Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En laissant au spectateur le soin de répondre à ces interrogations et en privilégiant une forme sèche, sans pathos, le film est à sa juste place. Ni procureur ni avocat. Pertinente position.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un drame sombre, pudique et essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
On est frappé par l'authenticité du témoignage, humain, poignant, par moments d'une sobriété quasi bressonienne.
L'Humanité
par ichaël Mélinard
Ni thriller carcéral ni film de prétoire, Elle s’appelle Barbara va où on ne l’attend pas. Sérgio Tréfaut dessine un récit intimiste dans cet antibiopic où sa protagoniste devient un symbole de l’incompréhensible, tout en cherchant à se libérer des figures imposées. Celles qui la cantonnent à un rôle de mère qu’elle n’a pas choisi ou de veuve forcément complice de son défunt mari.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par Jacques Morice
Une fiction sobre, rigoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Tréfaut suit cette jeune Portugaise qui vient d’assister à l’exécution de son mari avec la certitude qu’il ne pourra pas la percer à jour [...] Le film refuse d’aller plus loin et enfile les étapes du calvaire de la jeune femme et ses enfants à travers des prisons insalubres [...] ; un enfer, d’où ressortent quelques images, comme cette pietà inversée quand un soldat tient la protagoniste évanouie dans son giron.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le réalisateur portugais choisit une forme épurée, refusant les explications sociologisantes, filmant son héroïne insaisissable, celle-ci préservant le mystère de son engagement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Le sujet est passionnant mais son traitement trop cérébral et aride.
Première
par Thierry Chèze
Et, petit à petit, les qualités du film deviennent aussi ses défauts. Car à force de traquer toute émotion pour la tuer dans l’oeuf, Tréfaut finit par dévitaliser son propos, créer une distance trop factice, comme s’il bottait en touche par peur de s’y confronter.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
En laissant au spectateur le soin de répondre à ces interrogations et en privilégiant une forme sèche, sans pathos, le film est à sa juste place. Ni procureur ni avocat. Pertinente position.
Les Fiches du Cinéma
Un drame sombre, pudique et essentiel.
Positif
On est frappé par l'authenticité du témoignage, humain, poignant, par moments d'une sobriété quasi bressonienne.
L'Humanité
Ni thriller carcéral ni film de prétoire, Elle s’appelle Barbara va où on ne l’attend pas. Sérgio Tréfaut dessine un récit intimiste dans cet antibiopic où sa protagoniste devient un symbole de l’incompréhensible, tout en cherchant à se libérer des figures imposées. Celles qui la cantonnent à un rôle de mère qu’elle n’a pas choisi ou de veuve forcément complice de son défunt mari.
Télérama
Une fiction sobre, rigoureuse.
Cahiers du Cinéma
Tréfaut suit cette jeune Portugaise qui vient d’assister à l’exécution de son mari avec la certitude qu’il ne pourra pas la percer à jour [...] Le film refuse d’aller plus loin et enfile les étapes du calvaire de la jeune femme et ses enfants à travers des prisons insalubres [...] ; un enfer, d’où ressortent quelques images, comme cette pietà inversée quand un soldat tient la protagoniste évanouie dans son giron.
Le Monde
Le réalisateur portugais choisit une forme épurée, refusant les explications sociologisantes, filmant son héroïne insaisissable, celle-ci préservant le mystère de son engagement.
Ouest France
Le sujet est passionnant mais son traitement trop cérébral et aride.
Première
Et, petit à petit, les qualités du film deviennent aussi ses défauts. Car à force de traquer toute émotion pour la tuer dans l’oeuf, Tréfaut finit par dévitaliser son propos, créer une distance trop factice, comme s’il bottait en touche par peur de s’y confronter.