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    The Bikeriders
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    191 critiques spectateurs

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    Alolfer
    Alolfer

    127 abonnés 1 147 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2024
    Une surprise total ! Jeff Nichols réalise un film, qui brise les codes des clubs de motards. C est même le film "anti". Plaisant de voir l'évolution du film avec un casting 5 étoiles. (On veut voir Tom Hardy plus souvent dans ce genre de rôle). Austin Butler continue les bons choix de carrière ainsi que l'étoile montante Mike Faist. Sous côté
    Caro Cinéma
    Caro Cinéma

    32 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Un film plus documentaire,
    l'univers des bikers est là
    et certaines scènes sont visuellement bonnes
    avec un jeu juste des acteurs
    mais cela manque vraiment de vibrant...
    Shawn Atreides
    Shawn Atreides

    11 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2024
    Il faut parler de Jeff Nichols.

    Il faut parler de The Bikeriders.

    Avec sa courte mais incroyable filmographie, Jeff Nichols a su prouver en 6 films seulement, qu'il était un véritable artisan du détail. Il s'infiltre d'abord pour mieux faire un pas de côté ensuite et ainsi observer son objet d'étude avec le plus de hauteur possible.

    Façonneur de nuances, il cherche à dénicher l'extraordinaire dans l’anti-spectaculaire, le détail dans la l'abondance, le silence dans le brouhaha. Pour lui, la violence n'empêche pas le lyrisme et la simplicité n'exclut jamais la complexité. L'essentiel est ailleurs. Dans ces histoires et personnages oubliés. Il regarde frontalement cette autre Amérique, celle qu'il connaît le mieux, lui-même né et citoyen de l'Arkansas. L'Americana n'est plus simplement un genre cinématographique, mais bien une composante centrale de sa vie et de son œuvre.

    Avec des alliés comme son ami David Gordon Green, ils sont les véritables relais de réalisateurs du mid-west, et participent à faire l'émergence dun nouveau pôle cinématographique Américain, à mi-chemin entre Los Angeles et New York.

    Profondément humain, tout son début de carrière soulignait en sous-texte les craintes qui pavaient son existence : trouver sa voie, être un bon mari puis un bon père de famille.

    Même s'il reste cohérent, il aborde sans fard des thématiques et styles variés : Du road-movie, en passant par le drame, le fantastique ou encore la science-fiction.

    Mais alors qu'en est-il de The Bikeriders ?

    Habitué et admirateur du travail de Nichols, lorsque le générique est apparu, j'avais l'intime conviction d'avoir vu un bon film, mais également un sentiment de trop peu. J'ai donc laissé cogiter tout cela. Le lendemain, avant de dormir, je me suis adonné à l'un de mes exercices préférés : je me suis repassé en tête les images offertes par le film.C'était bien là un pur film de Nichols.

    Si le 𝐬𝐡𝐨𝐰 𝐝𝐨𝐧'𝐭 𝐭𝐞𝐥𝐥 est un élément capital de tout bon film de cinéma, le "Show" ne doit en aucun cas rogner l'espace alloué à l'esprit et l'imaginaire :

    Derrière cette impression de trop peu, se cache en réalité la plus grande qualité du film : celle de ne justement pas trop en faire, de ne pas tout montrer, de ne pas tout sur-expliquer ; en un mot, la retenue. La simplicité de l'histoire, en apparence, laisse rapidement place à un nombre d'éléments et de thématiques fortes :

    spoiler: - Parler du sentiment d'ennui et d'abandon d'une population perdue et sans objectifs précis. - Le fait de sceller l'unité et la force d'appartenance à quelque chose qui nous dépasse par le nombre avec la création du club de moto (purement ludique dans un premier moment). La groupe vaut alors plus que la somme d'individus fragiles et peu téméraires. - Choc de classe et choc des cultures entre marginaux laissés pour compte d'un côté et les personnes éduquées de l'autre. - La puissance et l'ampleur que peut prendre une idée lorsqu'elle devient un but, un mouvement, personnifiée par un leader charismatique : Une idée qui peut même nous faire tomber amoureuse d'un mode de vie résolument différent. - Puis la chute, via la perte de contrôle, lorsque la bête déborde de sa cage. On découvre alors les limites, lorsqu'on touche le feu d'un peu trop près : La terrible scène dans laquelle Kathy échappe au viol collectif, in extremis. - L'insurrection qui guette toute société dans la société, qui sous couvert de liberté absolue, se voit devenir incontrôlable : Le jeune indomptable ira jusqu'à tuer son idole, assoiffé d'une quête de pouvoir et d'identité. Il avait déjà prouvé sa non-loyauté après avoir abandonné ses camarades à la première occasion lui permettant de rejoindre les Vandals. - La place d'une femme forte et celle du couple dans le collectif : à qui offrir son allégeance ? Le mentor ou l'épouse ? - Le questionnement intérieur ultime : qu'est ce qui pourrait éteindre sur commande, la flamme qui anime chaque particule d'un être (ce sublimissime et équivoque échange de regards final du couple, surplombé par le vrombissement des motos).


