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    The Bikeriders
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    3,7
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    191 critiques spectateurs

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    domit64
    domit64

    50 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juin 2024
    « The Bikeriders » est un film très inégal, les 45 premières minutes sont longues, lentes et sans réel intérêt, une « présentation » des personnages en 15 minutes auraient suffit. Les images à la David Hamilton n’apportent rien au film. La deuxième partie est plus intense, on trouve enfin ce qu’on vient chercher : bagarre de blousons noirs, liens amicaux et amoureux et la solitude et désœuvrement de ces jeunes qui cherchent dans ce club de motards une famille, et une reconnaissance. Les acteurs et actrices sont excellents mais ça ne suffît pas et ne vaut pas « l’équipée sauvage » ni « easyrider ». La BO est aussi assez insignifiante.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    313 abonnés 2 969 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juillet 2024
    7 ans après le réussi Midnight special, Nichols revient avec un projet différent, l'évolution des clubs de motards au début des années 70. Pour retracer celui des Vandals, inspiré d'un livre, l'angle choisi est intéressant, le biais de l'interview associée aux flashbacks. On aurait pu s'attendre à un contenu plus dense, plus vénéneux et dynamique, le second plan d'une histoire d'amour l'emporte. Malheureusement on s'ennuie.
    remyll
    remyll

    188 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Un vrai bon film de voyous, de bikers à l’américaine avec blousons de cuir et stupéfiantes Harley bien pétaradantes à souhait (pas comme ces nouvelles motos électriques à bruits d’aspirateurs sans sac). Les acteurs sont bluffants, l’intrigue bien montée. J’ai beaucoup aimé.
    Mr cinetok
    Mr cinetok

    259 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Film en flashback sur l'histoire des membres du club harley Vandals de 1965 à 1973 bien inspiré du livre éponyme bikeriders. Les acteurs jouent à merveille dans cette tragédie humaine. La qualité du résultat est bien digne de succéder aux films cultes "L'Equipée sauvage" et "easy rider" pour tout les fans de la moto. Mais ici la dramaturgie est bien plus sombre pour dépeindre cet univers et racconter surtout la psycholigie des chefs de gangs et de l'anarchie pathétique qui a reigné au fil du temps à travers l'histoire de l'amérique de cet époque. C'est passionnant à suivre et très bien réalisé sur une BO magnifique.
    Alice025
    Alice025

    1 666 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2024
    Film très intéressant et dramatique qui nous plonge dans l'univers d'une bande de motards appelés les Vandals. Le rythme est assez lent mais leur histoire est envoûtante, en particulier les relations entre certains personnages, que ce soit dans le couple Kathy et Benny, ou encore entre Benny et son mentor Johnny. Ils boivent et fument tellement qu'on en sentirait presque l'odeur et le goût, comme si on était imprégné et à l'intérieur de leur gang.
    Difficile de caser ce film dans une catégorie précise, il peut faire à la fois documentaire, film dramatique ou encore film relationnel. Il ne raconte pas grand chose mais aussi beaucoup à la fois.
    Personnellement, l'histoire m'a conquise et n'oublions pas un beau duo Tom Hardy et Austin Butler qui ont permis cela. Un beau film.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    767 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2024
    J'ai beaucoup aimé ce coup de projecteur sur les clans de motards des années 1960 aux Etats-Unis !
    Nous allons suivre les Vandals, fondé par Johnny (incarné par un excellent Tom Hardy), à l'intérieur duquel un couple va se former : Benny (l'électrisant Austin Butler) et Kathy (la délicieuse Jodie Comer).
    Le scénario est bien pensé : l'histoire est en fait racontée à postériori par Kathy à un jeune étudiant désireux de mieux connaître l'histoire de cette bande de blousons noirs motorisée.
    Un long-métrage de bonne facture superbement interprété et très bien réalisé.
    Séduisant !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Cool_92
    Cool_92

    286 abonnés 475 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2024
    Une réussite, tant du point de vue de la mise en scène, que du scénario et des acteurs. La photographie est magnifique. L'interprétation de Jodie Comer et de Tom Hardy surpassent celle de leur camarade. Je suis un peu plus mitigé sur le jeu lisse au possible de Austin Butler. La trame est certes classique mais c'est plutôt un beau moment de ciné à mi-chemin entre Sons of Anarchy et les Affranchis.
    22sur20 | Alex
    22sur20 | Alex

    26 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2024
    THE BIKERIDERS : 12/20

    Des motos, des guerres de clubs et du bad boy à gogo.

