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    The Bikeriders
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    191 critiques spectateurs

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    FaRem
    FaRem

    8 637 abonnés 9 523 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juillet 2024
    D'un club de passionnés de motos, Johnny en a fait un gang de motards qui ne cesse de gagner en influence et de se développer dans tout le pays. En adaptant le livre d'un photographe qui a suivi une bande pendant près d'une décennie, Jeff Nichols raconte la trajectoire de ce club et de ses membres. Des personnalités différentes, dont des gens rangés, qui s'affranchissent des lois une fois ensemble. On suit principalement Johnny, le chef, et Benny, le solitaire, le tout raconté par la petite amie de ce dernier, qui est incarnée par une géniale et drôle Jodie Comer. Un film nostalgique sur la fraternité, la solitude, le désœuvrement avec des personnages confrontés à une culture de la violence. Cependant, et ce malgré quelques bagarres et règlements de compte, il ne s'agit pas d'un film de gangsters. Il y a un basculement, mais le virage est pour ma part mal amorcé. Et Benny est d'accord quand il demande s'ils sont "vraiment ce genre de club". Si cette façon de vivre, qui est plus qu'une passion, est bien retranscrite, je trouve que le scénario manque d'éléments concrets. Ça reste pas mal, esthétique et bien joué, mais le développement de l'histoire et des personnages m'a laissé sur ma faim.
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2024
    Jeff Nichols a pris son temps pour nous revenir avec un nouveau long métrage. Ce dernier est dédié aux clubs/gangs de bikers et est tiré d’un livre relatant la fondation des Outlaws MC.
    Au programme donc : de belles bécanes, une bonne bande son bien rock, ce qu’il faut de testostérone et ungrain d’image rappelant le cinéma des années 60/70.


    En terme de réalisation et de mise en scène, le cinéaste nous en met plein les yeux et fait montre d’un talent et d’une maturité qui s’est bien développés depuis ses films précédents.
    Du lourd côté casting avec une mention spéciale pour Tom Hardy.
    Excellente bande musicale.


    Ma réserve viendrait plutôt de la narration. Ce faux aspect documentaire avec les passages en interviews ont, à mon sens, alourdis le récit et casser l’immersion. Du coup, certaines scènes perdent de leur efficacité. Dommage.


    Un bon retour tout de même. Techniquement excellent, « The Bikeriders » fait partie des trop rares film à aborder l’univers des MC. Inutile de bouder notre plaisir.
    Alasky
    Alasky

    348 abonnés 3 397 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2024
    Je n'irai pas jusqu'à dire que ce film est mauvais, mais alors c'est creux et insignifiant, vide de sens au niveau du scénario, pas terrible au niveau des images, lisse et prévisible au niveau du récit et de la mise en scène. Perte de temps pour ma part, film aussitôt vu aussitôt oublié.
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2024
    Plus de 7 ans après son précédent «Loving», Jeff Nichols continue d'explorer et de dépeindre l'Amérique des marginaux, cette fois-ci en focalisant sa caméra sur un club de motards situé dans le Chicago des années 60 et appelé les "Vandals", nous retraçant d'abord son ascension, puis sa transformation progressive (et inéluctable ?) en gang violent et dangereux.

    S'inspirant du livre homonyme du photographe Danny Lyon, l'histoire de ce club de bikers nous est raconté du point de vue de Kathy (Jodie Comer), une jeune femme au caractère bien trempé, tombée amoureuse de l'un de ses membres, l'énigmatique et imprévisible Benny (Austin Butler), allant jusqu'à l'épouser.
    Un mariage qui ne sera pas forcément du goût de tout le monde, en particulier de l'imposant Johnny (Tom Hardy), fondateur et leader du club.
    À qui a-t-il juré fidélité ? À qui doit-il rester le plus loyal ? Telles sont les questions qui taraudent nos protagonistes, alors qu'autour d'eux, les valeurs que portaient les "Vandals" en eux vont peu à peu se perdre.

    Commençant comme un film de bande et basculant petit-à-petit dans le film de gang, Nichols nous dépeint le club fondé par Johnny comme une confrérie, un refuge pour les rejetés, les rassemblant tous sous un même toit, les revêtant tous du même blouson.
    Ensemble, ils ne suivent que les règles de leur club et détonnent clairement dans le paysage conservateur qui les entourent. Libres et sans attaches sur leurs motos, ils ne font pourtant qu'un : s'attaquer à l'un d'entre eux, c'est s'attaquer à tout le groupe.
    Un club qui va gagner en popularité et s'étendre aux quatre coins de l'état, attirant de plus en plus de candidats voulant rejoindre ses rangs à tout prix. De nouveaux adhérents, bien plus fanatiques et violents, qui vont changer pour toujours le visage des "Vandals" et le message qu'ils véhiculaient à leurs débuts.

