Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Bas les masques : la pièce importe peu, les comédiennes s’appellent par leur véritable prénom, et ce qui s’essaie, ce qui se répète au cours de cette parenthèse bucolique, c’est une coïncidence à la fois plus intime et plus frontale, de soi à soi, nourrie de matière documentaire.
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
"Les filles vont bien" est une invitation tout en légèreté et profondeur à ne jamais se départir d’un esprit d’enfance, à s’émerveiller [...].
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Aurélia de Spirt
Un jeu d’équilibriste où se mêlent délicatesse et poésie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Acidulée et profonde, cette réflexion sur la confusion entre le « jeu » et le « je » est une révélation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Valérie Beck
En passant derrière la caméra avec Les filles vont bien, son premier long-métrage, la comédienne espagnole s’affirme décidément comme un talent à suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Avec "Les Filles vont bien", Itsaso Arana, actrice de talent, nous apprend que sa parole fait aussi d'elle une réalisatrice inspirée et inspirante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Itsaso Arana peint la féminité et le déroulement d’un tournage comme une expérience collective qui réconcilie, panse les blessures en même temps qu’elle documente l’existence. Les filles vont bien, c’est une lettre en même temps que le pari de faire des films autrement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
"Les Filles vont bien" est un film intense sur tout ce qui sourd sous la surface, le jeu, le visage, la peau des comédiennes, et que son dispositif permet, subrepticement, de dévoiler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Entre art du portrait et pastorale, marivaudage et fête galante à la Watteau (un garçon est invité vers la fin dans la ronde), la jeune réalisatrice espagnole réussit un film précieux, qui procure un plaisir revigorant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Chloé Cavillier
"Les Filles vont bien" prend la forme d'un écrin intimiste recelant de précieuses confidences.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Un conte solaire et plein de charme qui mêle le réel et la fiction.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Cl. F.
Les Filles vont bien cherche les instants de grâce et réussit parfois à les trouver : il n’y aura pas de drame, c’est moins vendeur, ce qui en dit long de notre attente de noirceurs et de coups durs, faute desquels un film ne mériterait pas le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Remarquablement interprété, ce coup d’essai manque parfois un peu de tension dramatique mais témoigne d’une tonalité déjà très personnelle et attachante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Hélas, l'ennui guette face à un enjeu dramatique limité et une action statique qui engendre des longueurs et, surtout, ne permet jamais d'éprouver la moindre empathie pour les personnages.
Cahiers du Cinéma
Bas les masques : la pièce importe peu, les comédiennes s’appellent par leur véritable prénom, et ce qui s’essaie, ce qui se répète au cours de cette parenthèse bucolique, c’est une coïncidence à la fois plus intime et plus frontale, de soi à soi, nourrie de matière documentaire.
Culturopoing.com
"Les filles vont bien" est une invitation tout en légèreté et profondeur à ne jamais se départir d’un esprit d’enfance, à s’émerveiller [...].
L'Humanité
Un jeu d’équilibriste où se mêlent délicatesse et poésie.
L'Obs
Acidulée et profonde, cette réflexion sur la confusion entre le « jeu » et le « je » est une révélation.
Le Figaro
En passant derrière la caméra avec Les filles vont bien, son premier long-métrage, la comédienne espagnole s’affirme décidément comme un talent à suivre de près.
Les Fiches du Cinéma
Avec "Les Filles vont bien", Itsaso Arana, actrice de talent, nous apprend que sa parole fait aussi d'elle une réalisatrice inspirée et inspirante.
Les Inrockuptibles
Itsaso Arana peint la féminité et le déroulement d’un tournage comme une expérience collective qui réconcilie, panse les blessures en même temps qu’elle documente l’existence. Les filles vont bien, c’est une lettre en même temps que le pari de faire des films autrement.
Libération
"Les Filles vont bien" est un film intense sur tout ce qui sourd sous la surface, le jeu, le visage, la peau des comédiennes, et que son dispositif permet, subrepticement, de dévoiler.
Télérama
Entre art du portrait et pastorale, marivaudage et fête galante à la Watteau (un garçon est invité vers la fin dans la ronde), la jeune réalisatrice espagnole réussit un film précieux, qui procure un plaisir revigorant.
Critikat.com
"Les Filles vont bien" prend la forme d'un écrin intimiste recelant de précieuses confidences.
La Croix
Un conte solaire et plein de charme qui mêle le réel et la fiction.
Le Monde
Les Filles vont bien cherche les instants de grâce et réussit parfois à les trouver : il n’y aura pas de drame, c’est moins vendeur, ce qui en dit long de notre attente de noirceurs et de coups durs, faute desquels un film ne mériterait pas le déplacement.
Première
Remarquablement interprété, ce coup d’essai manque parfois un peu de tension dramatique mais témoigne d’une tonalité déjà très personnelle et attachante.
Le Journal du Dimanche
Hélas, l'ennui guette face à un enjeu dramatique limité et une action statique qui engendre des longueurs et, surtout, ne permet jamais d'éprouver la moindre empathie pour les personnages.