rappeler James Dean dans La fureur de vivre. Attention The Bikerdiers n'est pas un film d'action mais un drame... Le rythme est assez lent malgré quelques scènes assez violentes.. Mais on ne voit absolument pas le temps passé. À mi-chemin entre l'équipée sauvage et Sons of Anarchy à la sauce Scorsese ce film sent le tabac,le kerozene,le souffre et l'alcool. Tom Hardy (dont c'est l'un des meilleurs rôles) est vraiment impérial et torturé en chef de gang dépassé par les événements après l'arrivée de la viloence post-vietnam et de jeunes avides de pouvoir. Jeff Nichols nous offre encore une nouvelle fois un petit bijou alliant tendresse et violence sur fond de guerre des gang. Les décors,le scénario et la bande son entièrement sixties (The Animals,The Shangri-Las,Aaron Neville,..) sont tout simplement parfaits. Alors enfourchez vos Harley et foncez voir ce The Bikerdiers qui ne vous laissera pas indifférent que vous soyez féru de motos ou pas et dont vous ne sortirez pas indemne.
Emmenés par-là sublime Jodie Comer, ses collègues masculins font le show tout le long de ce film d’époque. Décors et musiques sont bien dans le ton. Motos et violence relatent bien cette période des sixties.
Vous avez aimé "SONS OF ANACHY" & "MAYANS" ??? Alors foncez "BIKERIDERS" et ses Vandals , ça sort du même tonneau de Jack Daniel's !!!! Rien à ajouter ;si on aime les bars enfumés ,les Harleys , le bourbon et les mailloches entre gangs : tout est bon , des acteurs aux images en passant par le scénar !! Joli coup Mr Jeff Nichols!
J’ai vu le film pour la première au Max Linder avec Jeff Nichols qui était là pour l’occasion. J’ai passé un très bon moment ❤️ le film est très beau visuellement, les acteurs sont incroyables et ont rentre complètement dans l’histoire. Jeff Nichols arrive à faire un film violent et tendre à la fois. On prend une grande bouffée de liberté jusqu’à devenir nostalgique d’une époque qu’on n’a jamais connue. Bref foncez au cinéma (sans mauvais jeu de mots)
Un joli retour pour Jeff Nichols que ce The Bikeriders, bien que beaucoup trop sous influences (Les Affranchis, Easy Rider, Sons of Anarchy..) pour pleinement en transcender ces inspirations. Et pourtant, la mayonnaise prend, via une mise en scène inspirée et un excellent casting, détaillant avec amertume le rise & fall de toute une culture émancipatoire en lien avec la moto. Un symbole de liberté également personnifié par le personnage d'Austin Butler (qui est visiblement né pour jouer les crooners bad boys des 60's), rapidement tiraillé entre la raison (sa femme jouée par une Jodie Comer qui roule encore une fois sur l'ensemble de la distribution) et la passion (un Tom Hardy dont ça fait plaisir de voir un certain investissement, chose pas apparue depuis quelques années, même si c'est un peu le festival des accents du Midwest).
Il y a également tout un cast all-star (dont ressortent aisément Norman Reedus et Michael Shannon) donnant corps aux Vandals à travers les années ( de 1965 à1973), avant que le crime et la violence post-Vietnam viennent gangréner le groupe de manière insidieuse, et ainsi amener le côté "gangster story" du film. The Bikeriders passe comme une lettre à la poste, cela aurait pu être un peu plus développé vis-à-vis de certains personnages ou au niveau de quelques ellipses, mais on tient un chouette film (bien que survolé), sans atteindre les hauteurs qualitatives du début de carrière de Nichols.
Film très bien réalisé, vu en avant-première dans le cadre Universal Tour. Le film nous porte le long d’une interview. Laisser vous porter et la magie opérera