    L’ambiance biker des années 70 est ici superbement bien retranscrite. On n’a pas affaire à des enfants de chœur qui enfilent des perles. Ici, c’est la loyauté au club, le respect et la communauté qui transpirent dans ce film.

    Le récit est construit autour d’une histoire d’amour entre un bad boy des Vandals et une jeune femme, ce qui marque tout du long le contraste et le dilemme entre la raison et la dévotion au club.

    Je dois avouer que je ne suis pas trop client de ce genre d’ambiance très « mâle alpha cracra noir sous les ongles » et « macho bourrin », mais le film a au moins cette grande qualité de faire honneur aux motards de l’époque sans pour autant tomber dans des clichés beaufs et dégradants.

    Tom Hardy (80 % des gens iront voir ce film que pour lui soyons honnêtes) s’en sort très bien, et ce rôle de bad boy lui va comme un gant. Big up aussi à Austin Butler qui finit d’asseoir son rang de sex-symbol grâce à une prestation très James Dean-esque.

    Par contre, je me suis beaucoup ennuyé, avec quelques micro-siestes assez régulières. La faute à beaucoup de passages monotones à rallonge où il ne se passe rien de passionnant.

    Le rythme est très lent, ce n’est clairement pas un film d’action, et les motos ne roulent que très rarement, le film se basant plus sur leur philosophie que sur leurs trips.

    En bref, un film qui respecte vraiment bien cette culture des clubs de motards de l’époque, mais qui souffre d’un rythme ennuyeux et d’un récit peu passionnant.

    Plus de notes sur insta : 22sur20
    BillBoo
    BillBoo

    14 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 août 2024
    Projeté dans un gang de motards beaufs, on assiste à l'héritage déclinant d'un masculinisme mécanique, jurons, bastons et grosses motos au rendez-vous. La fille sage s'entiche du bad boy insistant, désigné comme futur leader des loubars.

    Le récit est prévisible, les personnages archétypaux, la réalisation quelconque. Un road movie oublié aussitôt sorti de la salle obscure.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2024
    Kathy (Jodie Comer) raconte son histoire : comment elle a rencontré Benny (Austin Butler), un chien fou, membre d’un club de motards, les Vandals, dirigé par Johnny (Tom Hardy), comment elle en est tombée follement amoureuse et s’est immédiatement mariée avec lui, quelle vie ils ont menée ensemble tandis que les "Vandals" évoluaient pour le meilleur et pour le pire.

    Jeff Nichols revient. On n’avait plus vu ce réalisateur prometteur ("Take Shelters", "Mud", "Loving", "Midnight Special"…) depuis plus de huit ans. Il choisit d’adapter un célèbre album de photographies publié en 1968 par Danny Lyon qui s’était immergé pendant quatre années dans un groupe de motards, les "Outlaws" de Chicago et y avait pris des clichés iconiques.

    Plane sur "The Bikeriders" la double ombre tutélaire de "L’Equipée sauvage" et de "Easy Rider", auquel d’ailleurs il adresse deux clins d’oeil obligés. Comme eux, "The Bikeriders" raconte la vie d’une bande de motards. Nous sommes dans le Midwest, près de Chicago, dans les années soixante.

    "The Bikeriders" vaut surtout par ses personnages. L’action nous est racontée par les yeux de Kathy, introduisant un peu de female gaze dans une histoire masculine à 100 %. On pourrait penser que son héros est l’amoureux de Kathy, Benny, mélange sexy en diable de James Dean et de Brad Pitt. Mais Tom Hardy réussit à lui voler la vedette. Je suis un fan inconditionnel de cet acteur qu’on voit depuis plus de vingt ans dans tellement de grands films ("Inception", "The Dark Knight Rises", "The Revenant", "Dunkerque"….) mais qui n’a pas encore décroché les récompenses et le statut de star qu’il mérite amplement. Il est magnétique ici, dans le rôle mutique du chef de bande, dont on se demande tout du long si c’est un psychopathe égocentrique ou un leader charismatique.
    L’entourent des gueules impossibles de losers magnifiques, qui sentent la transpiration et l’huile de moteur. parmi eux on reconnaît Michael Shannon, l’acteur fétiche de Jeff Nichols qui a joué dans tous ces films. Il interprète ici Zepco, un improbable Letton qui, dans un accent à couper au couteau, profère quelques aphorismes définitifs.

