Mon compte
    The Bikeriders
    Note moyenne
    3,7
    2410 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Bikeriders ?

    191 critiques spectateurs

    5
    14 critiques
    4
    65 critiques
    3
    73 critiques
    2
    23 critiques
    1
    12 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Mobiedck
    Mobiedck

    4 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2024
    Je dois avouer que j’ai eu très peur au début du film, lorsqu’on nous introduit le personnage de Kathy, de devoir subir 2h de film excessivement testostéroné avec des moteurs qui rugissent, des cigarettes à l’excès, des litres et des litres de bière.
    Et au final, c’est un peu ça The Bikeriders, mais en mieux !
    C’est un film qui se démarque notamment par rapport aux sorties de ces dernières années, on sent que Jeff Nichols a été passionné par son sujet qu’il porte à l’écran sans dispersion et ça fait du bien. Pas de séquences inutiles, niaises ou de scènes érotiques de fan-service. Les dialogues apportent soit quelque chose à l’intrigues, soit servent à relater le quotidien de cette bande de motards de manière plus légère et je les trouve bien écrits.
    Ils sont énoncé par un casting brillant, une variété d’acteurs aux carrières et âges différents mais tous très talentueux, je pense notamment à Tom Hardy qui est génial comme à son habitude et Austin Butler qui pleure assez bien.
    À part ça ce qui fait plaisir c’est le soin apporté au motos dont les bruits de moteurs correspondent au modèles, ce aui est rarement le cas dans les autres films.
    La photographie est vraiment belle et même si les scènes ne sont pas toutes réalistes on en comprend que ce film est un récit et qu au fur et à mesure des années les souvenirs peuvent se modifier, voir être enjolivés.
    Je trouve justement que The Bikeriders montre bien cette évolution des époques et des mentalités, un peu à la manière de Priscillia, mais en beaucoup mieux.
    On a une femme qui nous raconte l’histoire de son compagnon comme dans le film de Sofia Coppola mais cette fois ci l’équilibre entre les deux personnage permet de raconter leur deux histoires en symbiose.
    Même si le scénario est assez plat et que le film frôle le cliché de temps à autre, le résultat est finalement bon.
    françoise Klein
    françoise Klein

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2024
    Bonne surprise, excellents interprètes surtout Tom Hardy ex Peaky Blinder et Jody Comer. On a le temps de s'attacher à des personnages cabossés par la vie.et d'admirer les motos. Ainsi que les muscles de Butler qui fait un mix convaincant d'Elvis et James Dean
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2024
    Plus de 7 ans après son précédent «Loving», Jeff Nichols continue d'explorer et de dépeindre l'Amérique des marginaux, cette fois-ci en focalisant sa caméra sur un club de motards situé dans le Chicago des années 60 et appelé les "Vandals", nous retraçant d'abord son ascension, puis sa transformation progressive (et inéluctable ?) en gang violent et dangereux.

    S'inspirant du livre homonyme du photographe Danny Lyon, l'histoire de ce club de bikers nous est raconté du point de vue de Kathy (Jodie Comer), une jeune femme au caractère bien trempé, tombée amoureuse de l'un de ses membres, l'énigmatique et imprévisible Benny (Austin Butler), allant jusqu'à l'épouser.
    Un mariage qui ne sera pas forcément du goût de tout le monde, en particulier de l'imposant Johnny (Tom Hardy), fondateur et leader du club.
    À qui a-t-il juré fidélité ? À qui doit-il rester le plus loyal ? Telles sont les questions qui taraudent nos protagonistes, alors qu'autour d'eux, les valeurs que portaient les "Vandals" en eux vont peu à peu se perdre.

    Commençant comme un film de bande et basculant petit-à-petit dans le film de gang, Nichols nous dépeint le club fondé par Johnny comme une confrérie, un refuge pour les rejetés, les rassemblant tous sous un même toit, les revêtant tous du même blouson.
    Ensemble, ils ne suivent que les règles de leur club et détonnent clairement dans le paysage conservateur qui les entourent. Libres et sans attaches sur leurs motos, ils ne font pourtant qu'un : s'attaquer à l'un d'entre eux, c'est s'attaquer à tout le groupe.
    Un club qui va gagner en popularité et s'étendre aux quatre coins de l'état, attirant de plus en plus de candidats voulant rejoindre ses rangs à tout prix. De nouveaux adhérents, bien plus fanatiques et violents, qui vont changer pour toujours le visage des "Vandals" et le message qu'ils véhiculaient à leurs débuts.

    Dans la mouvance de «L'Équipée sauvage» (1953), le film rappelle, de par sa narration "rise and fall", la caractérisation de certains de ses personnages et son dispositif scénique (la voix-off très présente), les œuvres mafieuses made in 90's de Scorsese.

