Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Un superbe film gigogne où l'on se perd avec délice.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
À la fois tragédie et thriller, un remarquable film sur l’identité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Kei Ishikawa insuffle à chaque scène une atmosphère envoûtante, avec une mise en scène soignée servie par les performances des acteurs.
L'Humanité
par Vincent Ostria
D’autres retournements et des flash-back corroborent la nature déstructurée de cette œuvre qui ressemble au départ à une histoire de famille à la Kore-eda. « Home Sweet Home » devient « homme suit homme ».
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Naviguant entre romance et thriller, ce film d’un jeune réalisateur japonais au talent prometteur nous entraîne dans un troublant jeu de miroirs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans une réalisation élégante, Kei Ishikawa déploie avec art une intrigue mystérieuse, dans un thriller introspectif existentiel d'une grande finesse, sur l'identité et la quête de soi.
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Thriller palpitant, "A Man" se transforme en un drame inspiré avec l’identité pour thématique centrale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film prenant et à la mise en scène d'une élégance folle.
Télérama
par Samuel Douhaire
Une intrigue poignante, riche en rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
A Man est une œuvre hybride qui, derrière l’enquête d’un avocat, dresse le portrait d’un Japon assommé par ses contradictions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Ichikawa multiplie écho set dédoublements pour donner consistance à une part lacunaire qui ne peut pas être comblée, contemplant dans le visage humain une fiction inapaisée qui rend illusoire toute célébration de l’identité.
Critikat.com
par Clément Colliaux
A Man fait montre d'une certaine patience lorsqu’il explore avec pudeur les affres intimes de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Faux thriller et vraie méditation sur l'identité et l'héritage social, "A Man" repose beaucoup trop sur son scénario pour laisser une impression durable. Heureusement, il se montre assez subtil pour captiver.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Kei Ishikawa, avant tout, pose une question métaphysique : qui sommes-nous ? Chemin faisant, il interroge la société japonaise. Il crée ainsi un rythme parfois lent, qui laisse le spectateur intrigué, étonné. Mission accomplie, donc : nous sommes bien dans une méditation sur l’identité et sur le mystère des êtres.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par É. N.
Le réalisateur sonde des abysses, pratique un cinéma à feu doux, s'attarde sur un poignet orné d'un tatouage, remonte dans un arbre généalogique compliqué. Il filme des grues de chantier comme Ozu avait l'habitude de montrer des lampadaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit, sur le deuil et le fait qu’on ne connaît jamais vraiment la personne avec qui on vit, s’étire et la mise en scène à distance anesthésie les émotions, mais on reste cependant captivé par l’énigme à résoudre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt.
Pour filmer cette enquête intérieure, Ishikawa fait le choix d’une forme non pas baroque, mais au contraire contenue, sans effusion, presque « à l’étouffée ». L’expression s’y fait en creux, comme un discret travail de fourmi. A force de s’effacer derrière son sujet, refusant la moindre saillie formelle, la mise en scène s’expose à une certaine platitude neurasthénique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Yannick Vely
De facture classique, « A Man » décevra peut-être ceux qui attendent un thriller policier. Le film est plus fin et politique qu’il n’y paraît, dans un pays où les étiquettes familiales et les masques sociaux sont toujours aussi durs à enlever.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Changeant de genre filmique au fur et à mesure que se déploie sa réflexion sur les évolutions des individus, A Man s’avère d’une grande élégance stylistique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
En voulant joindre à sa méditation patiente sur l’identité l’écriture d’un thriller à tiroir, tortueux et retors, le cinéaste japonais Kei Ishikawa semble vouloir mener deux films de front qu’il peine à réconcilier. Ces différents visages le font davantage ressembler à un alliage forcé qui finit par produire de véritables contresens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
La valse des récits et l’effet de miroir qui intervient bientôt entre l’usurpateur et celui qui aimerait le déchiffrer restent à l’état d’intentions, la mise en scène atonale échouant à faire advenir un quelconque vertige.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Un superbe film gigogne où l'on se perd avec délice.