    "The Bikeriders" aurait pu se borner à décrire cette galerie de personnages hauts en couleurs. Mais il n’oublie pas de raconter une histoire. L’histoire a pour toile de fond l’Amérique profonde à la fin des années soixante, la guerre du Vietnam et ses soldats perdus qui en reviennent déconstruits, la montée de la violence, de la consommation des drogues les plus diverses, de la dérive des clubs de motards vers le banditisme…. Johnny, le chef des Vandals, en est, je l’ai dit, la figure principale. Mais j’en ai déjà trop dit….
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    342 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juin 2024
    Film inspiré d'un livre de photos de bikers américains ( important à préciser)....au final on se surprend a feuilleter les scènes sans réellement " rentrer dans le film" qui nous tient à distance avec des scènes ultra léchées et des développements qui nous laissent un peu de côté et même pire, finissent par nous ennuyer....
    A voir si vous êtes fans de Austin Butler ou Tom Hardy ( rien à dire sur leur jeu) ou tant soit peu fan de motos
    Nicothrash
    Nicothrash

    367 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2024
    Le travail de Jeff Nichols me passionne depuis ses débuts derrière la caméra, il a une manière bien à lui de faire passer l’émotion, très souvent dans un faux rythme tout au long de ses métrages. J’attendais donc beaucoup de The Bikeriders, et d’autant plus que l’un des rôles titres est tenu par l’inénarrable Tom Hardy. Heureusement finalement qu’il est là le gonze, il tient parfaitement son rôle, entre charisme et simplicité, ce qui n’est pas forcément le cas d’Austin Butler, que l’on voit beaucoup sans qu’il convainc forcément. Au casting on retrouve également Jodie Comer, très efficace, Michael Shannon, toujours impeccable et Norman Reedus, encore plus crado que dans TWD ! Ça fonctionne plutôt bien entre eux, en revanche l’histoire est d’un banal peu commun au cinéma, l’ensemble est très plat et assez peu palpitant. Dans le genre on est bien loin du dynamisme des Sons Of Anarchy par exemple. L’angle est sympa c’est certain mais Nichols perd à mon sens son style pour plaire au plus grand nombre et l’émotion ne passe guère. On est d’ailleurs plus sur un genre d’Easy Rider emprunt de liberté mais où tout a un prix. Je ne peux donc cacher ma pointe de déception devant ce Bikeriders qui demeure intéressant à découvrir, notamment par certains de ses comédiens, mais qui manque sérieusement de profondeur et d’émotion.
    Arthus27
    Arthus27

    92 abonnés 562 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 août 2024
    Jeff Nichols a mis le paquet pour recréer l'univers des gangs de motards et les USA des années 60. Et tout y est pour iconiser les personnages, les rendre tous plus cools les uns que les autres. En cela, The Bikeriders est une franche réussite : la réalisation, la photographie et le jeu des acteurs sont tout simplement parfaits. L'histoire et l'évolution du groupe sont relativement intéressants, et nous disent quelque chose des dérives identitaires ou de l'endoctrinement. Mais le problème principal du film réside justement dans le manque de distance et de regard critique que le réalisateur pose sur ses personnages. Car si tout nous montre que ces hommes sont des monstres, le film s'efforce de les glorifier et de vouloir nous les rendre sympathiques. En somme, The Bikeriders est un magnifique hymne aux masculinités toxiques sous toutes leurs formes, et c'est malheureusement ce qui explique son succès.
    Fiers R.
    Fiers R.

