Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Le film est passionnant par ce qu’il raconte de l’intense activité d’un chef religieux qui a pris les rênes en pleine crise de foi de ses fidèles. Depuis, il est contraint à un mouvement perpétuel pour aller à la rencontre des foules, redorer le blason de l’Église et reconnaître les erreurs passées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par F. F.
Gianfranco Rosi (« Fuocoammare ») capte ces vibrations avec sa caméra attentive. L’humanité est là, et c’est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La Rédaction
Au-delà du saisissant portrait, sans commentaire, d’un pape globe-trotteur, Rosi parvient à tracer un fil conducteur à travers les pérégrinations d’un homme en blanc allant à la rencontre des misères du monde, décidé à voir en face les conséquences de la guerre, des divisions et de la haine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Al.C.
Curieusement édifiant et rassérénant, un programme d’utilité publique au-delà de toute croyance !
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Laura Tuillier
Travaillant à partir d’une matière préexistante, destinée a priori à un archivage promotionnel du règne de François, Rosi sait exercer son œil de monteur de façon à se situer du côté de la solitude du vieil homme, plutôt que dans l’éclat du souverain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste italo-américain Gianfranco Rosi a regardé des centaines d’heures d’archives pour réaliser ce documentaire captivant sur le pape François.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par François Ekchajzer
À la sensibilité plus sombre du cinéaste, durement marqué par le tournage de Notturno, dont un extrait survient vers la fin du film, répond ainsi la foi d’un voyageur différent de lui. Sans atteindre la force de ses plus grands documentaires, In Viaggio se révèle in fine parfaitement « rosien »…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
In Viaggio mêle images d’archives de ces voyages, moments tournés par Rosi lui- même et interviews ou discours du Pape dans un geste d’une limpidité sans faille. Un grand film laïc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
La Terre vue du pape vs. le pape vu de la Terre. Cette ambivalence n’évite pas tout à fait une orientation consensuelle, découlant de ce même face-à-face abstrait entre le monde et une conscience.”
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sans distance possible avec son sujet, le cinéaste n’échappe pas toujours au registre apologétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Sans vraiment questionner la fonction papale, In viaggio explore - au moyen d’une compulsation d’archives du Vatican - avec une certaine mollesse l’incapable puissance d’action du Pape, condamné à des effets de manche discursifs et des promesses d’au-delà.
Le Figaro
par J-M. G.
Ni un film, ni un documentaire, mais une suite, presque brute, d'images, de discours de François, parfois émouvante mais seulement guidée par les thèmes les plus politiques de ce pape, « progressiste et des plus à gauche », selon Rosi. Un regard froid, graphique, réducteur, horizontal qui n'a rien à voir avec l'âme flamboyante de ses voyages.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Humanité
Le film est passionnant par ce qu’il raconte de l’intense activité d’un chef religieux qui a pris les rênes en pleine crise de foi de ses fidèles. Depuis, il est contraint à un mouvement perpétuel pour aller à la rencontre des foules, redorer le blason de l’Église et reconnaître les erreurs passées.
L'Obs
Gianfranco Rosi (« Fuocoammare ») capte ces vibrations avec sa caméra attentive. L’humanité est là, et c’est bouleversant.
La Croix
Au-delà du saisissant portrait, sans commentaire, d’un pape globe-trotteur, Rosi parvient à tracer un fil conducteur à travers les pérégrinations d’un homme en blanc allant à la rencontre des misères du monde, décidé à voir en face les conséquences de la guerre, des divisions et de la haine.
Le Journal du Dimanche
Curieusement édifiant et rassérénant, un programme d’utilité publique au-delà de toute croyance !
Libération
Travaillant à partir d’une matière préexistante, destinée a priori à un archivage promotionnel du règne de François, Rosi sait exercer son œil de monteur de façon à se situer du côté de la solitude du vieil homme, plutôt que dans l’éclat du souverain.
Sud Ouest
Le cinéaste italo-américain Gianfranco Rosi a regardé des centaines d’heures d’archives pour réaliser ce documentaire captivant sur le pape François.
Télérama
À la sensibilité plus sombre du cinéaste, durement marqué par le tournage de Notturno, dont un extrait survient vers la fin du film, répond ainsi la foi d’un voyageur différent de lui. Sans atteindre la force de ses plus grands documentaires, In Viaggio se révèle in fine parfaitement « rosien »…
Première
In Viaggio mêle images d’archives de ces voyages, moments tournés par Rosi lui- même et interviews ou discours du Pape dans un geste d’une limpidité sans faille. Un grand film laïc.
Cahiers du Cinéma
La Terre vue du pape vs. le pape vu de la Terre. Cette ambivalence n’évite pas tout à fait une orientation consensuelle, découlant de ce même face-à-face abstrait entre le monde et une conscience.”
Le Monde
Sans distance possible avec son sujet, le cinéaste n’échappe pas toujours au registre apologétique.
Les Fiches du Cinéma
Sans vraiment questionner la fonction papale, In viaggio explore - au moyen d’une compulsation d’archives du Vatican - avec une certaine mollesse l’incapable puissance d’action du Pape, condamné à des effets de manche discursifs et des promesses d’au-delà.
Le Figaro
Ni un film, ni un documentaire, mais une suite, presque brute, d'images, de discours de François, parfois émouvante mais seulement guidée par les thèmes les plus politiques de ce pape, « progressiste et des plus à gauche », selon Rosi. Un regard froid, graphique, réducteur, horizontal qui n'a rien à voir avec l'âme flamboyante de ses voyages.