    Dans la mouvance de «L'Équipée sauvage» (1953), le film rappelle, de par sa narration "rise and fall", la caractérisation de certains de ses personnages et son dispositif scénique (la voix-off très présente), les œuvres mafieuses made in 90's de Scorsese.

    Niveau casting, Austin Butler est toujours aussi charismatique, Tom Hardy en impose en Tom Hardy et Jodie Comer a un jeu (et une voix) trop souvent maniéré pour convaincre comme il faudrait. Le trio est entouré d'une belle galerie de gueules, dont Norman Reedus (tout droit sorti d'un «Easy Rider») et bien évidemment le toujours fidèle Michael Shannon.

    Illustré par une mise en scène classe mais classique et une BO reprenant les standards de l'époque, un film qui se veut sincère dans les thématiques qu'il aborde, mais dont j'ai perçu parfois le côté préfabriqué et trop propre dans son exécution, qui manque de caractère, malgré quelques touches d'émotion par-ci par-là.
    Un film qui déroule son récit comme une moto lancée sur une longue route bien droite : tout roule tranquillement, sans accroc, mais également sans grandes fulgurances ni réels rebondissements.

    Au vu de son sujet et de son univers, un film moins mécanique et moins sage n'aurait sans doute pas fait de mal pour donner à cette histoire l'ampleur qu'elle mérite.
    Une petite déception à mes yeux, et une œuvre plutôt mineure dans la filmo de son réalisateur, devant laquelle je m'attendais à être un peu plus transporté. 6,5/10.
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2024
    Jeff Nichols a puisé son inspiration à travers les travaux d'un photographe qui a accompagné un groupe de bikers du milieu des sixties jusqu'au début des seventies, certainement l'âge d'or de ce mode de vie. cela se ressent, Nichols donne une dimension mythologique à ces personnages, dans une mise en scène belle et posée, mais à plus de mal à leur donner vie. Même s'il y a une vrai ambiance, il y a un côté appliqué qui empêche le film de prendre une dimension supplémentaire. Le fait d'avoir construit le film en flash back, avec le recul des années empêche peut-être une plus geande immersion En l'état cela reste très bon, avec des acteurs convaincants, une réflexion sur l'individu a l'intérieur du groupe, l'amitié, la loyauté dans un système qui dérive. Jeff Nichols s'est toujours intéressé à la norme tout au cours de son œuvre, on trouve cela encore dans ce film réflexif et iconique sur les bikers américains
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2024
    Jeff Nichols a un peu tardé à revenir mais il demeure un grand cinéaste de l'Amérique profonde. Son cinéma est classique tant narrativement qu'esthétiquement dans le bon sens du terme. Film de bikers, de gang, d'amitiés viriles et touchantes, the bikeriders est un beau voyage dans les années 60-70 , c'est un film qui esquisse de beaux portraits, les personnage secondaire étant aussi travaillés que les autres, Michael Shanon a peu de scènes mais est formidable. La beauté à la James Dean d'Austin Butlet face au charismatique Tom Hardy, qui évoque le Marlon Brando de l'équipée sauvage , sans oublier Jodie Comer qui réussit pleinement à exister dans ce monde d'hommes, the bikeriders est un films d'acteurs. Nichols s'il livre peut-être son film le plus grand public, continue de faire du beau et noble cinéma. Un peu comme les films de James Gray, les œuvres de Nichols sont des petits bijoux ciselés faussement académique d'une grande sensibilité.
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juillet 2024
    Un film original de notre temps et nostalgique des années 60/70 dans le monde des motards rebelles qui sillonnent les routes des Etats-Unis entre gangs rivaux, bagarres, alcools, mais aussi amitié entre passionnés de grosses bécanes et de liberté. La mise en scène et le scénario sont signé Jeff Nichols qui fait une œuvre maîtrisée du début à la fin et cela fait énormément du bien de voir le cinéma Américain actuel, bouffé de Reboots et Marvel, faire quelques fois des longs métrages comme ici le très réussi "The Bikeriders" . Je mets le maximum, c'est assez rare dans les films récents sortant en salles, mais j'ai pris un pied devant cette adaptation d'un livre avec récits et photographies, qui doit être passionnant, décrivant un groupe de motards dont la narratrice est une femme de mode 60's amoureuse d'un motard rebelle qui aime sa moto, ses copains et elle, un personnage qu'on remarque par sa silhouette et son allure silencieux, celui ci est incarné par le grand espoir Austin Butler remarquable et sa compagne joué par la superbe Jodie Comer. Tom Hardy est impressionnant de carrure et compréhensible envers ses camarades de routes.en chef de gang. Les motards se sont inspirés du film "L'équipée sauvage" avec le mythique Marlon Brando et j'ai pensé au cinéma de Francis Ford Coppola avec entre autres "Outsiders" et "Rusty James" , des films cultes de mon enfance auquel j'ajoute le même adjectif pour "The Bikeriders". Merci Jeff Nichols !.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    691 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2024
    Comme d'habitude, Jeff Nichols frappe très fort avec The Bikeriders. Un film parfaitement maîtrisé, qui parle d'amour, de liberté, de loyauté, dans une ambiance passionnante, et une mise en scène en apesanteur qui emprunte parfois à Quentin Tarantino.
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    C'est assez fort d'embarquer le spectateur dans un univers qui ne l'attire pas de prime abord. L'univers des motards tatoués en blousons noirs qui vivent en marge de la société n'est pas le plus porteur mais on rentre dedans malgré tout grâce à son casting et sa réalisation de qualité.
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 257 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2024
    Jeff Nichols s'attache à un pan de la mythologie du motard américain, il propose un film sobre et sensible sur une masculinité libre et toxique (car décrit avec un regard féminin). Le film tire d'un album de photos se regarde avec le même enthousiasme, grâce à un casting parfait (Tom Hardy trouve enfin un rôle à sa taille, Austin Butler est le nouveau James Dean et mange la pellicule, et Jodie Comer est toute en fantaisie décalée et amour transi). Un grand et beau film.
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2024
    Un étudiant en photographie, inspiré du photographe Danny Lyon, au milieu des années 60, suit une bande de motards, les Vandals de Chicago, dans le but de rédiger un livre. Quelques années plus tard, le photographe retrouve Kathy (Jody Comer), la femme d'un des bikers, Benny. Celle-ci lui raconte l'évolution du groupe.

