Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Jodie Comer confère une puissance féministe inédite au genre "film de motards", à la masculinité écrasante.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Un western de bitume magistral.
Voici
par La rédaction
Fort de ses formidables acteurs, The Bikeriders explore avec exaltation puis nostalgie une mythologie américaine. Preuve que Jeff Nichols est l'un des cinéastes les plus passionnants de sa génération.
20 Minutes
par Caroline Vié
Jeff Nichols entraîne le spectateur sur les motos de Tom Hardy et Austin Butler pour une promenade fascinante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Tout comme l’aura magique de Mud s’effilochait peu à peu pour ne révéler plus que sa simple humanité, le portrait des motards de The Bikeriders perd de son éclat fantasmagorique. Sans bascule marquée, avec une grande maîtrise invisible, le ton change, audace qui en fait probablement le film le plus fuyant et exigeant de Nichols, peut-être le moins confortable.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Si l’émotion directe diminue par rapport au reste de sa filmographie, et notamment par rapport au sommet qu’était Loving, ce n’est pas le cas du plaisir que l’on éprouve devant le film, ce qui prouve que Nichols n’a rien perdu de son talent, à la fois de metteur en scène et de conteur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec ce rise & fall scorsesien éthéré au cœur d’un gang de motards, Jeff Nichols continue à retracer le parcours mélancolique de marginaux-prolétaires cherchant leur place et ce en quoi croire dans cette Amérique oubliée. Retour gagnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Raconté d'un point de vue féminin par la voix de de Kathy (Jodie Comer), épouse de Benny, on sent une réelle tendresse pour ces personnages appartenant à la classe ouvrière. Lumineux dans la première partie (scènes de pique-niques, bastons dans des bars…), le film s'assombrit quand éclate la guerre du Vietnam.
GQ
par Adam Sanchez
C'est cette sobriété et cette délicatesse qui font de The Bikeriders un film particulièrement émouvant.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) Une énergie cool, une bande-son d’enfer (immortelles The Shangri-Las), des acteurs habités et moult clins d’œil aux Affranchis, de Scorsese. Si vous hésitez encore à prendre la route, on ne peut rien faire pour vous.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La rédaction
Jeff Nichols a soigneusement reconstitué l’esthétique de ces bandes et nous offre un grand récit lyrique et captivant, qui se fait de plus en plus sombre au fur et à mesure que le contexte change.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérémie Oro
Refuge pour motards marginaux, les Vandals deviennent un groupe à la dangerosité nouvelle ; film de bande, The Bikeriders devient film de gang. Le destin qu’il offre alors à ses personnages permet à Nichols de pirater une dernière fois le système Scorsese, en remettant en perspective la notion même de rise and fall, et avec elle la place qu’occupent les femmes – et les actrices – dans toute l’histoire du film de mecs.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Sur des tubes de Cream et des Stones, Jeff Nichols déroule cette chronique d'un classicisme nostalgique et revigorant, qui rappelle Robert Mulligan.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le metteur en scène de Loving raconte l'histoire d'une bande de motards du Midwest dans les années 1960 et signe l'un des plus beaux films américains de 2024.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un Jeff Nichols en tout point accompli, enfin dégagé du poids de ses références et totalement au service de la mélancolie de son scénario.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par V.M.
The Bikeriders est un vrai film de bande (au point de devenir quasiment un simili-thriller mafieux) dont le drame se noue entre quelques personnages (...). La performance ahurissante de Tom Hardy en petit "parrain" bouseux (une sorte de bête sauvage scorsseienne) n'enlève rien à celle d'Austin Butler, sorte de gueule d'ange complètement fêlée qui détraque le récit en une suite de lyrisme et de violence d'une noirceur totale.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Sur le papier, c’est une histoire de loubards comme on en a vu des centaines. Dans les faits et sur l’écran, c’est un des plus beaux films américains des derniers mois. Un film qui examine le parcours destructeur d’une bande de "mauvais garçons" pris au piège de la délinquance.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Entre nostalgie 60's et parodie sur la virilité, le film sonne le glas de l'Amérique des marginaux, avant la bascule dans une culture de la violence.
Ouest France
par La rédaction
(...) Un film de bikers façon Les Affranchis de Scorsese, au casting quatre étoiles.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
D'un bout à l'autre, Jeff Nichols mèle de manière très fluide le collectif (les scènes à moto, le pique-nique, les bagarres) et l'intime. Ce qui distingue son film de la plupart de ceux consacrés aux motards est la place du personnage féminin.