    Niveau casting, Austin Butler est toujours aussi charismatique, Tom Hardy en impose en Tom Hardy et Jodie Comer a un jeu (et une voix) trop souvent maniéré pour convaincre comme il faudrait. Le trio est entouré d'une belle galerie de gueules, dont Norman Reedus (tout droit sorti d'un «Easy Rider») et bien évidemment le toujours fidèle Michael Shannon.

    Illustré par une mise en scène classe mais classique et une BO reprenant les standards de l'époque, un film qui se veut sincère dans les thématiques qu'il aborde, mais dont j'ai perçu parfois le côté préfabriqué et trop propre dans son exécution, qui manque de caractère, malgré quelques touches d'émotion par-ci par-là.
    Un film qui déroule son récit comme une moto lancée sur une longue route bien droite : tout roule tranquillement, sans accroc, mais également sans grandes fulgurances ni réels rebondissements.

    Au vu de son sujet et de son univers, un film moins mécanique et moins sage n'aurait sans doute pas fait de mal pour donner à cette histoire l'ampleur qu'elle mérite.
    Une petite déception à mes yeux, et une œuvre plutôt mineure dans la filmo de son réalisateur, devant laquelle je m'attendais à être un peu plus transporté. 6,5/10.
    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 113 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2024
    Franchement belle découverte que ce Bikeriders , qui se veut une sorte d’étude sociologique du milieu des bikers et ce pour le meilleur ! On comprend les personnages, on se prend d’empathie et ce malgré que ce soit de sacrés polissons et il y a une réel montée en puissance tout au long du film qui le rend de plus en plus intéressant. Pas grand chose à en dire, c’est du très bon !
    evariste75
    evariste75

    151 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2024
    Surprise totale, chef-d'œuvre absolu ! Je suis allé à reculons voir ce film au Grand Action le jeudi 20 juin 2024 à 21h dans la salle n°2, fauteuils très confortables... Subjugué par la musique, les motos pétaradantes, l'atmosphère sixties, la beauté des visages, l'émotion... Je sortais d'un film très ennuyeux (the Driver)...
    TA4Néo
    TA4Néo

    50 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2024
    Des motos, des Bad Boys et le club des Vandals contre le reste du monde...
    Une histoire de la naissance d'un club de copains motards qui s'amusaient bien jusqu'à l'arrivée des gangs.
    L'ensemble est assez bien orchestré et très bien joué par un bon casting.
    Quand même quelques longueurs (j'ai regardé l'heure 1x), mais les presque 2h passent bien.
    Winslowleaachy
    Winslowleaachy

    60 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2024
    Je suis rentré totalement vierge dans la salle.
    Je pensais voir un joli road trip avec des Bikers. Et malheureusement ce film ne tient vraiment pas cette possible promesse.
    C’est lent, trop lent, l’on se demande en permanence où l’histoire veut aller et qu’est ce que ce film veut vraiment nous raconter.
    L’on comprend au bout d’un moment que les plus grandes scènes de routes étaient dans les 15 premières minutes, et le reste du film est pourrait on dire, une histoire de bars.
    Cela boit et fume beaucoup. Il y a pas mal de moment « attitudes de poseurs ». Quelques maigres anecdotes de vies et récits dont la meilleure est peut-être le moment « Michael Shannon.
    Mais sinon, pfff, c’est terriblement plat.
    Rien de mauvais, mais rien d’intéressant non plus.
    Si vous aimez les seventies, vous en verrez des bribes. Si vous aimez les motos, vous en verrez aussi des bribes, et pour ce qui est du Road Trip il n’y a quasiment rien.
    Un film trop resserré sur des personnages dont le plus intelligent serait un bourru Tom Hardy à voix nasillarde.
    C’est dire.
    Et puis qu'est-ce que ça manque de punch et de vie au niveau de la photo.
    Guigui Paul
    Guigui Paul

    5 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 juin 2024
    Je ressors de la séance, je m'y suis ennuyé du début à la fin. Un film peu incarné, au scénario peu consistant. C" est mou, redondant, la vie et la mort de ces bikers n'impliquent pas le spectateur. L'"ouverture sur fond de Steppenwolf d'"Easy Rider" a plus de vie et d'ampleur que ces presque deux longues heures de "The Bikeriders"!
    selenie
    selenie