    Voila une liste déjà bien longue, mais ce sont autant d'éléments qui prouvent toute la richesse thématique du film. Toute surenchère aurait pu mettre en péril la bonne tenue du film, et aurait trop lorgné du côté du maître Scorsese.

    Nichols réussit alors son pari, en s'emparant des codes du film de gang, déploie la chute du héro tout en gardant ses obsessions, son style et sa vision, bref, la marque des grands cinéastes.

    On aurait pu attendre autre chose, mais cela aurait été un autre film. Au final, j'aime cette proposition, dont le dosage en fait un film unique.

    La seule chose que j'aurais faite différemment : spoiler: J'aurais laissé couler les larmes de Benny, face caméra dans le bar et non dans les bras de sa femme, pour montrer que même en public, il fallait bel et bien un drame pour percer cette carapace.


    Le casting est remarquable, Butler, Comer, Hardy en tête : L'acting, et le jeu sur les accents est impeccable. On y retrouve aussi (pour mon plus grand plaisir) Micheal Shannon, l'acteur fétiche de Nichols mais aussi David Wingo, son compositeur attitré.

    Le must en définitive avec The Bikeriders ? Que vous aimiez ou non l'univers des motards importe peu, vous y trouverez votre compte !

    Vivement la prochaine proposition, qui arrivera espérons-le plus vite qu'au bout de 7 longues années... Mais après tout, si c'est le prix à payer pour une expérience à la qualité renouvelée ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 juin 2024
    Une pure imitation du mythique "L'équipée sauvage" et même de "Easy rider", tout ça sur des airs de "Sons of anarchy". Malgré un casting intéressant, le film est ennuyant. Un scénario justement rafistoler avec aucune profondeur. Comme si c'était un remake des films cités au dessus.
    Jean N.
    Jean N.

    265 abonnés 599 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2024
    Vous avez aimé "SONS OF ANACHY" & "MAYANS" ???
    Alors foncez "BIKERIDERS" et ses Vandals , ça sort du même tonneau de Jack Daniel's !!!!
    Rien à ajouter ;si on aime les bars enfumés ,les Harleys , le bourbon et les mailloches entre gangs : tout est bon , des acteurs aux images en passant par le scénar !!
    Joli coup Mr Jeff Nichols!
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juin 2024
    Jeff Nichols est certainement un des cinéastes américains les plus talentueux d'une nouvelle génération qui ( selon moi) n'en compte plus guère.

    Soutenu par la critique la plus exigeante et parfois aussi par le public, il n' a ( de mon point de vue) raté aucun de titres, même s'il n'a jamais mis en scène ( selon moi ) de chefs d'oeuvre.

    "Bikeriders" inspiré de " l'équipée sauvage" (1953) de L.Benedek ( c'est clairement revendiqué dans un plan) et vague clin d'œil à "Easy rider"de Denis Hopper (1969), ne m'a pas complétement convaincu.

    Au plan formel, la photo, le casting, la réalisation sont à la hauteur du talent de Nichols. Il reste le scénario, qui ne décolle malheureusement que dans de rares épisodes.

    Les motards semblent vivre en circuit fermé, passent leur temps dans un bar, roulent à moto mais tournent en rond dans une vie superficielle, ou ils sont ensemble mais dont les femmes et la vie amoureuse est presque absentes.

    Sur ce point, l'angle de traitement du scénario qui relate la relation entre un motard et une jeune femme fait presque office d'exception.

    Le problème de " bikeriders" c'est que Nichols se contente de rester à l'extérieur de ses personnages et laisse par conséquent le spectateur sur le palier.

    Il y a évidemment quelques pistes qui éclairent sur cette forme de marginalité, mais Nichols éprouve des difficultés à véritablement traiter son sujet.