    Le film commence quand Benny consomme dans un bar sans avoir "retiré ses couleurs", il se fait agresser par des clients.

    Avec le récit de Kathy, et le regard du photographe, Jeff Nichols offre une chronique passionnante, une histoire d'amour touchante et une belle galerie de portraits d'un groupe de motards créé par Johnny (Tom Hardy). spoiler: Ces hommes rejoignent le groupe, pour "appartenir à quelque chose". S'ils n'obéissent pas aux règles de la société, ils se plient à celles du groupe jusqu'à parfois remettre l'autorité de Johnny en cause. Ces bikers ont aussi un code de l'honneur qui commence à se déliter au moment de la guerre du Viet Nam, un tournant, aussi lorsque les Vandals deviennent de plus en plus nombreux.


    J'ai malheureusement vu le film en VF. Malgré tout j'ai apprécié l'ambiance de cette vie marginale, les gros plans sur les visages expressifs, la reconstitution des années 60 avec les motos et les voitures, l'histoire entre Benny et Kathy. spoiler: Ce n'est pas un film de course poursuite à la Mad Max. Jeff Nichols met l'accent sur la communauté et les liens qui unissent ses fondateurs.


    Mon blog : larroseurarrose.com
    Corinne76100
    Corinne76100

    44 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2024
    Très bon film, l'histoire est racontée de façon originale par le biais de la femme du héros. La bande originale est parfaite. On est tout de suite happé par l'histoire.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    159 abonnés 1 510 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juillet 2024
    “The Bikeriders”, une anthologie par Nichols

    Jeff Nichols a toujours écrit et réalisé des films sur les relations paternels ou plus largement familiales comme avec “Midnight Special” et “Shotgun Stories”. Ce film ne déroge pas à la règle car il évoque cette fois-ci les thèmes de la famille de substitution.

    Concrètement, Jeff Nichols opte pour une mise en scène journalistique pour raconter son histoire. Vraisemblablement adapté d’un livre, le film se place sous l’égide d’une enquête ou d’une longue interview d’une protagoniste. La concernée nous raconte sa vision de façon prenante avec un excellent sens du suspens et de la narration. La mise en scène est dans une corrélation parfaite entre sa façon de raconter les choses et sa façon de le montrer au vu du point de vue de l'investigation.