    6 206 abonnés 6 177 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2024
    On pense surtout et logiquement à la référence ultime, "L'Equipée Sauvage" (1953) de Lazslo Benedek avec Marlon Brando mythe du Blouson Noir des fifties qui est clairement cité dans le film. La référence est logique autant sur la thématique que sur l'influence "historique" qu'a pu avoir ce film sur la génération des sixties. Tom Hardy reste un bad guy toujours solide et Austin Butler finit d'imposer son sex appeal en renvoyant à James Dean juste après avoir été "Elvis", la classe ! Entre eux n'oublions pas une Jodie Comer sublime et divine et surtout faussement ingénue. Le contexte géo-politique reste par contre un peu trop survolé, se résumant justement au retour du Viêtman alors que les sixties aux Etats-Unis restent sans doute la décennie la plus passionnante. Par là même on est un peu déçu par la B.O., quasi inexistante elle aurait permis de participer à un rythme plus soutenu. Jeff Nichols signe une chronique mécanique dont la dimension icônique fascine assez pour passer un très bon moment cinéma.
    Site : Selenie.fr
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2024
    Kathy (Jodie Comer) raconte son histoire : comment elle a rencontré Benny (Austin Butler), un chien fou, membre d’un club de motards, les Vandals, dirigé par Johnny (Tom Hardy), comment elle en est tombée follement amoureuse et s’est immédiatement mariée avec lui, quelle vie ils ont menée ensemble tandis que les "Vandals" évoluaient pour le meilleur et pour le pire.

    Jeff Nichols revient. On n’avait plus vu ce réalisateur prometteur ("Take Shelters", "Mud", "Loving", "Midnight Special"…) depuis plus de huit ans. Il choisit d’adapter un célèbre album de photographies publié en 1968 par Danny Lyon qui s’était immergé pendant quatre années dans un groupe de motards, les "Outlaws" de Chicago et y avait pris des clichés iconiques.

    Plane sur "The Bikeriders" la double ombre tutélaire de "L’Equipée sauvage" et de "Easy Rider", auquel d’ailleurs il adresse deux clins d’oeil obligés. Comme eux, "The Bikeriders" raconte la vie d’une bande de motards. Nous sommes dans le Midwest, près de Chicago, dans les années soixante.

    "The Bikeriders" vaut surtout par ses personnages. L’action nous est racontée par les yeux de Kathy, introduisant un peu de female gaze dans une histoire masculine à 100 %. On pourrait penser que son héros est l’amoureux de Kathy, Benny, mélange sexy en diable de James Dean et de Brad Pitt. Mais Tom Hardy réussit à lui voler la vedette. Je suis un fan inconditionnel de cet acteur qu’on voit depuis plus de vingt ans dans tellement de grands films ("Inception", "The Dark Knight Rises", "The Revenant", "Dunkerque"….) mais qui n’a pas encore décroché les récompenses et le statut de star qu’il mérite amplement. Il est magnétique ici, dans le rôle mutique du chef de bande, dont on se demande tout du long si c’est un psychopathe égocentrique ou un leader charismatique.
    L’entourent des gueules impossibles de losers magnifiques, qui sentent la transpiration et l’huile de moteur. parmi eux on reconnaît Michael Shannon, l’acteur fétiche de Jeff Nichols qui a joué dans tous ces films. Il interprète ici Zepco, un improbable Letton qui, dans un accent à couper au couteau, profère quelques aphorismes définitifs.

    "The Bikeriders" aurait pu se borner à décrire cette galerie de personnages hauts en couleurs. Mais il n’oublie pas de raconter une histoire. L’histoire a pour toile de fond l’Amérique profonde à la fin des années soixante, la guerre du Vietnam et ses soldats perdus qui en reviennent déconstruits, la montée de la violence, de la consommation des drogues les plus diverses, de la dérive des clubs de motards vers le banditisme…. Johnny, le chef des Vandals, en est, je l’ai dit, la figure principale. Mais j’en ai déjà trop dit….
    garnierix
    garnierix

    230 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2024
    C'est loin d'être "un film de motards". C'est plus un film d'amour. Et autant un film sur l'amitié. Il y a beaucoup d'émotion. C'est aussi un film avec des messages auxquels on ne s'attend pas vraiment. Le film questionne sur le bonheur. Sur l'histoire, il nous pousse à croire qu'après l'âge d'or (des seventies et des bikers), c'est le gang qui domine (lequel naît à partir d'un acte de lâcheté). On nous montre aussi un biker qui parle de destin (sans le nommer) : "ça devient toujours ce que ça doit devenir" (à moins qu'il ait dit "on devient toujours ce qu'on doit devenir")...

    Si vous n'êtes pas très très fluent en anglais, mieux vaut le voir en VF, car les dialogues sont des dialogues de dingues, sauf Austin Butler (qui n'a que sa gueule d'ange pour causer) et Tom Hardy (qui joue son Parrain à lui et qui dit tout en deux mots). Et sauf la fille, qui est donc l'héroïne et aussi celle qui narre le film du début à la fin. Ces dialogues restent l'intérêt du film car il n'y a pas d'histoire (à proprement parler). Ils sont ce qui nous reste comme histoire : des bribes d'événements qui n'en sont pas, du genre "j'aime bien être sale, j'adore avaler les mouches" (mais ce n'est pas suivi d'un discours sur l'hygiène, la gastronomie ou l'entomologie).