    On suppose que le bikerider est consciemment ou non, à la recherche d'une famille ( la leur ne leur a sans doute pas donné le minimum affectif) et trouve une sorte de réconfort à être entouré par des copains qui lui ressemblent et d'être adoubé par le clan.

    Forme de convocation du cerveau reptilien, aux temps lointains ou la protection venait de la tribu.

    Malheureusement, le manque de rythme ( surtout palpable pendant la première heure ), le désintérêt manifesté par le cinéaste pour l'analyse même succincte de ces caractères ne m'ont pas totalement convaincu.

    De mon point de vue, on a ici affaire à un opus mineur d'un cinéaste attachant.
    Surfeurfou974
    Surfeurfou974

    10 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 juin 2024
    J’ai été très déçu, c’est un très mauvais film. La bande-annonce laissait penser à une succession de vengeances, de combats à l’arme blanche sur fond de judas priest, de barrouds d'honneur. Au lieu de ça, il n’y a aucun fond musical, on y voit que dépression, et buveurs de bierres, petit Club de mollasson et le couple toxique typique… malgré la prestation brillante de Tom Hardy et de Austin Butler , Ça ne fait pas rire, ça ne veut pas vraiment pleurer non plus… C’est pour cela que la salle de cinéma était vide
    defleppard
    defleppard

    377 abonnés 3 369 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2024
    The Bikeriders. Le biopic des prémices des gangs de motards criminels. Trois étoiles et demie.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    185 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2024
    On enfile le blouson, on fait chauffer la bécane en réveillant tout le quartier, on enfourche la selle, on roule pour rejoindre la bande et on devient les rois du monde. Voilà l'ambiance de The Bikeriders, ça sent le vieux cuir, le pot d'échappement, la bière et le vomi. Visuellement, on a le droit à deux vraies gueules, entre Tom Hardy et Austin Butler, ils crèvent l'écran, et nous plonge dans le trip mécanique sans difficulté. Le rythme est assez lent, l'histoire avance peu, et on sait où tout ça va nous mener : progressivement on décroche un peu, le scenario étant déjà fini dans nos têtes. L'univers des motards est bien là, mais l'histoire est finalement trop banale, trop clichée dans le genre pour vraiment marquer. Dommage car l'ambiance était là.
    Blankovitch
    Blankovitch

    49 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juillet 2024
    Je pensais que je verrai s'installer le décor de la bande de motards, puis qu'une intrigue arriverait. Non. Jeff Nichols nous propose seulement un genre de biopic moyennement captivant, sur des types moyennement intéressants.
    AZZZO
    AZZZO

    302 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2024
    Vroum, vroum... Oh quelle belle moto ! Oh que les bikeriders sont des foufous ! Voilà. C'est le résumé du film. C'est d'un creux abyssal. Les motards boivent de la bière, partent dans un autre bar boire de la bière, font la bagarre parce que la bière et chaude et se demandent si ça ne vaudrait pas le coup d'aller boire une bière pour se remettre de ces émotions.
    Où est le portrait d'une génération anticonformiste ? C'est mal joué, mal mis en scène et la scène finale est affligeante... de conformisme !
    Paul B
    Paul B

    45 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 octobre 2024
    Le récit relaté ici par Jodie Cormer n'est pas très intéressant, la mise en scène ne suit pas et l'ennui se fait vite ressentir.

    Les dialogues sont nuls en plus, uniquement à base de gros mots.
    frdric m.
    frdric m.

    20 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 septembre 2024
    on nous raconte l'histoire d'un groupe de bikers mais c'est tellement mal raconté que l'on n'y croit pas et que l'on trouve ça long.
    patrick cheutin
    patrick cheutin

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 juillet 2024
    J'ai été voir ce film par curiosité et pour les trois acteurs principaux. Ceux-ci ne sont pas en cause mais je me suis rarement autant ennuyé devant un film. C'est bien filmé, les acteurs sont corrects mais je n'ai jamais accroché à cette histoire finalement très banale et qui revèle des types (les rôles , pas les acteurs) complètement creux qui n'ont pas de réel sens dans la vie.
    crisane vegeta
    crisane vegeta

    11 abonnés 415 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juillet 2024
    un film vraiment pas terrible, les acteurs sont pas mauvais, mais c'est long, il ce passe pas grand chose, je me suis ennuyé.
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