Première
par Thomas Baurez
Telles une succession de prises photographiques, les séquences possèdent leur monde à eux, presque autonomes. Leur interaction dépend des êtres abîmés qui les peuplent, s’évertuant à donner un sens à une existence d’outlaw déconnecté du réel. En cela, le film, furieusement lucide dans sa beauté tragique, déjoue le côté fresque qu’il semblait annoncer (l’hommage appuyé aux Affranchis) Le verni sexy (cuir, stars et bastons…) s’écaille.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Corentin Marouby
En filmant l'évolution d'un groupe qui sombre peu à peu dans la violence, Jeff Nichols livre la formidable chronique d'un pays alors en pleins bouleversements culturels et sociaux.
Télé Loisirs
par C.M.
En filmant l'évolution d'un groupe qui sombre peu à peu dans la violence et le banditisme, Jeff Nichols livre la formidable chronique d'un pays alors en pleins bouleversements culturels et sociaux. Jodie Comer crève l'écran, au point de voler la vedette à ses partenaires de jeu.
Télérama
par Jacques Morice
Ce qui affleure et touche le plus dans le film, c’est qu’on y voit passer une utopie accomplie : le couple et le collectif un temps enlacés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le spectre d’Easy Rider (1969) de Dennis Hopper plane sur un récit avide de liberté qui repose aussi sur la performance de ses interprètes, Austin Butler en tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Jeff Nichols tente (...) de complexifier son propos. Par un parti pris narratif original d’abord, qui déroule le film au passé à partir d’un long entretien entre Danny Lyon (Mike Faist) et Kathy, personnage féminin par l’entremise duquel l’absurdité de la violence masculine est dite. Par un développement dramaturgique ensuite, qui fait insensiblement basculer le récit dans la tragédie. Mais ni l’une ni l’autre de ces voies ne contribue à élever le film à la hauteur qu’il ambitionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Seul Tom Hardy fait une nouvelle fois preuve, en chef de gang, de toutes les facettes de son talent et mérite à lui seul le détour par ce film, certes assez accrocheur, mais qui manque sérieusement d’une sauvagerie pourtant nécessaire au thème abordé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La rédaction
Ce que nous raconte Jeff Nichols se situe dans le prolongement de deux films cultes, L'Équipée sauvage de Laszlo Benedek (1953), avec Marlon Brando, véritable symbole du rebelle, et Easy Rider de Dennis Hopper (1969), avec Peter Fonda, film emblématique de la génération hippie. Mais il apporte un bonus par sa réalisation, sa direction d'acteurs et sa reconstitution des seventies qui sont remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Il est moins un film de route que de bars, de parkings et de pique-niques où l’on stagne, enivré·e et à moitié amorphe, où chaque réplique s’accroche désespérément au fin fond de la gorge.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Jeff Nichols se frotte au rêve viril de la rébellion en grosses cylindrées, dont L'Équipée sauvage, (1953) avec Marlon Brando, demeure l'étendard. Certes, il ne livre pas un sommet du genre, hésitant sans cesse entre chronique sociale et film de gangsters, mais le revisite en racontant cette histoire d'un point de vue féminin.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une réussite qui marque l’incursion de Jeff Nichols dans un registre davantage grand public. La narration est efficace et la mise en scène rigoureuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Au bout de la route, reste surtout la tristesse de voir Nichols avoir tant tardé à revenir, pour en fin de compte s’enterrer dans des années enfouies qui font hypocritement mine de regarder le présent dans les yeux.
Critikat.com
par Josué Morel
Décevant, le film finit par trouver un semblant de singularité, mais à un prix amer : son drôle d'horizon mélancolique, qui acte un renoncement (du personnage principal, mais aussi de Jeff Nichols), le condamne à ne grappiller que des bribes d’émotion contenue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
The Bikeriders, c'est comme Austin Butler dans le film : beau, mais poseur, charmant de loin, mais chiant de près. Jeff Nichols fait son petit film de mafieux avec des bikers, et c'est très certainement son scénario le plus faible, impersonnel, et grossier.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par Frédéric Foubert
Le film ne marche vraiment que sur son versant portrait de groupe, chronique laid-back engourdie, zappant joliment d’un personnage secondaire à l’autre, offrant à chacun […] sa scène, son moment. Mais ces instants épars ne s’agrègent jamais en un tout cohérent. C’est très mou, trop sage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Jodie Comer confère une puissance féministe inédite au genre "film de motards", à la masculinité écrasante.
Le Dauphiné Libéré
Un western de bitume magistral.
