Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
En subvertissant le réalisme pour flirter avec le fantastique, Mani Haghighi remet du souffle dans le cinéma iranien remet du souffle dans le cinéma iranien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Dans cette histoire allant de la comédie romantique au thriller, du drame au film sociétal, Mani Haghighi propose quatre études de personnages pour quatre destins terriblement marquants.
L'Obs
par Jérôme Garcin
C’est « Psychose » à Téhéran, capitale de la paranoïa et de la peur, dans le clair-obscur angoissant d’un théâtre d’ombres. Même le spectateur se demande ce qu’il a vu et qui il est.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Diaboliquement remarquable jusqu’à la dernière seconde, aussi glaçante que le reste du film.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Le réalisateur iranien Mani Haghighi propose quatre études de personnages pour quatre destins terriblement marquants.
Le Figaro
par É.N.
Il y a des sujets qui ont du talent. D'infinies perspectives s'ouvrent devant nous. Dans un Téhéran nocturne, noyé de pluie, des destins se frôlent. L'avenir change soudain de couleur. (...) A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film atypique et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un thriller passionnant sur l’identité confrontée à son double.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
C’est ainsi que les deux couples, dans une veine retenue, quasi scolaire, se laissent saisir par un minutieux ballet d’ombres et de fantômes. C’est d’autant plus pertinent que le film se passe en Iran et pose, via cette gémellité en noir, la question d’une entrave aux singularités et aux libertés. Ces ombres persanes avancent ainsi sous des raies diluviennes, dans un clair-obscur qui ouvre les possibilités d’une altérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par S.O.
[Un] film étrange, à l’atmosphère moite et oppressante, qui réussit le tour de force de nous faire admettre un postulat des plus improbables, à la lisière du fantastique.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un modèle de suspense psychologique avec trame policière en trompe-l’œil, comme si Hitchcock s’invitait en terre iranienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Zoé Lhuillier
Le fantastique est subordonné ici à l’analyse existentielle des rôles sociaux et intimes qui se jouent, laissant exister l’élection individuelle, alors même que la pression de la tradition de la société iranienne est le point de départ du film.
Première
par Damien Leblanc
Emmené par un exceptionnel casting, où Navid Mohammadzadeh (La Loi de Téhéran, Leila et ses frères) et Taraneh Alidoosti (Le Client, Leila et ses frères) jouent chacun un double rôle, le film réussit un puissant tableau des désillusions de l’Iran contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par S.O.
Un film étrange, à l'atmosphère moite et oppressante, qui réussit le tour de force de nous faire admettre un postulat des plus improbables, à la lisière du fantastique.
Télérama
par Samuel Douhaire
Malgré un scénario trop extravagant, le cinéaste iranien Mani Haghighi se frotte avec brio au film noir sur le motif du double.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Ma. Mt
A son meilleur, le film s’apparente à une brillante mécanique scénaristique, entraînant son postulat invraisemblable vers la confrontation de différents profils sociologiques. On regrette toutefois qu’il n’ose lâcher du lest et inventer des situations véritablement hors norme, des nœuds de fiction plus audacieux et plus puissants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Un tortueux labyrinthe de méditation existentielle sur le libre arbitre et le déterminisme dont l’intérêt s’étiole, toute prise de conscience étant conditionnée à une situation de départ fabriquée de toutes pièces. L’exercice s’épuise et les jeux d’échos finissent par sembler un peu vains, refermant le film sur lui-même de manière claustrophobe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
En subvertissant le réalisme pour flirter avec le fantastique, Mani Haghighi remet du souffle dans le cinéma iranien remet du souffle dans le cinéma iranien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans cette histoire allant de la comédie romantique au thriller, du drame au film sociétal, Mani Haghighi propose quatre études de personnages pour quatre destins terriblement marquants.
L'Obs
C’est « Psychose » à Téhéran, capitale de la paranoïa et de la peur, dans le clair-obscur angoissant d’un théâtre d’ombres. Même le spectateur se demande ce qu’il a vu et qui il est.
La Septième Obsession
Diaboliquement remarquable jusqu’à la dernière seconde, aussi glaçante que le reste du film.
Le Dauphiné Libéré
Le réalisateur iranien Mani Haghighi propose quatre études de personnages pour quatre destins terriblement marquants.
Le Figaro
Il y a des sujets qui ont du talent. D'infinies perspectives s'ouvrent devant nous. Dans un Téhéran nocturne, noyé de pluie, des destins se frôlent. L'avenir change soudain de couleur. (...) A voir.
Les Echos
Un film atypique et envoûtant.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller passionnant sur l’identité confrontée à son double.
Les Inrockuptibles
C’est ainsi que les deux couples, dans une veine retenue, quasi scolaire, se laissent saisir par un minutieux ballet d’ombres et de fantômes. C’est d’autant plus pertinent que le film se passe en Iran et pose, via cette gémellité en noir, la question d’une entrave aux singularités et aux libertés. Ces ombres persanes avancent ainsi sous des raies diluviennes, dans un clair-obscur qui ouvre les possibilités d’une altérité.
Télé 2 semaines
[Un] film étrange, à l’atmosphère moite et oppressante, qui réussit le tour de force de nous faire admettre un postulat des plus improbables, à la lisière du fantastique.
aVoir-aLire.com
Un modèle de suspense psychologique avec trame policière en trompe-l’œil, comme si Hitchcock s’invitait en terre iranienne.
Cahiers du Cinéma
Le fantastique est subordonné ici à l’analyse existentielle des rôles sociaux et intimes qui se jouent, laissant exister l’élection individuelle, alors même que la pression de la tradition de la société iranienne est le point de départ du film.
Première
Emmené par un exceptionnel casting, où Navid Mohammadzadeh (La Loi de Téhéran, Leila et ses frères) et Taraneh Alidoosti (Le Client, Leila et ses frères) jouent chacun un double rôle, le film réussit un puissant tableau des désillusions de l’Iran contemporain.
Télé Loisirs
Un film étrange, à l'atmosphère moite et oppressante, qui réussit le tour de force de nous faire admettre un postulat des plus improbables, à la lisière du fantastique.
Télérama
Malgré un scénario trop extravagant, le cinéaste iranien Mani Haghighi se frotte avec brio au film noir sur le motif du double.
Le Monde
A son meilleur, le film s’apparente à une brillante mécanique scénaristique, entraînant son postulat invraisemblable vers la confrontation de différents profils sociologiques. On regrette toutefois qu’il n’ose lâcher du lest et inventer des situations véritablement hors norme, des nœuds de fiction plus audacieux et plus puissants.
Libération
Un tortueux labyrinthe de méditation existentielle sur le libre arbitre et le déterminisme dont l’intérêt s’étiole, toute prise de conscience étant conditionnée à une situation de départ fabriquée de toutes pièces. L’exercice s’épuise et les jeux d’échos finissent par sembler un peu vains, refermant le film sur lui-même de manière claustrophobe.