Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Bande à part
par Léo Ortuno
Blaga’s Lessons pointe du doigt un pays aveugle aux souffrances des personnes les plus vulnérables. Si le système bulgare est directement dénoncé, il est aussi facile d’y voir des résonances avec d’autres pays et le film nous invite plus généralement à reconsidérer le traitement des personnes âgées, à l’heure où tout un système semble leur tourner le dos.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Michael Mélinard
Stephan Komandarev (...) a su instiller à son propos de la complexité en conservant un récit fluide et souvent drôle d’une tragédie d’un quotidien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Marianne
par Olivier De Bruyn
Stephan Komandarev signe une petite merveille d’humour noir avec ce portrait acide d’une prof à la retraite qui devient délinquante. Une fiction implacable sur la violence de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Christophe Caron
Passionnant thriller social qui raconte une perte de principes dans un paysage européen dopé à l’économie sauvage et à l’individualisme forcené. C’est presque Breaking Bad à la bulgare.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
L’effroi suscité par la scène finale confirme que l’on n’est pas près d’oublier les leçons de Blaga.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Pertinent dans sa critique sociale, le film tourne à la leçon morale via les pirouettes d’un scénario omniscient. L’interprétation d’Eli Skorcheva dans le rôle principal contourne cette mécanique écrasante en introduisant des nuances qui provoquent un réel trouble.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En suivant le chemin vers la déshumanisation absolue de cette veuve étranglée de toutes parts, l’auteur de Taxi Sofia use des codes formels du film noir (avec un tropisme pour les décors urbains et nocturnes) et de la parabole tragique pour nous immerger dans l’obscurantisme social de son pays.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste bulgare Stephan Komandarev signe un film décapant sur une veuve qui, victime d'une arnaque, est contrainte de sombrer dans l'illégalité. A découvrir.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Camille Nevers
Le film tire parfois en longueur malgré ses qualités d’obstination et d’endurance. Brave et humiliée, Blaga gravit les marches d’un escalier interminable et d’un récit édifiant, jusqu’à y perdre, au seuil de la tombe, son âme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Ma. Mt.
Voulant jouer le twist malin, le réalisateur trébuche sur une conclusion indéfendable valorisant l’égoïsme de l’héroïne, finalement bien aise que le mal causé se rabatte sur quelqu’un d’autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par T.F.
Entre film noir et drame social, Blaga’s Lessons déploie un propos glaçant (et appuyé par endroits), porté par le jeu remarquable d’Eli Skorcheva
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Stephan Komandarev, qui n’est pas un réalisateur sans talent, prend la défense d’une pauvre veuve, mais pour la rendre de plus en plus antipathique. Et c’est son film qui finit par faire les frais de cette démonstration de la gangrène du Mal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Blaga’s Lessons pointe du doigt un pays aveugle aux souffrances des personnes les plus vulnérables. Si le système bulgare est directement dénoncé, il est aussi facile d’y voir des résonances avec d’autres pays et le film nous invite plus généralement à reconsidérer le traitement des personnes âgées, à l’heure où tout un système semble leur tourner le dos.
L'Humanité
Stephan Komandarev (...) a su instiller à son propos de la complexité en conservant un récit fluide et souvent drôle d’une tragédie d’un quotidien.
Marianne
Stephan Komandarev signe une petite merveille d’humour noir avec ce portrait acide d’une prof à la retraite qui devient délinquante. Une fiction implacable sur la violence de notre époque.
Première
Passionnant thriller social qui raconte une perte de principes dans un paysage européen dopé à l’économie sauvage et à l’individualisme forcené. C’est presque Breaking Bad à la bulgare.
aVoir-aLire.com
L’effroi suscité par la scène finale confirme que l’on n’est pas près d’oublier les leçons de Blaga.
Cahiers du Cinéma
Pertinent dans sa critique sociale, le film tourne à la leçon morale via les pirouettes d’un scénario omniscient. L’interprétation d’Eli Skorcheva dans le rôle principal contourne cette mécanique écrasante en introduisant des nuances qui provoquent un réel trouble.
L'Obs
En suivant le chemin vers la déshumanisation absolue de cette veuve étranglée de toutes parts, l’auteur de Taxi Sofia use des codes formels du film noir (avec un tropisme pour les décors urbains et nocturnes) et de la parabole tragique pour nous immerger dans l’obscurantisme social de son pays.
Les Echos
Le cinéaste bulgare Stephan Komandarev signe un film décapant sur une veuve qui, victime d'une arnaque, est contrainte de sombrer dans l'illégalité. A découvrir.
Libération
Le film tire parfois en longueur malgré ses qualités d’obstination et d’endurance. Brave et humiliée, Blaga gravit les marches d’un escalier interminable et d’un récit édifiant, jusqu’à y perdre, au seuil de la tombe, son âme.
Le Monde
Voulant jouer le twist malin, le réalisateur trébuche sur une conclusion indéfendable valorisant l’égoïsme de l’héroïne, finalement bien aise que le mal causé se rabatte sur quelqu’un d’autre.
Les Fiches du Cinéma
Entre film noir et drame social, Blaga’s Lessons déploie un propos glaçant (et appuyé par endroits), porté par le jeu remarquable d’Eli Skorcheva
Télérama
Stephan Komandarev, qui n’est pas un réalisateur sans talent, prend la défense d’une pauvre veuve, mais pour la rendre de plus en plus antipathique. Et c’est son film qui finit par faire les frais de cette démonstration de la gangrène du Mal.