Voici
Fort de ses formidables acteurs, The Bikeriders explore avec exaltation puis nostalgie une mythologie américaine. Preuve que Jeff Nichols est l'un des cinéastes les plus passionnants de sa génération.
20 Minutes
Jeff Nichols entraîne le spectateur sur les motos de Tom Hardy et Austin Butler pour une promenade fascinante.
CinemaTeaser
Tout comme l’aura magique de Mud s’effilochait peu à peu pour ne révéler plus que sa simple humanité, le portrait des motards de The Bikeriders perd de son éclat fantasmagorique. Sans bascule marquée, avec une grande maîtrise invisible, le ton change, audace qui en fait probablement le film le plus fuyant et exigeant de Nichols, peut-être le moins confortable.
Culturopoing.com
Si l’émotion directe diminue par rapport au reste de sa filmographie, et notamment par rapport au sommet qu’était Loving, ce n’est pas le cas du plaisir que l’on éprouve devant le film, ce qui prouve que Nichols n’a rien perdu de son talent, à la fois de metteur en scène et de conteur.
Ecran Large
Avec ce rise & fall scorsesien éthéré au cœur d’un gang de motards, Jeff Nichols continue à retracer le parcours mélancolique de marginaux-prolétaires cherchant leur place et ce en quoi croire dans cette Amérique oubliée. Retour gagnant.
Elle
Raconté d'un point de vue féminin par la voix de de Kathy (Jodie Comer), épouse de Benny, on sent une réelle tendresse pour ces personnages appartenant à la classe ouvrière. Lumineux dans la première partie (scènes de pique-niques, bastons dans des bars…), le film s'assombrit quand éclate la guerre du Vietnam.
GQ
C'est cette sobriété et cette délicatesse qui font de The Bikeriders un film particulièrement émouvant.
L'Obs
(...) Une énergie cool, une bande-son d’enfer (immortelles The Shangri-Las), des acteurs habités et moult clins d’œil aux Affranchis, de Scorsese. Si vous hésitez encore à prendre la route, on ne peut rien faire pour vous.
La Croix
Jeff Nichols a soigneusement reconstitué l’esthétique de ces bandes et nous offre un grand récit lyrique et captivant, qui se fait de plus en plus sombre au fur et à mesure que le contexte change.
La Septième Obsession
Refuge pour motards marginaux, les Vandals deviennent un groupe à la dangerosité nouvelle ; film de bande, The Bikeriders devient film de gang. Le destin qu’il offre alors à ses personnages permet à Nichols de pirater une dernière fois le système Scorsese, en remettant en perspective la notion même de rise and fall, et avec elle la place qu’occupent les femmes – et les actrices – dans toute l’histoire du film de mecs.
Le Figaro
Sur des tubes de Cream et des Stones, Jeff Nichols déroule cette chronique d'un classicisme nostalgique et revigorant, qui rappelle Robert Mulligan.
Les Echos
Le metteur en scène de Loving raconte l'histoire d'une bande de motards du Midwest dans les années 1960 et signe l'un des plus beaux films américains de 2024.
Les Fiches du Cinéma
Un Jeff Nichols en tout point accompli, enfin dégagé du poids de ses références et totalement au service de la mélancolie de son scénario.
Mad Movies
The Bikeriders est un vrai film de bande (au point de devenir quasiment un simili-thriller mafieux) dont le drame se noue entre quelques personnages (...). La performance ahurissante de Tom Hardy en petit "parrain" bouseux (une sorte de bête sauvage scorsseienne) n'enlève rien à celle d'Austin Butler, sorte de gueule d'ange complètement fêlée qui détraque le récit en une suite de lyrisme et de violence d'une noirceur totale.
Marianne
Sur le papier, c’est une histoire de loubards comme on en a vu des centaines. Dans les faits et sur l’écran, c’est un des plus beaux films américains des derniers mois. Un film qui examine le parcours destructeur d’une bande de "mauvais garçons" pris au piège de la délinquance.
Marie Claire
Entre nostalgie 60's et parodie sur la virilité, le film sonne le glas de l'Amérique des marginaux, avant la bascule dans une culture de la violence.
Ouest France
(...) Un film de bikers façon Les Affranchis de Scorsese, au casting quatre étoiles.
Positif
D'un bout à l'autre, Jeff Nichols mèle de manière très fluide le collectif (les scènes à moto, le pique-nique, les bagarres) et l'intime. Ce qui distingue son film de la plupart de ceux consacrés aux motards est la place du personnage féminin.