CinemaTeaser
À la fois tragédie et thriller, un remarquable film sur l’identité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Kei Ishikawa insuffle à chaque scène une atmosphère envoûtante, avec une mise en scène soignée servie par les performances des acteurs.
L'Humanité
D’autres retournements et des flash-back corroborent la nature déstructurée de cette œuvre qui ressemble au départ à une histoire de famille à la Kore-eda. « Home Sweet Home » devient « homme suit homme ».
La Croix
Naviguant entre romance et thriller, ce film d’un jeune réalisateur japonais au talent prometteur nous entraîne dans un troublant jeu de miroirs.
Le Dauphiné Libéré
Dans une réalisation élégante, Kei Ishikawa déploie avec art une intrigue mystérieuse, dans un thriller introspectif existentiel d'une grande finesse, sur l'identité et la quête de soi.
Les Fiches du Cinéma
Thriller palpitant, "A Man" se transforme en un drame inspiré avec l’identité pour thématique centrale.
Ouest France
Un film prenant et à la mise en scène d'une élégance folle.
Télérama
Une intrigue poignante, riche en rebondissements.
aVoir-aLire.com
A Man est une œuvre hybride qui, derrière l’enquête d’un avocat, dresse le portrait d’un Japon assommé par ses contradictions.
Cahiers du Cinéma
Ichikawa multiplie écho set dédoublements pour donner consistance à une part lacunaire qui ne peut pas être comblée, contemplant dans le visage humain une fiction inapaisée qui rend illusoire toute célébration de l’identité.
Critikat.com
A Man fait montre d'une certaine patience lorsqu’il explore avec pudeur les affres intimes de ses personnages.
Ecran Large
Faux thriller et vraie méditation sur l'identité et l'héritage social, "A Man" repose beaucoup trop sur son scénario pour laisser une impression durable. Heureusement, il se montre assez subtil pour captiver.
L'Obs
Kei Ishikawa, avant tout, pose une question métaphysique : qui sommes-nous ? Chemin faisant, il interroge la société japonaise. Il crée ainsi un rythme parfois lent, qui laisse le spectateur intrigué, étonné. Mission accomplie, donc : nous sommes bien dans une méditation sur l’identité et sur le mystère des êtres.
Le Figaro
Le réalisateur sonde des abysses, pratique un cinéma à feu doux, s'attarde sur un poignet orné d'un tatouage, remonte dans un arbre généalogique compliqué. Il filme des grues de chantier comme Ozu avait l'habitude de montrer des lampadaires.
Le Journal du Dimanche
Le récit, sur le deuil et le fait qu’on ne connaît jamais vraiment la personne avec qui on vit, s’étire et la mise en scène à distance anesthésie les émotions, mais on reste cependant captivé par l’énigme à résoudre.
Le Monde
Pour filmer cette enquête intérieure, Ishikawa fait le choix d’une forme non pas baroque, mais au contraire contenue, sans effusion, presque « à l’étouffée ». L’expression s’y fait en creux, comme un discret travail de fourmi. A force de s’effacer derrière son sujet, refusant la moindre saillie formelle, la mise en scène s’expose à une certaine platitude neurasthénique.
Paris Match
De facture classique, « A Man » décevra peut-être ceux qui attendent un thriller policier. Le film est plus fin et politique qu’il n’y paraît, dans un pays où les étiquettes familiales et les masques sociaux sont toujours aussi durs à enlever.
Première
Changeant de genre filmique au fur et à mesure que se déploie sa réflexion sur les évolutions des individus, A Man s’avère d’une grande élégance stylistique.
Les Inrockuptibles
En voulant joindre à sa méditation patiente sur l’identité l’écriture d’un thriller à tiroir, tortueux et retors, le cinéaste japonais Kei Ishikawa semble vouloir mener deux films de front qu’il peine à réconcilier. Ces différents visages le font davantage ressembler à un alliage forcé qui finit par produire de véritables contresens.
Libération
La valse des récits et l’effet de miroir qui intervient bientôt entre l’usurpateur et celui qui aimerait le déchiffrer restent à l’état d’intentions, la mise en scène atonale échouant à faire advenir un quelconque vertige.