    96 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2024
    Le précédent film de Jeff Nichols, qui remonte tout de même à presque une décennie, était déjà davantage tous publics que ses premières œuvres telles que « Take Shelter » ou « Mud », clairement inscrites dans le sérail du cinéma indépendant. Mais « Midnight Special » demeurait tout de même singulier de par son genre, la science-fiction, et son traitement à mi-chemin entre les films Amblin de Spielberg et la SF intello. Ici, pas que « The Bikeriders » soit un grand film populaire à voir en famille mais en tout cas une œuvre accessible, facilement appréhendable, potentiellement intéressante pour tout adulte et agréable à regarder dans le but de se divertir. Et il réalise ici l’un de ses meilleurs films, comme quoi parfois la simplicité a du bon. On nous plonge dans une reconstitution impeccable du Midwest des années 60, appliquée et discrète mais très à propos, qui nous parfume d’un agréable sentiment de nostalgie. La patte vintage et rétro du film est, en effet, délicieuse et joue beaucoup dans la réussite de « The Bikeriders ».

    Outre cet aspect ainsi qu’une mise en scène simple et efficace, le montage dynamise le récit avec brio. Comme le film est adapté de l’œuvre de Danny Lyon, qui avait suivi ce club de motards durant quelques années (entre interviews et photographies), on alterne l’adaptation de ces mémoires de l’époque avec l’interview quelques années plus tard de la femme de l’un des membres du club. Ce procédé et la voix off de celle-ci sur les différentes séquences (utilisé avec parcimonie) permet de donner du recul au spectateur sur ce qu’il voit, de manière intelligente. Et c’est Jodie Comer qui incarne cette jeune femme et elle volerait presque la vedette à ses partenaires masculins d’un casting quatre étoiles de très haute volée, entre stars établies, seconds rôles de luxe (Michael Shannon, Norman Reedus, ...) et jeunes pousses (Mike Faist, Toby Wallace, ...).

    Comme dans « Le dernier duel » où elle côtoyait, excusez du peu, Ben Affleck, Matt Damon et Adam Driver, et leur tenait dragée haute, elle fait de même ici avec un personnage bien écrit et qui ne sert jamais de faire-valoir mais plutôt de baromètre moral. De son accent à ses expressions, elle est géniale. Mais ses deux costars ne sont pas en reste. En effet, Tom Hardy, en pleine méthode Actor’s Studio, est parfait pour ce rôle de leader trouble même si son jeu louche de plus en plus sur les postures d’un Robert de Niro de fin de carrière. Quant à Austin Butler, il prouve ou confirme que c’est peut-être un futur Brad Pitt ou Tom Cruise de son époque avec ce rôle de motard taciturne et ténébreux où son charisme explose après ses prestations mémorables dans « Dune 2 » et « Elvis ». Bref, voici l’un des ensembles de casting les plus probants et réussis de l’année.

    On suit donc cette chronique d’une certaine Amérique fantasmée avec beaucoup de plaisir malgré un petit ventre mou en milieu de bobine, le film aurait d’ailleurs gagné à être raccourci d’une dizaine de minutes. Et s’il est vrai qu’il manque d’une véritable principale, symptomatique d’une adaptation de ce qui s’apparenterait presque à des carnets de voyage, la somme de tous les micro-évènements narrés ici est intéressante, bien écrite avec des dialogues percutants et des séquences diversifiées. En filigrane, on pressent la création des fameux Hell’s Angels et on aborde des thèmes comme la misogynie de l’époque et la place de la femme (à l’ère de MeToo, une scène est d’ailleurs très éloquente et montre bien l’évolution des mentalités), le retour de la Guerre et d’une société qui ne sera jamais plus pareille ou encore le besoin d’appartenance à un groupe. Et « The Bikeriders » de tisser le portrait d’une époque fantasmée aux accents mythiques. Un film rare, unique et surtout très réussi.

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    Roger D
    Roger D

    79 abonnés 880 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juillet 2024
    Vu au Navire grâce à la fête du cinéma en VO de surcroît et j'ai bien apprécié. Donc on suite cette bande de motard quasi au début de la création de cette bande au travers le regard de Kathy campé par Jodie Comer dont Austin Butler (qui à le vent en poupe depuis quelques temps) et Tom Hardy sont les têtes d'affiche. C'est intéressant de voir l'évolution des relations et surtout de la bande qui va être submergé par son succès et l'arrivé de jeune dont certains ont les dents longues. Forcément chacun y laisse des plumes et puis on se demande comment cela peut finir. Le trio est vraiment bon alors sur les 3 , bon deux ont des dialogues minimalistes je reconnais et c'est surtout Kathy qui parle comme narratrice et j'avais zappé mais Tom Hardy à une voix bien m...!^^
    NOTE : 7.5/10
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