Première
Telles une succession de prises photographiques, les séquences possèdent leur monde à eux, presque autonomes. Leur interaction dépend des êtres abîmés qui les peuplent, s’évertuant à donner un sens à une existence d’outlaw déconnecté du réel. En cela, le film, furieusement lucide dans sa beauté tragique, déjoue le côté fresque qu’il semblait annoncer (l’hommage appuyé aux Affranchis) Le verni sexy (cuir, stars et bastons…) s’écaille.
Télé 2 semaines
En filmant l'évolution d'un groupe qui sombre peu à peu dans la violence, Jeff Nichols livre la formidable chronique d'un pays alors en pleins bouleversements culturels et sociaux.
Télé Loisirs
En filmant l'évolution d'un groupe qui sombre peu à peu dans la violence et le banditisme, Jeff Nichols livre la formidable chronique d'un pays alors en pleins bouleversements culturels et sociaux. Jodie Comer crève l'écran, au point de voler la vedette à ses partenaires de jeu.
Télérama
Ce qui affleure et touche le plus dans le film, c’est qu’on y voit passer une utopie accomplie : le couple et le collectif un temps enlacés.
Le Journal du Dimanche
Le spectre d’Easy Rider (1969) de Dennis Hopper plane sur un récit avide de liberté qui repose aussi sur la performance de ses interprètes, Austin Butler en tête.
Le Monde
Jeff Nichols tente (...) de complexifier son propos. Par un parti pris narratif original d’abord, qui déroule le film au passé à partir d’un long entretien entre Danny Lyon (Mike Faist) et Kathy, personnage féminin par l’entremise duquel l’absurdité de la violence masculine est dite. Par un développement dramaturgique ensuite, qui fait insensiblement basculer le récit dans la tragédie. Mais ni l’une ni l’autre de ces voies ne contribue à élever le film à la hauteur qu’il ambitionne.
Le Parisien
Seul Tom Hardy fait une nouvelle fois preuve, en chef de gang, de toutes les facettes de son talent et mérite à lui seul le détour par ce film, certes assez accrocheur, mais qui manque sérieusement d’une sauvagerie pourtant nécessaire au thème abordé.
Le Point
Ce que nous raconte Jeff Nichols se situe dans le prolongement de deux films cultes, L'Équipée sauvage de Laszlo Benedek (1953), avec Marlon Brando, véritable symbole du rebelle, et Easy Rider de Dennis Hopper (1969), avec Peter Fonda, film emblématique de la génération hippie. Mais il apporte un bonus par sa réalisation, sa direction d'acteurs et sa reconstitution des seventies qui sont remarquables.
Les Inrockuptibles
Il est moins un film de route que de bars, de parkings et de pique-niques où l’on stagne, enivré·e et à moitié amorphe, où chaque réplique s’accroche désespérément au fin fond de la gorge.
Télé 7 Jours
Jeff Nichols se frotte au rêve viril de la rébellion en grosses cylindrées, dont L'Équipée sauvage, (1953) avec Marlon Brando, demeure l'étendard. Certes, il ne livre pas un sommet du genre, hésitant sans cesse entre chronique sociale et film de gangsters, mais le revisite en racontant cette histoire d'un point de vue féminin.
aVoir-aLire.com
Une réussite qui marque l’incursion de Jeff Nichols dans un registre davantage grand public. La narration est efficace et la mise en scène rigoureuse.
Cahiers du Cinéma
Au bout de la route, reste surtout la tristesse de voir Nichols avoir tant tardé à revenir, pour en fin de compte s’enterrer dans des années enfouies qui font hypocritement mine de regarder le présent dans les yeux.
Critikat.com
Décevant, le film finit par trouver un semblant de singularité, mais à un prix amer : son drôle d'horizon mélancolique, qui acte un renoncement (du personnage principal, mais aussi de Jeff Nichols), le condamne à ne grappiller que des bribes d’émotion contenue.
Ecran Large
The Bikeriders, c'est comme Austin Butler dans le film : beau, mais poseur, charmant de loin, mais chiant de près. Jeff Nichols fait son petit film de mafieux avec des bikers, et c'est très certainement son scénario le plus faible, impersonnel, et grossier.
Première
Le film ne marche vraiment que sur son versant portrait de groupe, chronique laid-back engourdie, zappant joliment d’un personnage secondaire à l’autre, offrant à chacun […] sa scène, son moment. Mais ces instants épars ne s’agrègent jamais en un tout cohérent. C’est très mou, trop sage.