Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Grâce à son concept malin, "On dirait la planète Mars" reste dans l'ombre de la conquête spatiale, et y explore ses composantes humaines, aussi drôles que touchantes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un ovni doux-amer et méditatif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
D’une singularité ébouriffante.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sous la fable hilarante, le constat cruel d’une société en perte de réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film de Lafleur est assez drôle, il faut bien le dire, et surtout d’une grande originalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Une comédie qui tient plus de Beckett que de Dupieux, où tout est irraisonnable et oppressant, où les personnages vivent le non-sens au premier degré, écrasés par l’impuissance, interdits d’être eux-mêmes, de prendre des décisions, obligés de se conformer aux pulsions de leur alter ego [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Séverine Danflous
Le film très sobre joue sur l’épure des décors et des comédiens. Et si le rire affleure souvent, il n’en est pas moins grinçant. Une belle surprise !
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une allégorie assez cruelle et pertinente des sociétés occidentales.
Culturopoing.com
par François Armand
Un joli film à la drôlerie douce-amère. Les rêves, si beaux soient-ils, rendent-ils aveugles ? La perspective d’un ailleurs peut-elle faire disparaître la réalité ? Sous ces airs modestes, "On dirait la planète Mars" se révèle très malin.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par X. L.
Si le film se perd un peu sur la durée et par systématisme, l‘effet de surprise et le plaisir perdurent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt.
Faux film de science-fiction restant sur le plancher des vaches, le dernier long-métrage en date de Stéphane Lafleur part d’une très belle idée, celle du simulacre comme fable sociale et imaginaire de substitution.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Cette ingénieuse rencontre entre Alien et Gerry tient la route et rappelle que se frotter à ses déceptions peut aider à mieux comprendre le réel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par S.O.
Avec humour, ce sujet original, qui rappelle certains dispositifs de téléréalité, est poussé dans sa logique jusqu'à l'absurde, la frontière se brouillant entre la réalité et le fantasme d'être sur la planète rouge.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Sous ses airs sérieux, cette comédie joyeusement dépressive joue la carte de l’absurde dans sa radiographie de la nature humaine et des comportements en milieu clos : l’autorité, la solidarité, la délation, l’ego passent au tamis de son humour décalé.
Télérama
par Jérémie Couston
Mixant allègrement les codes de la téléréalité et ceux de la science-fiction, fût-elle de pacotille, cette comédie existentielle séduit par son humour perché et son refus du spectaculaire. Un grain de folie supplémentaire n’aurait cependant pas nui à la mission pour une mise sur orbite encore plus incontrôlée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Joli et amusant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
L’égarement fait office de ressort comique et si ça fonctionne assez bien au début, les comédiens étant impeccables dans leurs rôles de cobayes paumés (notamment Larissa Corriveau), le film finit lui aussi par se perdre en route.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Le film n’est pas aidé par un rythme lancinant, qui, couplé à un trop grand nombre de scènes, donne l’impression que le long-métrage ne sait jamais comment il veut terminer son histoire.
Le Parisien
par La Rédaction
Certaines séquences s’avèrent assez cocasses, comme lorsque deux doublures annoncent qu’ils — ou plutôt leurs homologues astronautes — attendent un enfant. Malheureusement, le rythme du film est lent et ces notes d’humour trop sporadiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
Grâce à son concept malin, "On dirait la planète Mars" reste dans l'ombre de la conquête spatiale, et y explore ses composantes humaines, aussi drôles que touchantes.
L'Humanité
Un ovni doux-amer et méditatif.
La Septième Obsession
D’une singularité ébouriffante.
Les Fiches du Cinéma
Sous la fable hilarante, le constat cruel d’une société en perte de réel.
Les Inrockuptibles
Le film de Lafleur est assez drôle, il faut bien le dire, et surtout d’une grande originalité.
Libération
Une comédie qui tient plus de Beckett que de Dupieux, où tout est irraisonnable et oppressant, où les personnages vivent le non-sens au premier degré, écrasés par l’impuissance, interdits d’être eux-mêmes, de prendre des décisions, obligés de se conformer aux pulsions de leur alter ego [...].
Transfuge
Le film très sobre joue sur l’épure des décors et des comédiens. Et si le rire affleure souvent, il n’en est pas moins grinçant. Une belle surprise !
CinemaTeaser
Une allégorie assez cruelle et pertinente des sociétés occidentales.
Culturopoing.com
Un joli film à la drôlerie douce-amère. Les rêves, si beaux soient-ils, rendent-ils aveugles ? La perspective d’un ailleurs peut-elle faire disparaître la réalité ? Sous ces airs modestes, "On dirait la planète Mars" se révèle très malin.
L'Obs
Si le film se perd un peu sur la durée et par systématisme, l‘effet de surprise et le plaisir perdurent.
Le Monde
Faux film de science-fiction restant sur le plancher des vaches, le dernier long-métrage en date de Stéphane Lafleur part d’une très belle idée, celle du simulacre comme fable sociale et imaginaire de substitution.
Première
Cette ingénieuse rencontre entre Alien et Gerry tient la route et rappelle que se frotter à ses déceptions peut aider à mieux comprendre le réel.
Télé 2 semaines
Avec humour, ce sujet original, qui rappelle certains dispositifs de téléréalité, est poussé dans sa logique jusqu'à l'absurde, la frontière se brouillant entre la réalité et le fantasme d'être sur la planète rouge.
Télé 7 Jours
Sous ses airs sérieux, cette comédie joyeusement dépressive joue la carte de l’absurde dans sa radiographie de la nature humaine et des comportements en milieu clos : l’autorité, la solidarité, la délation, l’ego passent au tamis de son humour décalé.
Télérama
Mixant allègrement les codes de la téléréalité et ceux de la science-fiction, fût-elle de pacotille, cette comédie existentielle séduit par son humour perché et son refus du spectaculaire. Un grain de folie supplémentaire n’aurait cependant pas nui à la mission pour une mise sur orbite encore plus incontrôlée.
Voici
Joli et amusant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’égarement fait office de ressort comique et si ça fonctionne assez bien au début, les comédiens étant impeccables dans leurs rôles de cobayes paumés (notamment Larissa Corriveau), le film finit lui aussi par se perdre en route.
Le Dauphiné Libéré
Le film n’est pas aidé par un rythme lancinant, qui, couplé à un trop grand nombre de scènes, donne l’impression que le long-métrage ne sait jamais comment il veut terminer son histoire.
Le Parisien
Certaines séquences s’avèrent assez cocasses, comme lorsque deux doublures annoncent qu’ils — ou plutôt leurs homologues astronautes — attendent un enfant. Malheureusement, le rythme du film est lent et ces notes d’humour trop sporadiques.