    L'hystérie (ou le délire) des bandes fait d'ailleurs penser à une cour d'école à la récréation, avec des enfants qui crient, des enfants en construction, d'autres déjà en ruines, et où le monde des adultes semble absent. La liberté, la rébellion, s'exprime dans ces cours d'école, bien protégées du monde extérieur, et où l'on voit naître les dictatures (tiens ! comme par hasard).

    L'hubris (ivresse du pouvoir) vs le rebelle éternel ?

    Mais quand ces enfants sont des adultes bien mûrs, comme ceux du film, rebelles et libres (selon eux), et qu'on entend la musique du film qui joue "I feel free" de Cream (1966), on ressent une réelle tristesse, en même temps qu'un désarroi. Désarroi comparable à ce que peut ressentir la mère d'un fils cocaïnomane, ou à ce que ressent l'héroïne du film disant dès le départ "ça peut pas être de l'amour, ça peut être que de la bêtise".

    La question pour chacun des personnages est la même : est-on heureux ? Le réalisateur ne la pose pas d'ailleurs, il s'y prend autrement. Quand le motard à la gueule d'ange esquisse un sourire (enfin !) à la toute dernière seconde du film, on se demande vraiment s'il est heureux comme elle le prétend.

    A.G.
    Cool_92
    Cool_92

    285 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2024
    Une réussite, tant du point de vue de la mise en scène, que du scénario et des acteurs. La photographie est magnifique. L'interprétation de Jodie Comer et de Tom Hardy surpassent celle de leur camarade. Je suis un peu plus mitigé sur le jeu lisse au possible de Austin Butler. La trame est certes classique mais c'est plutôt un beau moment de ciné à mi-chemin entre Sons of Anarchy et les Affranchis.
    tom_trailer
    tom_trailer

    13 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2024
    The Bikeriders est un petit bijou de cinéma américain ! La mise en scène immersive de Jeff Nichols, le talent de ses acteurs (Tom Hardy et Austin Butler sont bouleversants et crèvent l'écran) et la photo subliment le propos du film, dont les thématiques font écho à travers chacun d'entre nous (le sentiment d'appartenance, l'acceptation par une communauté, l'amour que l'on porte à autrui et à soi même). J'en suis sorti submergé d'émotions.... à voir absolument ! Un des meilleurs films de 2024.
    traversay1
    traversay1

    3 554 abonnés 4 847 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2024
    Jeff Nichols nous a fait lanterner 8 ans depuis le sublime Loving et on ne l'attendait certainement pas à la réalisation d'un film décrivant les us et coutumes d'un gang de motards, de la fin des années 60 au début de la décennie 70. Rien à redire sur la reconstitution d'époque, rutilante, ni sur l'entame, astucieuse, avec un regard de femme (excellente Jodie Comer) pour raconter la saga de ces princes du bitume, rouleurs de mécaniques, dans les différentes acceptions de l'expression. Entre beuveries, chevauchées et bagarres, The Bikeriders affiche sans trop d'imagination et avec un rythme tout confort,une poignée de péripéties qui mèneront ce club d'abord assez privé vers un changement de nature, comme si le rêve américain de liberté se fracassait sur la dure réalité de l'après-Vietnam. Malgré l'abattage de Tom Hardy et la présence de quelques rôles secondaires forts en gueule, l'ensemble s'avère finalement assez sage, avec l'ombre de L'équipée sauvage et de Easy Rider qui le surplombe. Aucun des films de Jeff Nichols n'avait donné jusqu'alors ce sentiment presque neutre d'une œuvre charriant aussi peu d'émotion. La chronique sociale n'est pas si mal vue mais le côté mythique ou légendaire n'est pas à la hauteur des ambitions.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    764 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2024
    J'ai beaucoup aimé ce coup de projecteur sur les clans de motards des années 1960 aux Etats-Unis !
    Nous allons suivre les Vandals, fondé par Johnny (incarné par un excellent Tom Hardy), à l'intérieur duquel un couple va se former : Benny (l'électrisant Austin Butler) et Kathy (la délicieuse Jodie Comer).
    Le scénario est bien pensé : l'histoire est en fait racontée à postériori par Kathy à un jeune étudiant désireux de mieux connaître l'histoire de cette bande de blousons noirs motorisée.
    Un long-métrage de bonne facture superbement interprété et très bien réalisé.
    Séduisant !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top