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Steven Hyde
4 abonnés
20 critiques
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4,0
Publiée le 13 juillet 2024
Jeff Nichols reussi la promotion de la naissance des clubs de motos avant leurs dérives criminelles... Tom Hardy Jodie Comer et Austin Butler sont parfaits
Le casting est assez attrayant pour nous emmener dans la salle. Mais ce film est d'un ennui à se dire "Bordel, ça se termine quand?". Il ne se passe quasiment rien pendant 2h
Bon film immersif, même si j’en attendais mieux. L’histoire prends un peu de temps à se mettre en place. Toutefois l’atmosphère et l’ambiance sont plaisantes, elles nous permettent de voir comment fonctionne une communauté de bikers. Après le scénario est assez prévisible. Dans la totalité l’œuvre est assez bonne, avec un sujet peut traité dans le 7eme art.
Alors moi je suis sorti de la salle en médisant il est pas mal mais il manque quelque chose. Peut être un peu moins de bla bla-bla-bla mais plus d’actions ( de la baston ). En gros la bande annonce montre le film
Le scénario, les acteurs, la réalisation, donnent avec une profonde éloquence et peu de mots, un portrait en quatre temps des 'Bikers' US. Un film à ressentir.
il s'agit d'un film d'atmosphère. il faut aimer la moto et le milieu de marginaux américains des années 60. De belles images mais quelques longueurs. je recommande néanmoins.
Un film à la réalisation et au jeu très conventionnel. On ne peut pas dire qu’on s’ennuie mais le film, prévisible, se déroule sans anicroche, passant d’un cliché au suivant
Une bande de mec qui font pipi debout se retrouvent pour faire de la moto. Ils deviennent super copains. Mais ya plein des nouveaux qui viennent et ils sont pas gentils. Alors ils essaient de violer une nana parce que c'est des gros loubards et qu'ils boivent plein de la bière pendant les pic niques. Pspoiler: i ya un p'tit nouveau il flingue le chef et il prend sa place . Générique.
C'est con comme la lune, sans intérêt, et en plus ils mettent pas de casques !
Très déçu par ce Jeff Nichols, indigne de ses précédentes œuvres. Une mise en scène toujours aussi belle mais un scénario inexistant qui ne va s’appuyer que sur la célébrité des acteurs et actrices. Du reste, qui a vu la série "Sons Of Anarchy" va y retrouver une honteuse copie. Les personnages n'ont aucune profondeur, pas de passé, pas d'explication. Le personnage de Benny est fade à souhait. Effleuré en surface, et encore ! Et aucune histoire, avec des ellipses sans sens. Bref, déçu.
Insignifiant. Insipide. Creux, lent. Pas loin des films les plus mauvais de l'histoire de la moto. Pas sur qu'un Bikers est apprécié ce naufrage cinématographique. Grosse perte de temps et d'argent.
Ce film retace l'histoire d'une bande de motards, marginaux, libertaires qui se moquent de la bienséance, avec ses paumés, son héros (Butler) et son chef (Hardy). Le personnage féminin (Comer) apporte une touche de douceur en opposition à cette masculinité triomphante qui va se trouver confronté à une réalité violente qui entraîne la dislocation de la bande, les carapaces se fendent et laissent entrevoir un début d'humanité. L'interprétation est excellente, la photo sublime cette Amérique des années 60.
Plongée réussie dans le Midwest des années 60. La sobriété esthétique de la mise en scène amplifie la délicatesse et la nostalgie ambiante, aidée par une Jodie Comer magistrale.
Un film « carte-postale » qui est justement inspiré d’un roman-photo et donne l’impression d’être nostalgique d’une époque qui nous est inconnue. Il y a un côte très Scorsese dans ce rise and fall qui dissèque un mythe américain.
On y suit les Vandals, une bande de bikers, des cow-boys nés trop tard, qui vivent en marge de la société américaine dans une utopie de liberté.
Cela peut parfois manquer d’enjeux dramatiques car on est davantage face à un film d’atmosphère, qui prend la température d’une époque amenée à changer avec une nouvelle génération impactée par la guerre du Vietnam.
En revanche, c’est une grande réussite formelle. Un film qui emporte par la qualité de son image, de sa mise en scène et son casting XXL. En particulier un duo qui crève l’écran : Jodie Comer et l’exceptionnel Tom Hardy, qui n’avait pas eu un rôle à sa hauteur depuis bien longtemps. Mais aussi toute une panoplie d’acteurs qui débordent de charisme et collent parfaitement à leurs personnages : Austin Butler, Michael Shannon, Mike Faist ou Norman Reedus.
The bikeriders raconte de façon intéressante l'histoire du club de motards des Vandals par le biais d'un photo journaliste et le regard de Kathy, très présente dans le groupe. L'image de marginaux gros durs est en effet écorné en montrant des motards perdus, peu courageux et se vantant d'avoir brulé quelques rouges, mais en dévoilant une autre façon de vivre que celle prisée par l'américain moyen. Le film perd de son souffle en tournant autour de l'éventuel départ du président du club spoiler: jusqu'à sa tragique disparition . Le club devient alors spoiler: un gang dominé par des traffiquants en tout genre et n'est plus ce club de potes de motos . On regrettera l'absence de paysage dont le bikers auraient pu profiter dans leur quête de liberté. L'ensemble des acteurs tiennent très bien leur rôle et Austin Butler a su convaincre malgré son parfait visage hollywoodien, et sa coupe de cheveux ne souffrant nullement du vent. La magie du pento, certainement.