Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Obs
par X. L.
C’est moins le fait divers que l’ambiance délétère d’une société putride que ce film met en scène avec une sobriété implacable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par B.P.
L'intrigue, solide jusqu'ici, s'étiole alors. Et l'on se retrouve un peu frustré, comme face à un compte rendu de procès dont le dernier paragraphe aurait été mal imprimé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La mise en scène opère discrètement en ce sens elle aussi. Telle démultiplication du reflet de Blanca dans le miroir, tel sourire esquissé devant les journalistes, tel compagnonnage avec un garçon du foyer dont elle partage les secrets les plus intimes pourraient tendre à faire croire qu’elle n’est pas la victime qu’elle prétend être.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Blanquita se révèle un film passionnant sur les zones grises autour de la question de qui croire dans ce type d’affaires de plus en plus médiatisées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette reconstitution rend antipathique le personnage de la jeune accusatrice simulatrice (renseignée par un garçon réellement victime de viols), mais n’en prend pas moins sa défense, sans questionner la stratégie du mensonge.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
C’est moins le fait divers que l’ambiance délétère d’une société putride que ce film met en scène avec une sobriété implacable.
Le Figaro
L'intrigue, solide jusqu'ici, s'étiole alors. Et l'on se retrouve un peu frustré, comme face à un compte rendu de procès dont le dernier paragraphe aurait été mal imprimé.
Le Monde
La mise en scène opère discrètement en ce sens elle aussi. Telle démultiplication du reflet de Blanca dans le miroir, tel sourire esquissé devant les journalistes, tel compagnonnage avec un garçon du foyer dont elle partage les secrets les plus intimes pourraient tendre à faire croire qu’elle n’est pas la victime qu’elle prétend être.
Première
Blanquita se révèle un film passionnant sur les zones grises autour de la question de qui croire dans ce type d’affaires de plus en plus médiatisées.
Télérama
Cette reconstitution rend antipathique le personnage de la jeune accusatrice simulatrice (renseignée par un garçon réellement victime de viols), mais n’en prend pas moins sa défense, sans questionner la stratégie du mensonge.