    Cependant, l’histoire en elle-même traite une très longue période. Cela a pour conséquence d’avoir de nombreuses intrigues et le scénario peut se perdre dans de nombreux éléments proposés. Par ailleurs, les protagonistes (aussi nombreux soient-ils) ont chacun un développement correct, complet et intéressant.

    Effectivement, l’intérêt est vraiment puissant et présent tout au long du film. La réalisation est investigative et le scénario traite d’une communauté qui a le mérite qu’un Jeff Nichols jette son dévolu sur eux.

    Jeff Nichols a toujours eu comme thème sous-jacent la famille et les conflits familiaux ; ici, il reste sur une lancée qu’il maîtrise et qu’il nuance.
    Jipéhel
    Jipéhel

    58 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juin 2024
    Western sur bitume

    Jeff Nichols est un des nouveaux réalisateurs américains – 45 ans aujourd’hui -, que je suis avec le plus d’intérêt depuis 2011 et son formidable Take Shelter. Depuis il ne m’a jamais déçu avec, Mud, Loving, et Midnight Spécial qui remonte à 2016… depuis plus rien, Heureusement il nous revient avec ces presque deux heures pétaradantes, violentes et… géniales. Dans un bar de la ville, Kathy, jeune femme au tempérament bien trempé, croise Benny, qui vient d’intégrer la bande de motards des Vandals, et tombe aussitôt sous son charme. À l’image du pays tout entier, le gang, dirigé par l’énigmatique Johnny, évolue peu à peu... Alors que les motards accueillaient tous ceux qui avaient du mal à trouver leur place dans la société, les Vandals deviennent une bande de voyous sans vergogne. Benny devra alors choisir entre Kathy et sa loyauté envers le gang. Je rassure – ou je déçois – les grands amateurs de grosses cylindrées, ce n’est pas un film de motards, mais un film d’amour qui questionne sur le bonheur, l’amitié au son du rock’n roll – Cream, Stones, The Shangri-Las -. Ce drame s’avère être moins un film de route que de bars, de parkings et de pique-niques où l’on stagne, enivré et à moitié amorphe… désespéré et pourtant superbe !
    Le film s'inspire du livre de photos et d’entretiens du même nom, publié en 1967 par Danny Lyon. Cette histoire est donc vraie et on peut noter que le gang existe toujours, et qu'il reste l'un des rivaux des célèbres Hell's Angels. Je ne pensais pas pour voir me passionner pour une intrigue se déroulant dans ce milieu des motards. Mais c’est la magie de Jeff Nichols, qui sait raconter des histoires, créer une atmosphère, creuser jusqu’au tréfonds de l’âme humaine et nous emporter dans des univers qui ne sont pas les nôtres. Avertissement : il faut absolument voir ce film en VO… ah cet accent du Middle-West ! On pense irrésistiblement à L’équipée sauvage, Les Affranchis ou à Easy Rider. Certes. Mais il y a un plus : la patte de Nichols qui parvient à donner un accent féministe à ce drame testostéroné et pétaradant. Ce n’est pas là sa moindre qualité, car, paradoxalement, tout est beau dans ce film crasseux, poisseux et sanglant, faisant de deux heures, une exploration exaltée et nostalgique d’une page de la mythologie américaine. Cinéaste et conteur à la fois, il nous propose son film sans doute le plus inconfortable, ce qui ne retire pas une once à sa magie.
    Austin Butler, après ceux du King Elvis, endosse les blousons élimés du gang des Vandals avec une belle présence à la James Dean. Jodie Comer, magnifique, - elle crève l’écran -, est la caution féminine de ce film d’hommes où l’on croisent encore l’excellent Tom Hardy, en « bête sauvage » digne de Scorcese, l’incontournable Michael Shannon, qui en est à son 6ème film avec Nichols, ou Norman Reedus, et pas mal d’autres auxquels l’équipe de maquillage et les costumiers se sont ingéniés à donner des silhouettes et des tronches incroyables… une pleine réussite. Lyrique, captivant, mélancolique, sauvage, tragique, un film de bande comme on voit peu. Un des plus beaux films américains de 2024 !
    Albert
    Albert

    9 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2024
    On passe un bon moment, après c'est vraiment le film pour garçon de base, une très bonne VF en tout cas !
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