Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Humanité
par Pablo Patarin
Révélatrice d’une époque pas si lointaine, dont l’héritage perdure, Blue Jean est une œuvre pleine de sensibilité et d’espoir, à ne pas rater.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Un premier long métrage particulièrement fort, psychologiquement subtil et optimiste sur le parcours identitaire d’un personnage lesbien en regard de l’homophobie ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Fer de lance d’un cinéma anglais en pleine effervescence, la réalisatrice britannique signe un film puissant, qui révèle l’actrice Rosy McEwen.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Drame sensible sur l’intolérance et la souffrance que celle-ci engendre, « Blue Jean » gagne encore en profondeur quand son héroïne se reconnaît dans son étudiante et se retrouve face à un dilemme : se protéger elle-même, ou aider cette jeune femme et faire avancer une cause collective.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Une première œuvre qui évite le piège du film à message militant en dressant le portrait tout en finesse d’une femme ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Doté d'une puissante ambition formelle, le premier long-métrage de la Britannique Georgia Oakley livre le portrait d'une prof de sport lesbienne dans le Royaume-Uni ultra-conservateur de la fin des eighties.
Ouest France
par La Rédaction
La révélation d'une actrice épatante, Rosy McEwen.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Rosy McEwen (vue dans la série Netflix « L’Aliéniste ») et Lucy Halliday éblouissent dans ce premier film, subtil et délicat, récemment présenté au festival Cinémarges de Bordeaux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce premier film marque la révélation fracassante d’une actrice puissante : Rose McEwen.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
Tourné en 16 mm, le film est contenu dans une apparente douceur derrière laquelle l’asphyxie de l’isolement se ressent, tout comme le visage lisse de McEwen masque une colère ravalée.
L'Obs
par N. S.
Titre évoquant Bowie, grain de la pellicule 16 mm, bande-son new wave et arrière-plan thatchérien : ce drame intimiste semble tout droit sorti des années 1980, jusqu’au cas de conscience de son héroïne, gay honteuse. Anachronique ? Pas tant que ça, à en juger par la menace réactionnaire et anti-LGBT encore prégnante. Un « Blue Jean » vintage seyant tristement à notre époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit d’un scénario cousu de fil blanc, mais qui rend bien compte de la discrimination dont est victime la communauté gay à l’époque, ce récit d’émancipation mise sur la justesse de son interprétation et sur une caméra en empathie avec son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
C’est cette tension permanente qui permet à Oakley de s’émanciper de la littéralité du récit de coming out pour perdre son héroïne à l’intérieur d’un beau film d’espionnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Blue Jean scrute, grâce à une étude de caractères de personnages à la fois précise et mouvante, l’état même d’une négociation permanente entre soi et les autres, entre l’intime et le public, pour enlacer la question essentielle du politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Un film sauvé de la fadeur par la belle interprétation de son actrice Rosy McEwen.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Estelle Aubin
La composition de Rosy Mc Ewen est stupéfiante de justesse. Ce film fait de la carapace, une identité ; du silence, une liberté. Et donne une résonnance lucide aux discriminations contemporaines.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans la Grande Bretagne de la fin des années 80, une jeune prof cache son homosexualité. Un film engagé, sous tension.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce récit d'une jeune femme prise dans un dilemme moral vaut par le réalisme de son étude de mœurs et le jeu tout en finesse de son actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Révélatrice d’une époque pas si lointaine, dont l’héritage perdure, Blue Jean est une œuvre pleine de sensibilité et d’espoir, à ne pas rater.
Culturopoing.com
Un premier long métrage particulièrement fort, psychologiquement subtil et optimiste sur le parcours identitaire d’un personnage lesbien en regard de l’homophobie ambiante.
Le Figaro
Fer de lance d’un cinéma anglais en pleine effervescence, la réalisatrice britannique signe un film puissant, qui révèle l’actrice Rosy McEwen.
Le Parisien
Drame sensible sur l’intolérance et la souffrance que celle-ci engendre, « Blue Jean » gagne encore en profondeur quand son héroïne se reconnaît dans son étudiante et se retrouve face à un dilemme : se protéger elle-même, ou aider cette jeune femme et faire avancer une cause collective.
Les Fiches du Cinéma
Une première œuvre qui évite le piège du film à message militant en dressant le portrait tout en finesse d’une femme ordinaire.
Marie Claire
Doté d'une puissante ambition formelle, le premier long-métrage de la Britannique Georgia Oakley livre le portrait d'une prof de sport lesbienne dans le Royaume-Uni ultra-conservateur de la fin des eighties.
Ouest France
La révélation d'une actrice épatante, Rosy McEwen.
Sud Ouest
Rosy McEwen (vue dans la série Netflix « L’Aliéniste ») et Lucy Halliday éblouissent dans ce premier film, subtil et délicat, récemment présenté au festival Cinémarges de Bordeaux.
Bande à part
Ce premier film marque la révélation fracassante d’une actrice puissante : Rose McEwen.
Cahiers du Cinéma
Tourné en 16 mm, le film est contenu dans une apparente douceur derrière laquelle l’asphyxie de l’isolement se ressent, tout comme le visage lisse de McEwen masque une colère ravalée.
L'Obs
Titre évoquant Bowie, grain de la pellicule 16 mm, bande-son new wave et arrière-plan thatchérien : ce drame intimiste semble tout droit sorti des années 1980, jusqu’au cas de conscience de son héroïne, gay honteuse. Anachronique ? Pas tant que ça, à en juger par la menace réactionnaire et anti-LGBT encore prégnante. Un « Blue Jean » vintage seyant tristement à notre époque.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’un scénario cousu de fil blanc, mais qui rend bien compte de la discrimination dont est victime la communauté gay à l’époque, ce récit d’émancipation mise sur la justesse de son interprétation et sur une caméra en empathie avec son héroïne.
Le Monde
C’est cette tension permanente qui permet à Oakley de s’émanciper de la littéralité du récit de coming out pour perdre son héroïne à l’intérieur d’un beau film d’espionnage.
Les Inrockuptibles
Blue Jean scrute, grâce à une étude de caractères de personnages à la fois précise et mouvante, l’état même d’une négociation permanente entre soi et les autres, entre l’intime et le public, pour enlacer la question essentielle du politique.
Libération
Un film sauvé de la fadeur par la belle interprétation de son actrice Rosy McEwen.
Première
La composition de Rosy Mc Ewen est stupéfiante de justesse. Ce film fait de la carapace, une identité ; du silence, une liberté. Et donne une résonnance lucide aux discriminations contemporaines.
Télérama
Dans la Grande Bretagne de la fin des années 80, une jeune prof cache son homosexualité. Un film engagé, sous tension.
aVoir-aLire.com
Ce récit d'une jeune femme prise dans un dilemme moral vaut par le réalisme de son étude de mœurs et le jeu tout en finesse de son actrice principale.